Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 10:19


J'ai le plaisir de publier la suite de cette histoire passionnante.... certaines photos sont d'un format ridicule.....merci à over-bug, 2010 ressemble à 2009, il n'y a pas de doute!

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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVII

 

Ma Princesse, Lucie et moi avançons dans le couloir. Nous sommes tous les trois assez effrayés par ce qui nous attend dans le salon. Quand nous y arrivons, la maman de ma Domina, sur un ton toujours très autoritaire, nous ordonne de nous asseoir autour de la table. Nous nous exécutons. C’est la mère de ma Princesse qui prend la parole en premier : « Nous devons vous parler de votre comportement de cette après-midi et de ces dernières semaines. Lorsqu’un homme est amoureux, lorsqu’il entoure sa Dulcinée de prévenances, c’est mignon. Un homme qui prend soin des pieds de la femme qu’il aime, c’est très honorable. Mais cette attitude où l’homme fait tout son possible pour satisfaire son amie ne doit pas se transformer en esclavage. Malheureusement, ma fille c’est ce qui est en train d’arriver. Voilà plusieurs mois que tu as rencontré ce garçon formidable. Tu sais qu’il est fou- amoureux de toi et qu’il ferait n’importe quoi pour avoir une chance avec toi. Il est aux petits soins pour toi, il te dorlote. Au départ, lorsque je le voyais prendre soin de tes pieds, j’étais vraiment émue, je trouvais cela formidable. Mais je constate que, plus les jours passent, plus tu deviens dure et méchante avec lui. Je commence à ne plus du tout apprécier l’attitude et les paroles que tu as envers lui. Cette après-midi, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase !!! Ma sœur et moi avons été choquées. »

Sa sœur intervient alors en s’adressant à sa fille, Lucie : « Comment peux-tu te faire masser les pieds par un garçon que tu viens à peine de rencontrer ?! Cela te plaît de l’humilier ? Je ne comprends pas que ta cousine et toi puissiez agir de la sorte. » Lucie ne répond pas. Moi, j’écoute toute cette conversation sans dire un mot, je n’ai qu’une envie : me sauver !!!

La mère de ma Maîtresse reprend la parole. Elle s’adresse à sa fille : « Je vais être franche avec toi, ma petite. Tous les petits amis que tu nous as ramenés jusqu’à maintenant étaient peut-être tous mignons, mais ils n’avaient que cela !!! Là, tu as la chance d’avoir un garçon très gentil, avenant, romantique. Il t’offre des roses, des cadeaux, il t’achète tout ce que tu veux. Il est aux petits soins pour toi. Je ne comprends pas que tu ne voies pas tout cela, mais pour moi, c’est un garçon génial et franchement, crois-moi, tu n’en trouveras pas deux comme lui. Alors, au lieu de le traiter comme un esclave, tu devrais peut-être réfléchir à lui donner une chance… »

Il y a encore cinq minutes, j’avais envie de me sauver, mais j’avoue que je suis très agréablement surpris par les propos de ma peut-être future « belle-mère ». Je sais qu’elle m’apprécie mais je suis très heureux d’entendre tous ces compliments à mon égard, cela me fait du bien. Ma Princesse répond : « Là, maman, tu te mêles de mes affaires et vous faites toutes les deux des histoires pour rien. Il a massé les pieds de Lucie juste pour soulager ses maux. Il n’ y a rien d’extraordinaire là-dedans, c’est moi qui le lui ai demandé. » Puis la sœur de ma belle mère s’adresse à moi : « Pourquoi te laisses-tu traiter ainsi ? Tu aimes être humilié ? » À ce moment-là, je me sens devenir rouge comme une tomate, je suis horriblement gêné. Je ne sais pas trop quoi répondre, puis je dis simplement : « J’aime ma Princesse de tout mon cœur, je ferais tout pour elle et je n’ai pas le sentiment d’être humilié, je suis simplement amoureux. » Ma Domina se met alors à me caresser la jambe sous la table avec son pied, tout en me faisant un léger sourire. Elle est visiblement contente et satisfaite de ma réponse. Puis sa tante parle à nouveau, s’adressant à sa sœur : « Tu fais ce que tu veux avec ta fille, mais moi je ne veux pas que la mienne prenne cette voie-là. Cela me rappelle trop notre sœur Marie et je ne veux pas qu’elle suive ses traces. Nous allons rentrer chez nous et Lucie évitera de revenir tout de suite !!! » Je me sens intrigué par la réflexion de la tante. Lucie et ma Princesse elles aussi. Toutes les deux en même temps posent la même question : « C’est quoi, cette histoire avec notre tante Marie ? » Ma belle-mère explique : « Vous ne connaissez pas bien votre tante Marie car il y a des années que nous ne la voyons plus. Vous ne vous êtes jamais posé de questions sur elle ? Par exemple, sur le fait qu’elle habite une magnifique et très grande maison alors que nous venons d’une famille très pauvre et que nous devons nous battre pour nous en sortir ?… » Ma Princesse intervient : « Oui, et alors ? Elle a certainement rencontré un homme très riche.  – Oui, c’est cela, répond sa mère. ‑ Eh bien, qu’est-ce que tu vois de choquant là-dedans ! – Rien, mais c’est la manière dont elle se comporte qui est  choquante. Notre sœur Marie, dès son adolescence, s’est mise à se comporter comme toi, ma chère fille. Elle prenait les garçons pour ses larbins, elle les traitait comme des esclaves. Marie est très belle, beaucoup de garçons étaient fous d’elle, elle en abusait encore et encore !!! Très souvent, lorsque nous rentrions à la maison, nous la découvrions avec un homme à genoux à  ses pieds.
 
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Tout comme toi, tu le fais aujourd’hui avec ce pauvre garçon !!! Ensuite, elle a rencontré un chef d’entreprise qui gagnait très bien sa vie. Comme elle l’a toujours fait, elle a rendu cet homme fou amoureux de sa personne, elle le menait par le bout du nez… Puis ils se sont mariés. Par la suite, nous avons appris qu’elle l’avait obligé à signer un contrat de mariage qui stipule qu’en cas de divorce, elle garderait la maison et partirait avec une petite fortune. Pour résumer, soit il lui obéit, soit elle le ruine. Le pire ce n’est pas cela, c’est la manière dont elle le traite, c’est un véritable esclave. Ce pauvre homme travaille toute la journée et elle, elle ne fait rien, à part s’occuper d’elle-même et courir les magasins. Lorsqu’il rentre fatigué le soir, il doit encore tout faire à la maison. Un jour, nous sommes passées les voir à l’improviste. À cause de notre visite, il n’a pas eu le temps de finir tout le ménage. Je n’ai jamais vu quelqu’un avoir autant peur. Il tremblait en attendant le retour de sa femme. Il craignait d’être corrigé pour ne pas avoir achevé son travail domestique. Car, en plus, elle le battait. Nous avons été si choquées ce soir-là que, depuis, nous avons coupé les ponts avec notre sœur Marie. Voilà pourquoi aujourd’hui, ma sœur et moi, sommes si contrariées par votre comportement. Nous ne voulons pas que vous deveniez toutes les deux comme Marie, ce n’est pas comme cela que nous vous avons éduquées !!! »

Nous restons tous les trois stupéfaits par ce que nous venons d’entendre !!! La tante de ma Domina se lève et dit à sa fille : « Maintenant, nous y allons. » Nous nous disons au revoir. Quand je salue Lucie, je ne peux m’empêcher de repenser à ses jolis pieds dont j’ai été tellement ravi de prendre soin. Vu le discours que je viens d’entendre, je sais que malheureusement cela n’est pas près de se reproduire !!! Ma belle-mère répète à sa fille : « Réfléchis bien à tout ce que nous t’avons dit. » Ma Princesse lui rétorque : « Je ne vais pas sortir avec lui juste pour te faire plaisir… Nous pouvons y aller maintenant ? » Ma belle-mère nous laisse partir. Nous allons dans la chambre de ma Maîtresse où je me remets à genoux à ses pieds pour la chausser de ses superbes bottines. Voilà : je viens de reprendre place à ses pieds, c’est ma position naturelle.

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Quand ma Domina est chaussée, nous disons au revoir à sa mère et nous nous mettons en route pour aller chez moi.

Une fois arrivés, comme d’habitude, je m’agenouille de nouveau pour déchausser ma Princesse, avant de monter dans ma chambre. Le sermon que nous ont fait la mère de ma Domina ainsi que sa sœur n’a pour le moment rien changé. Je suis toujours l’esclave de ma Princesse et ma place est à ses divins pieds. Nous reprenons nos petites habitudes. De toute manière, je n’ai pas envie que cela change, je suis très heureux d’être soumis à ma Maîtresse. Comme souvent, elle s’installe sur mon lit. Je place un coussin dans son dos, je lui allume la télévision. Je lui donne la télécommande dont ma Princesse est devenue la propriétaire. Je n’ai pas besoin de vous préciser que c’est elle qui en toutes circonstances choisit les programmes télé et que, bien entendu, je n’ai rien à dire. J’apporte aussi à ma Princesse un plateau avec un verre de Coca et des chips. Mes parents ne sont pas là, nous sommes donc tranquilles.

En moins d’une semaine, j’ai eu droit à un sermon de la part de mes parents et un autre de ceux de ma Domina. Une chose est sûre, la relation que j’entretiens avec ma Maîtresse ne laisse personne indifférent. Au contraire, tout le monde commence à constater que j’occupe de plus en plus une place d’esclave… Une fois que j’ai apporté son plateau à ma Princesse, elle m’indique de son index autoritaire que je dois reprendre ma place au bout de ses merveilleux pieds. Elle m’ordonne  : « Retire-moi mes chaussettes, tu vas encore me masser mes jolis petits pieds. Car lorsque nous étions ensemble, tu t’es plus occupé de ceux de ma cousine que des miens… Alors rattrape-toi maintenant !!! » Je m’exécute, bien évidemment. Je retire ses chaussettes, je prends le tube de crème que j’ai toujours à disposition dans ma chambre et je recommence à lui masser ses merveilleux pieds dont je suis follement amoureux. Je m’applique à mon massage, avec toujours autant de plaisir et de dévouement. Soudain, ma Princesse m’interpelle : « J’ai été très déçue par ton comportement de tout à l’heure ! » Je suis surpris par cette réflexion que je ne comprends pas bien et je lui demandé : « Qu’est-ce que j’ai fait, qui t’a déplu à ce point ? » Ma Domina me répond : « Si tu crois que je n’ai pas remarqué que tu bandais en massant les pieds de Lucie !... Même si ta queue est ridicule, je le vois tout de suite sous ta braguette lorsque tu bandes. Tu vois, cela confirme ce que je pensais des mecs, vous êtes tous pareils, on ne peut pas vous faire confiance. Tu me tiens des beaux discours, tu me fais des déclarations d’amour enflammées, tu me promets un amour éternel. Tu dis que tu n’aimes que moi, que tu ne vois que moi et pourtant tu prends bien du plaisir à masser les pieds de ma propre cousine !... Moi, je t’ai ordonné cela pour t’humilier, pour me venger de ce que tu m’as fait dans la douche… et aussi pour faire plaisir à Lucie. Mais j’ai vraiment été écœurée lorsque j’ai vu que tu y prenais autant de plaisir. En fait, t’es comme tous les autres mecs, t’es incapable de rester fidèle !!! » Je ne sais pas quoi répondre, je ne m’attendais absolument pas à cette remarque. Je tiens les deux magnifiques pieds de ma Princesse dans mes mains. Leurs ongles sont vernis d’un superbe rouge vif. Comme chaque fois que je masse les pieds de ma Domina, j’ai un irrésistible désir de les lui baiser, de les lui lécher.

Au fil des semaines et des mois, je passe de plus en plus de temps aux pieds de ma Maîtresse. J’ai de plus en plus envie de les vénérer avec ma bouche. En ce moment même, ce désir est encore plus fort que d’habitude. Je suis à genoux, tenant les pieds de ma Princesse dans mes mains. Ma Domina, assise sur le lit, me regarde et attend ma réponse. Je ne sais que faire… et là, je me lance sans penser aux conséquences. Je cède au désir. J’approche doucement mon visage du pied droit, ma bouche entre en contact avec sa peau si douce que je baise. Je commence par couvrir tout le dessus du pied de tout petits baisers. Je continue à promener mes lèvres partout de la cheville aux orteils sans oublier la plante. Je veux ainsi montrer, avec ma bouche, mon adoration pour ces sublimes pieds ! (enfin ! Maeva…) Puis, je cesse de faire de petits bisous, le contact de ma bouche sur le pied se fait de plus en plus insistant. Je baise avec passion chaque millimètre carré de peau tendre. Ma bouche, ma langue sont constamment en contact avec la chair précieuse. Mes caresses gardent toute leur intensité, je tiens à procurer à ma Domina une sensation de bien-être absolu, de détente totale. Maintenant, j’approche doucement ma bouche de ses superbes orteils, je les baise avec la même passion. Je les suce un par un. Je lèche chaque millimètre de peau, je passe ma langue entre les si jolis doigts de pied.

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Lorsque j’ai commencé à honorer ainsi les pieds de ma Domina, j’ai été très étonné qu’elle ne réagisse pas violemment. Je l’avoue : je pensais vraiment qu’elle allait me donner un violent coup de talon au visage. Mais au contraire, lorsque j’ai commencé à déposer les premiers baisers sur ses pieds de reine, j’ai senti qu’elle se détendait, qu’elle se relâchait. Ma Princesse ne m’a rien dit, elle s’est simplement laissé faire.

Je continue donc de vénérer son merveilleux pied droit. Après m’être occupé du dessus et des orteils, j’ose me baisser, afin de me retrouver sous la plante de ma Domina que je baise avec douceur. Je sens le corps féminin frémir sous ma caresse. J’entends de petits soupirs de contentement, peut-être même de jouissance. Je finis par honorer le talon, que je baise lui aussi avec un amour fou et une dévotion totale. Au départ, j’étais stressé, tant j’avais peur de la réaction de ma Maîtresse. Mais au bout de quelques minutes, l’excitation a complètement pris le dessus et je ne pense plus qu’à une chose : vénérer et honorer de mon mieux ses magnifiques pieds. À ce moment-là, je ne vis plus que pour cet instant magique. Imaginez, j’ai 19 ans ! Cela fait des années que je rêve de baiser et de lécher les pieds d’une femme et voilà que mon rêve est en train de devenir réalité !… Ce moment est magique, incroyable. Je me sens l’esprit complètement libre, je suis enfin à ma place, je suis heureux et comblé.

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Au moment où je remonte doucement le long de la cheville droite de ma Princesse, elle m’arrête en me disant des paroles que je n’oublierai jamais : « Maintenant, je veux que tu fasses l’amour avec ta bouche à mon pied gauche, comme tu viens de le faire à mon pied droit. C’est trop bon !!! » Je suis stupéfait par l’expression que ma Princesse a utilisée, mais bien entendu je me précipite sur son pied gauche. Et je lui fais l’amour avec ma bouche, comme à l’autre.

Depuis ma rencontre avec ma Princesse, je n’ai qu’une envie en tête, qu’un désir : être complètement prosterné devant ses merveilleux pieds et lui prouver ainsi mon amour et mon envie de me soumettre à sa volonté. « Faire l'amour » à ses pieds avec ma bouche : cette expression représente parfaitement ce que je ressens. Ce que je veux dire, c’est que lorsque je me suis imaginé en train de baiser les pieds d’une femme (et Dieu sait que je l’ai souvent fait !), je me suis toujours dit qu’il serait hors de question de me contenter d’y poser quelques bisous. Non ! Je tenais à prouver mon adoration pour ses pieds. Je voulais qu’elle le ressente dans l'intensité et la manière de déposer mes baisers sur sa peau.

C’est pour cela que, maintenant que j’ai commencé à baiser les pieds de ma Maîtresse, je tiens vraiment à lui montrer toute mon adoration  pour eux et pour elle. Je sais que je n’aurai peut-être pas une autre chance et je veux absolument que ce moment de complicité extraordinaire entre ma Princesse et moi soit unique. Jusqu’ici, lorsque j’imaginais cette scène, j' avais parfois l'impression d'être bizarre ou en tout cas que l'on pourrait me considérer comme tel. Mais en ce moment, je sais que cela n’a rien de bizarre : je suis enfin en accord total avec moi-même. Avant de découvrir (peut-être) le bonheur de faire l’amour à une femme, je découvre celui de « faire l'amour » avec ma bouche à ses merveilleux pieds. Et sincèrement, je suis heureux, très heureux, d’avoir découvert ce plaisir-là en premier. Peut-être ne découvrirai-je jamais celui de faire l’amour à une femme. Je ne sais même pas si je serai doué pour cela avec ma petite queue… Mais en tout cas, je suis comblé de découvrir la joie de vénérer les pieds de ma Princesse. Je vois bien que je suis assez doué pour cela et je ne demande rien de plus. Être aux pieds d’une femme est pour moi le plus grand des bonheurs. Je ne demande que cela, je suis fait, je suis né pour cela : vivre aux pieds d’une femme, aux pieds de ma Princesse…

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Ce moment dure une heure environ, pendant laquelle ma Princesse se détend et se relaxe. Ses légers soupirs, les petits cris qu’elle pousse sous  mes baisers, me rendent encore plus fou d’excitation. J’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon boxer. Je suis heureux car j’ai évité la question de ma Princesse et surtout j’ai enfin réalisé mon plus grand rêve. Mais tout a une fin, et lorsque je vais avoir fini d’honorer les pieds de ma Maîtresse, comment va-t-elle réagir ?

J’aimerais avoir vos réponses à cette question.


Paillasson ch’ti, soumis virtuel favori de
Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 06:47



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.... qu'importe? ... la vie continue ... Epargnez-moi vos voeux de début d'année, je déserte ce rituel hypocrite depuis l'enfance.... à minuit moins dix, j'allais me cacher pour éviter cette mièvrerie obligatoire..... merci d'en tenir compte.

Par MAEVA - Publié dans : Information importante
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Vendredi 25 décembre 5 25 /12 /Déc 13:46
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.... Vous vous attendiez à un "Joyeux Noel" consensuel? Ma réponse est : Grève du site "MAEVASLAVE", grève illimitée des acteurs (ils sont deux, travaillent trop, ne se voient plus beaucoup...), grève des articles, grève des photos, tant il est difficile d'en insérer une ..... et merci à over bug!
Comme ma consoeur blogueuse du site "Titia d'or":
htttp://titia-d-or.erog.fr , je suis en grève, moi aussi, c'est la deuxième fois en deux ans, en voici les raisons:
- je me lasse, je m'ennuie, ça "ronronne"...
- Le bug concernant l'insertion de photos m'a achevé en cette fin d'année, et ce qui m'a le plus épuisé est leur déni des problèmes...
- j'en ai marre des 500 visiteurs par jour pour 3 commentaires plus ou moins soporifiques.... à quelques exceptions prêt...
- Je suis excédée par les fêtes obligatoires de fin d'année, l'idéologie dominante et arrogante, les marchands du temple: Auchan, Carrefour, Centres Leclerc, lesquels exploitent honteusement leurs salariés, appauvrissent jusqu'au désespoir les agriculteurs et les pêcheurs, tuent à petit feu les petits commerçants...
- J'en ai ras le bol de ce père Noel et de son costume ridicule arboré en tous lieux (issu de la marque Coca cola....)...
- J'en ai marre de ce pseudo bonheur dans la marchandisation mondiale du monde, marre de la bétise, des lieux communs, du "prêt à penser", marre de la "macdonalisation" de la planète.... marre de la télévicon, de ses émissions de variétés bétifiantes, réchauffées au bain - marie de la connerie ambiante, marre du nivellement par le bas.
- Plus que ras le bol de l'arrogance des nantis qui contraste avec la misère de beaucoup.... marre de ces banksters qui nous grugent, marre des petits tartuffes encravatés qui voudraient nous faire croire en des jours meilleurs...
- Marre de l'indifférence, marre des infirmes du coeur..... marre de ceux qui viennent ici pour se rincer l'oeil et qui ne donnent jamais rien!

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Grève illimitée....les portes se ferment....les tours sont délaissés.....grève illimitée....

GREVE ILLIMITEE DU SITE MAEVASLAVE!!!!
Par MAEVA - Publié dans : Information importante
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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 08:44

J'ai le plaisir de poursuivre la publication de l'histoire de slavio, ça tombe un pic, cet épisode un peu "trash", au milieu des "ron-rons" débiles de Noel, entre la dinde aux hormones et la bûche dégueu dégoulinant de glucose tueur.... joyeux Noel!
PS: Vous remarquerez que j'ai réussi à insérer quelques photos....avec moultes "combines" et détournement du système .... je m'adapte!

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MA FEMME ME PRÊTE À SA SŒUR

Chapitre IX

 

Possédé par une Femme…

 

Maintenant, ma vie d’esclave auprès de ma jolie Belle-Sœur a pris sa vitesse de croisière. À l’exception de la cuisine, dont elle se charge, je fais tout sous son intraitable supervision. Tandis qu’elle se repose ou s’amuse tant et plus, je ne dispose guère que de six heures de sommeil, mais je m’y suis habitué. Larbin, chauffeur, homme de ménage, plongeur, simple pièce de mobilier (repose-pieds et siège improvisé surtout), je dois aussi saisir des textes de lettres, répondre au courrier et au téléphone, envoyer des messages, courir à la poste, faire les commissions, faciliter en tout la vie de ma Maîtresse, veiller à son confort, à son bien-être, à son repos, à ses plaisirs, l’aider à recevoir ses amies et les servir toutes à leur guise. Je n’ai jamais été exploité à ce point. La vie aux pieds de mon Épouse me semble maintenant une sinécure. Mais j’aime ces chaînes volontairement endurées, cette fatigue qui m’écrase et qui me rive à la volonté des Femmes mais que je parviens à transcender.

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J’aime cette existence de totale soumission à la Femme et de renoncement à toute satisfaction autre que celle d’être le meilleur esclave possible pour cette merveilleuse Dame que je commence à aimer presque autant que sa Sœur. Je sens que je suis fait pour cette vie, autant que ma Belle-Sœur (ainsi que nombre de Femmes qui l’ignorent encore) a la Domination dans le sang.

Et puis, il y a les plaisirs physiques, dont ma très sensuelle Belle-Sœur, qui a compris que ma Femme a fait de moi un expert en caresses et qu’elle peut m’utiliser sans crainte, se montre de plus en plus gourmande. Mes doigts, mes lèvres, ma langue, tout lui est bon. Tout la fait jouir. Je la fais jouir aussi avec des godes, avec des bananes même, avec des petits concombres, à sa fantaisie.

Enfin, je la fais jouir avec ma modeste queue, dont elle apprécie la fermeté durable (presque constante même, tant je vis dans un désir frustré permanent). Elle m’en dit du bien, tout en la flattant distraitement après avoir joui de mes préliminaires, et avant de me permettre de la pénétrer pour la mener à un nouvel orgasme. Elle se montre même plus loquace que jamais.

« Tu vois, esclave, je la trouvais insuffisante pour moi, ta petite chose, mais j’avais tort. Ce n’est pas un morceau de reine, c’est vrai, mais elle fait bien son boulot. Elle ne m’a jamais trahie quand j’en avais besoin. Et puis, c’est si commode pour moi d’en avoir une sous la main, prête à me servir dès que l’envie m’en vient ! Car jouir en me faisant caresser, c’est aussi bon que jouir en baisant, et inversement, mais c’est différent. Ma jouissance n’est pas la même. Une queue bien raide, c’est autre chose qu’une langue. Je ne dis pas que c’est forcément meilleur, mais c’est autre chose. Et moi, comme toute Femme je pense, j’aime varier mes sensations. J’en ai même besoin. C’est pour ça que j’aime aussi te prendre à fond. J’aime te sentir t’agiter en moi, travaillant de toutes tes forces à me satisfaire, tout en sachant que tu n’auras sans doute droit à rien d’autre… sauf si je suis bien lunée et te permets de te soulager sur mes chevilles, mes chaussons ou mes chaussures, pour me les lécher ensuite… »

Et moi, d’entendre cela, même si j’ai le ventre transformé en caillou à force de me retenir, je fonds d’amour et de vénération. J’ai plus envie encore de me dévouer entièrement, de faire toujours mieux et davantage pour la joie de ma Propriétaire. Alors, quand ma Belle-Sœur me prend en elle, quand je sens son vagin avaler, dévorer, bouffer mon petit engin aussi raide qu’une matraque de CRS, je baigne moi aussi dans la joie et je me dis : « Jamais un homme libre ne saura aimer une Femme comme un esclave adore la Maîtresse qui se joue de lui, de ses  sensations et de ses sentiments ! »

Alors, m’oubliant tout à fait, ne vivant et ne vibrant plus que pour la Femme que je sers, dont j’appelle la jouissance de toute mon énergie virile, je réussis toujours à donner à ma Belle-Sœur un bon orgasme qui souvent même est fulgurant. Elle dit : « C’est dingue, mais je crois que je jouis plus fort avec toi qu’avec mes amants ou avec des filles, simplement parce que je sais que tu es totalement à moi, que je recevrai tout de toi, et que toi tu n’auras rien de moi !… »

Puis, quand elle a bien joui, quand elle ne réclame plus de plaisir pour l’instant, ma Belle-Sœur se fait essuyer par ma langue, par mes cheveux. Ma salive la lave, lui assouplit et lui nourrit la peau. Je lui apporte à boire et elle dit d’une voix un peu éteinte : « Tu m’as crevée. Je n’en peux plus. Je vais dormir un peu. Et toi ? – Moi, il me reste pas mal de travail, Maîtresse. – C’est bien, vas-y… »

*

J’ai maintes fois remarqué qu’après qu’une Femme a joui à sa suffisance, elle aime à se reposer un bon moment... surtout quand son esclave, plus épuisé encore, doit travailler pour elle. Mon Épouse m’a souvent dit que ce repos lui-même lui est un plaisir de plus, quand moi-même ou un autre de ses partenaires sexuels avons réussi à la mener jusqu’à sa volupté.

« Vous, les hommes que nous utilisons, vous ne pouvez pas comprendre cela car vous n’êtes pas faits pour recevoir le plaisir mais pour essayer de nous le donner. Souvent, quand un mâle a beaucoup donné de plaisir à une Femme, ce qui n’arrive malheureusement pas aussi souvent que vous le prétendez, et après son spasme bref qui s’éteint sans suites, il s’endort de fatigue. Et bonjour ensuite pour le réanimer, alors que nous ne sommes pas encore rassasiées. Même si on ne lui a pas permis d’éjaculer, il dit qu’il se sent vidé et qu’il a besoin de récupérer pour nous honorer de nouveau. Et souvent hélas, pauvres de nous, ce n’est qu’une promesse qu’il n’est pas fichu de tenir, ce qui explique que nous soyons si nombreuses à nous tourner vers les Femmes ou à avoir besoin de plusieurs mâles pour en obtenir notre pleine satisfaction sexuelle… Chez nous autres Femmes, c’est autre chose. Après l’orgasme, nous sentons encore le plaisir se répandre partout dans notre chair. Il est là, il irradie dans notre corps, nous baignons dedans. Nous avons encore les tétons tout durs, notre chatte est encore toute chaude et elle suinte encore sa rosée, notre clitoris reste si sensible que, souvent, il ne supporte plus le moindre effleurement. Si nous nous touchons du plat de la main ou du bout des doigts le ventre ou l’intérieur des cuisses, ou les fesses, ou leur pli, ou nos jambes, nous tressaillons de bien-être. Alors oui, une douce torpeur s’empare de notre être tout entier et, en soupirant d’aise nous nous mettons à sommeiller, mais sans que pour autant disparaissent de nous les impressions sensuelles. Nous les ressentons, nous en jouissons dans notre sommeil même… Mais je perds mon temps avec toi. Vous êtes tellement rudimentaires de tout point de vue que je ne sais pas bien comment t’expliquer ça. Et d’ailleurs, tu n’es pas équipé intellectuellement ni physiquement pour le comprendre. Alors, contente-toi de croire ce que je t’en dis ! »

*

C’est tout cela que je me répète et me remémore alors que les deux amantes, après que je leur ai apporté un grand verre de jus d’oranges et que je les ai lavées de ma bouche, se sont assoupies, blotties dans les bras l’une de l’autre, chevelures épandues autour de leurs jolies têtes, seins dardés et encore frémissants dans le sommeil, indifférentes à l’excitation que peuvent faire naître en moi leurs deux lascives nudités. Et pour le bienheureux esclave que je suis, c’est un bien beau et bien touchant spectacle à contempler dans cette chambre emplie de la discrète senteur de leur union,  mêlée aux émanations de leurs parfums subtils.

Je reste sur mes genoux endoloris à admirer et aimer mes deux Maîtresses.

*

Dès que la jolie Chinoise émerge de son somme, elle se penche sur ma Belle-Sœur et, des lèvres et de la langue, là fait se réveiller à son tour. Elles ont faim ! Elles me réclament une pomme, un café et un verre d’eau. Je cours à la cuisine. « En même temps, apporte-moi mon sac à main », me crie la masseuse, avant de reprendre la bouche de son amante.

Agenouillé près du lit, du côté de ma Belle-Sœur, je pèle les pommes, en ôte le trognon et les pépins, les découpe en quartiers, les leur sers sur des soucoupes. Elles mangent, font glisser les morceaux de fruits avec de l’eau, me réclament le café. Je leurs tends les tasses. Ma Belle-Sœur, par habitude, s’essuie les doigts dans mes cheveux que je dois laver tous les soirs. Voyant cela, la Chinoise m’appelle de son côté, me fait renverser la tête et ouvrir ma bouche. Tout en me triturant longuement des mèches, qu’elle n’hésite pas à tirailler pour s’amuser de mes grimaces, elle laisse filer dans ma gorge de longs filets de bave chaude et gluante dont je me délecte comme d’un miel. Pour finir, elle m’y expédie un gros crachat et je lui murmure : « Merci, Madame ! ».

Comme Dominatrice, je crois qu’elle serait encore pire que ma Belle-Sœur !

« J’ai une surprise pour toi, me dit-elle. Je crois qu’elle va plaire à ta Maîtresse et à moi aussi. Pour toi, je ne sais pas encore. Passe-moi vite mon sac. » Elle l’ouvre et en sort un objet encore très rare à l’époque et difficile à se procurer en France (elle dira plus tard l’avoir fait venir des States par des amis), un godemiché à ceinture ! Je connais la chose par ouï-dire et par des photos cochonnes, mais c’est la première fois que j’en vois une, en vrai. De la façon dont la Chinoise tient l’objet, je ne le vois que partiellement. D’ailleurs, j’ose à peine le regarder, tant je le trouve impressionnant de taille, menaçant.

La Chinoise se lève et m’ordonne de l’aider à ceindre l’engin qu’elle maintient à deux mains devant son sexe. Je tombe à genoux derrière elle pour lui entourer la taille de la ceinture au milieu de laquelle passe la boucle d’une sangle qui se coule entre ses cuisses, se séparant en deux au-dessus de son sexe et de son anus et qui, par-devant se fixe à la base du phallus artificiel pour le maintenir. Une autre sangle, partant du même point, entoure les hanches, assurant une grande fixité à l’ensemble. La croupe de la masseuse, au bout de mon nez, d’une senteur si aphrodisiaque et d’un grain de peau si fin que celle-ci en devient comme transparente, est si tentante que je manque de peu y déposer des baisers, mais je me souviens à temps de la correction que j’ai subie l’autre jour.

Pour l’instant, je crois encore que la Chinoise veut posséder ma Belle-Sœur, mais je suis vite détrompé, quand elle me dit sans préambule : « Mon petit vieux, tu vas sagement t’allonger entre les jambes de ta Maîtresse pour lui brouter le minou comme tu sais le faire, et moi, pendant ce temps, je vais… eh bien, je vais t’enculer ! » Ma Belle-Sœur n’a pas l’air surprise, ce qui me donne à penser que toutes deux se sont mises d’accord, sur mon dos, si l’on peut dire. Du coup, je regarde l’engin qui maintenant se balance de façon agressive sous le ventre de la Chinoise.

Photo 079 (1) - Copie

Son diamètre et sa longueur m’avaient bien étonné, mais je m’étais dit que certaines Femmes, et probablement ma Belle-Sœur qui ne parle jamais de mon sexe sans le qualifier de « petit », voire de « ridicule », apprécient les braquemarts de fort calibre. Je m’étais dit aussi que le vagin d’une Femme, qui peut se serrer sur une verge de petite taille, est d’un autre côté incroyablement extensible (puisqu’il permet la naissance !) et que celui de ma Maîtresse avalerait sans problème cette énorme fausse queue.

Quand j’apprends que celle-ci est en fait destinée à me sodomiser, peu s’en faut que je sois saisi de panique. Non : je suis saisi de panique mais je réussis à ne pas trop le montrer. D’ailleurs, la Chinoise ne m’en laisse guère le temps. Tandis que ma Belle-Sœur se couche comme elle était au début, cuisses ouvertes, attendant ma bouche au plus intime d’elle-même, la masseuse, tenant d’une main sa queue en latex souple-dur, très réaliste, avec gland découvert et veines noueuses le long de la tige, s’approche de moi qui suis toujours à genoux et la présente devant mes lèvres.

« Tu vas bien la sucer et la lécher, et surtout bien la mouiller, afin qu’elle entre sans problème dans ton cul, malgré sa taille… » Appuyant sur mes lèvres et me les écartant sous sa pression, le gland force déjà l’entrée de ma bouche que j’ouvre aussi large que je peux. Puis, lentement mais avec puissance et obstination, la Chinoise fait avancer la tige, la retire, garde un moment le bourrelet à l’orée de mes lèvres, me laissant le temps de titiller le faux gland du bout de la langue, puis s’enfonce un peu plus loin, plus ou moins brutalement, revient en arrière, met la queue artificielle de biais contre l’intérieur de mes joues, la pousse contre ma langue qu’elle refoule. Bref, elle s’arrange pour posséder ma bouche de toutes les manières.

Je bave comme un escargot, mais la masseuse me dit que c’est bien, que c’est fait pour ça. Et puis, sans crier gare, une main aux hanches, l’autre serrant ma nuque et me tirant à elle, elle donne un brutal coup de reins qui propulse le gode jusqu’au fond de ma gorge qu’il percute. Cela m’arrache un haut-le-cœur mais, inflexible, ma tourmenteuse maintient le priape en place, à m’en étouffer, à m’en faire pleurer. Je tousse, je pousse des grognements involontaires et bave de plus belle. « C’est parfait, dit ma tortionnaire en riant, tu es un garçon bien facile et bien docile. Une Femme peut t’utiliser comme elle veut. Mais je crois que ça ira. Tu me l’as assez lubrifié. »

Prenant tout son temps, la Chinoise retire alors de ma gorge l’engin tout luisant. J’en suis si soulagé que je lui en bredouille un « Merci, Madame » aussi respectueux que sincère qui semble la ravir et la fait de nouveau sourire. Elle me demande alors si j’ai déjà été sodomisé. Je lui dis que oui, il y a longtemps, à seize ans, par quatre copains de dix-huit ans et plus qui manquaient de filles alors que nous campions en bande, mais je précise aussitôt que leurs sexes étaient loin de valoir celui-ci ! « Tu n’as jamais été possédé par des vrais hommes bien montés, ni avec des godes comme celui-ci ? » poursuit-elle. Pour les hommes, je lui réponds que non, mais que je me suis introduit moi-même à divers moment un goulot de bouteille, un manche de brosse en plastique et un pilon en olivier, mais toutes choses de petit diamètre. Elle rit et ma Belle-Sœur aussi. « Décidément, tu n’es rien qu’un sale petit vicieux ! » conclut ma Maîtresse.

Voyant qu’elles sont d’humeur gaie et qu’elles n’ont pas l’air méchantes, je m’enhardis même à dire : « Excusez-moi, Madame, je ne voudrais pas vous contrarier mais je ne crois pas que ça… que ça puisse entrer. C’est vraiment trop long et surtout trop gros… et je suis très serré. – Mais si, tu vas voir. On va y arriver, ne t’inquiète pas. Il ne faut surtout pas te raidir, résister, mais te laisser aller, t’ouvrir, te ramollir, m’accueillir, me laisser faire ce que je veux, et tu verras, tout ira bien. Tu ne voudrais tout de même pas nous décevoir toutes les deux, alors que tout ça nous amuse beaucoup. Plutôt qu’à la douleur que tu ressentiras forcément, mais peut-être pas aussi forte que ce que tu crains, pense à la joie que tu vas nous donner, au plaisir que nous allons tirer de toi, à la fierté que nous allons ressentir. Offre-nous ta souffrance, si souffrance il y a, comme tu nous offres ton obéissance… Mais ça suffit ! Assez discuté ! Allonge-toi entre les jambes de ta Maîtresse, que je lubrifie le « petit ». »

Avec beaucoup d’adresse, la Chinoise étale sur mon anus et tout autour un gel lubrifiant, lui aussi tiré de son sac et qui possède à ce qu’il me semble un certain effet décontractant et anesthésiant. La tête de côté, je la vois ensuite enfiler un gant de latex à sa main droite et déposer une noix de ce produit sur le bout de ses doigts. Bientôt, son index, suivi de peu du médius et enfin de l’annulaire viennent m’élargir la pastille. Je suis étonné et un peu rassuré de la facilité avec laquelle la Chinoise a fait pénétrer ses phalanges en moi, mais l’angoisse est toujours là : l’engin qui va me pénétrer les entrailles est bien plus gros que trois doigts de Femme, assez déliés, même réunis. Ne va-t-il pas me déchirer, me faire honteusement hurler ?

Apparemment satisfaite, la masseuse arrache ses doigts de mon anus, enlève son gant, puis dispose un gros coussin au bord du lit sur lequel elle me fait plaquer mon ventre, de telle sorte que mon derrière soit soulevé. « Ma chérie, tu veux bien faire glisser un peu ton joli cul vers nous ? suggère-t-elle à ma Belle-Sœur. Amène ta fourche jusqu’à la bouche de l’esclave, qu’il puisse atteindre facilement ta chatte ou ton derrière, ainsi qu’il te plaira... »

Quand j’ai le nez dans la broussaille parfumée et moite de ma Maîtresse, je commence à la lécher et à la sucer ainsi que je le fais d’habitude, avec tact et amour, avec tendresse, ou fougue selon les moments et les réactions de ma Belle-Sœur qui me conseille : « Concentre-toi sur ce que tu me fais, sur le plaisir que tu veux me donner, pense à mon bonheur, rien qu’à mon bonheur, et tu verras, ça entrera mieux par-derrière… »

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Pourtant, quand je sens les mains de la Chinoise se poser sur mes hanches, quand la tête ballottante du gode s’immisce entre mes cuisses, puis remonte entre mes fesses et se dirige peu à peu vers mon anus, conduit vers son objectif par les mouvements de bassin de la masseuse dont le ventre effleure mon cul, je ne peux m’empêcher de paniquer.

Me surprenant, la Chinoise me claque les fesses, plusieurs fois. « Tout doux, tout doux. Ne te raidis pas. Tu es tout contracté. Tu vas voir, une fois le gland entré dans ton cul,  ça va être de la rigolade. Tu vas tout prendre comme un grand, jusqu’au bout, jusqu’à sentir mon ventre contre tes petites couilles dodues… »

Et ma Belle-Sœur, la respiration un peu courte déjà : « Hé, machin, n’en profite pas pour ralentir tes caresses. Je ne sens plus bien ta langue. Tu n’as pas intérêt à me louper, concentre-toi sur Mon plaisir et rien d’autre ! » Elles sont terribles toutes les deux !

Et voici que l’ogive du gode appuie de plus en plus fort sur mon petit trou. D’un énorme effort de volonté, je me force à me distendre, je relâche tous les muscles de mon corps, je me fais tout mou. Et le miracle annoncé a lieu : je viens de sentir le bourrelet du gland franchir mon entrée. Pendant que ma Belle-Sœur se frotte la chatte contre ma bouche, m’incitant ainsi à la lécher plus fort, la Chinoise reste un moment immobile, me laissant le temps de me dilater sur la grosse tige qui ne me possède encore que de quelques centimètres. Elle me griffe le dos en cadence, me frappe en cadence les épaules, les côtes, le cul…

« Tu es dedans, ma chérie ? – Oui, ce fut moins difficile que je ne le pensais. Il s’est bien détendu. J’ai pris comme ça pas mal de mecs qui se sont montrés bien plus durs que lui à la détente. C’est une perle, cet esclave. Drôlement malléable. On en fait exactement ce qu’on veut. Et toi, ma biche, il te suce bien au moins ? – Bien obligé ! Tu crois que je le laisserais me manquer...  de respect ? » Elles poussent un petit rire cristallin, plein de contentement.

Maintenant, la Chinoise passe ses mains sous moi. Elle les fixe durement à la jointure de mes cuisses. Les choses sérieuses commencent, on dirait. Appréhendant ce qui m’attend, je redouble de caresses comme me l’a recommandé ma Belle-Sœur. Mes lèvres, ma langue deviennent encore plus actives et font gémir ma Maîtresse. J’ai même l’idée de glisser mes mains sous ses fesses, et de les rapprocher pour pouvoir lui doigter doucement l’œillet d’un médius puis de l’autre. Elle sursaute et se tortille, signe qu’elle aime.

Ma tactique était bonne : sous la poussée continue et puissante de la kiné dont la force m’étonne, je sens progresser dans mes boyaux le gros mandrin de plastique, sans que cela me fasse vraiment mal. Juste un échauffement à l’entrée. À un moment même, quand la tête du gode a appuyé sur ma prostate, j’ai ressenti une sorte de plaisir diffus, vite dissipé quand le mandrin a pénétré plus avant. Alors, d’un dernier coup de reins et d’une seule coulée irrésistible, la Chinoise me possède de toute la longueur de son engin et me pilonne le derrière. Son ventre claque plusieurs fois contre mes fesses. Je lâche des cris sourds qui traduisent plus de satisfaction et de fierté que de douleur. Sans doute suis-je intimement heureux d’avoir pu, une fois de plus, m’absenter de moi-même pour contenter une Femme en me soumettant sans protester ni me défiler à sa fantaisie.

« Eh bien, tu vois, esclave, c’est pas si terrible de se faire enculer par une Femme ! »


Mais bientôt elle va se taire, sans que je comprenne pourquoi. J’admets qu’elle ait plaisir à me posséder et m’humilier de la sorte, surtout devant son amie, qui elle aussi geint sous mes coups de langue et les caresses de mes doigts, mais d’où lui vient cette jouissance physique que je sens et entends monter en elle ? Ce morceau inanimé, ce faux phallus, ne peut lui transmettre aucune sensation sexuelle. À moins que, l’excitation génitale aidant, ce soit la simple pression de la base sur son sexe qui mette son clitoris en ébullition ?… La vérité est tout autre, car ce que je n’avais pas vu quand je fixais le gode à son corps et que la Chinoise le maintenait devant sa vulve, c’est qu’elle avait déjà introduit dans celle-ci un autre gode, de moindres dimensions, disposé en biais à partir du petit socle central, sur lequel elle s’est « baisée » elle-même tout en me sodomisant ! (Je ne découvrirai cela que plus tard, quand je lui enlèverai son harnachement et quand, ayant sucé longuement la partie qui plongeait dans son vagin et qui porte ses fragances, je nettoierai aussi de ma bouche l’autre partie, à peine souillée par moi, grâce au lavement quotidien que ma Belle-Sœur me force à me donner moi-même, matin, midi et soir.)

Malgré les risques d’hépatite virale – car certains germes pathogènes vivant leur vie dans le colon peuvent être très destructeurs dans la bouche - j’ai malgré tout une chance extraordinaire aujourd’hui. Pendant que la masseuse continue à me ramoner avec vaillance, avec je dois dire une certaine douceur qui me fait littéralement mouiller du cul (ou bien est-ce le gel que je sens sourdre ?), je redouble de caresses sur la motte de ma Belle-Sœur et j’ai bientôt le bonheur rarissime d’entendre et de sentir les deux Femmes venir en même temps à leur jouissance. Tandis que je lape la grande quantité liquide que me donne ma Maîtresse qui m’a empoigné par la tignasse, son amie, qui accélère ses coups de cul, me laboure le dos et le côté des cuisses de ses ongles…

*

Satisfaites, repues de plaisir, nettoyées, rafraîchies d’une orangeade, mes deux Dominatrices se sont quiètement endormies, lovées l’une contre l’autre, presque l’une dans l’autre et je suis retourné à mes occupations d’esclave.

Au réveil, ma Belle-Sœur, laissant se reposer son amie, veut que je lui lise des extraits de L’Art de l’excrétion (en anglais, The ultimate training), un opuscule qu’elle adore, écrit par Astride, une Dominatrice américaine, auteure également de L’Art de l’étouffement et de Puissance du jupon. Et voici sur quel passage je tombe, dans lequel une Femme, après s’être fait donner le spasme sexuel, s’apprête à se soulager dans la bouche d’un esclave qu’elle a fait allonger sur le sol et sur la bouche grand ouverte duquel, arrondissant autour de ses hanches sa robe sous laquelle elle ne porte rien, elle va tout naturellement s’accroupir.

« L’esclave devra également songer au plaisir qu’il donne à sa Déesse. C’est la seconde parmi les choses les plus humiliantes qu’il peut accepter de faire pour elle et, s’il l’aime vraiment, il l’accomplira sans retenue. Il imaginera le sentiment de pouvoir qu’elle éprouve en le voyant, à genoux ou allongé, gisant devant elle, très humblement, ouvrant une bouche qu’elle va utiliser comme pot de chambre.

» Pour la Femme, cette sensation de pouvoir est accrue quand sa vessie se contracte et qu’elle observe son beau liquide doré en train de couler dans la bouche de son esclave, qui continue à l’avaler sans la moindre marque de dégoût sur son visage.

» Voici un homme totalement à sa merci ! Et elle se demande ce qu’il ne ferait pas pour elle quand elle le voit en train de boire avec ravissement son urine, un déchet corporel, comme si c’était un cocktail raffiné.

» Habituellement, quand une Femme lui urine dans la gorge, l’homme doit la prier de se soulager par giclées, afin de ne pas laisser perdre une goutte de ce précieux liquide. »

Notre Chinoise s’est réveillée sans que nous en soyons rendu compte. Elle dit : « C’est drôlement beau ce qu’il vient de lire ! – Oui, chérie, je trouve moi aussi. Mais je ne sais pas si je le ferais. – Et pourquoi donc ? – Ce n’est pas très sain, je trouve. – Oh, tu sais, notre pisse, ce n’est guère que de l’eau, plus ou moins salée, avec quelques autres constituants que ton joli corps, tes reins précieux, ont filtrés, épurés. L’urine de Femmes saines comme nous est un liquide neutre, aseptique… N’oublie pas qu’un peu partout dans le monde, pas mal de gens se soignent en buvant chaque matin un verre de leur propre urine !… ‑ Ah, bon ? Ce n’est pas un truc pour moi, ça. Mais dans ce cas, effectivement ce doit être assez jouissif de forcer un esclave à supporter cela. C’est quand même une sacrée humiliation... quoiqu’il bénéficie d’une enviable compensation : il boit à même une jolie source et il la contemple de près. – Il la contemple… si on veut, parce qu’on peut lui mettre un bandeau, afin de n’en faire qu’une bouche, une vasque, un égout. Et puis, tu sais, j’ai entendu dire que certaines Femmes préfèrent uriner dans un récipient duquel leurs esclaves vont boire leur boisson préférée. Par exemple, on emporte une fiole au restaurant. On dit que c’est un médicament que le mâle doit prendre… et il n’a pas le droit de boire autre chose. – Ça doit être bien amusant. – Oui, et bien excitant aussi pour une Femme dominante. – Ça te plairait qu’on le fasse à mon esclave ? – Ah ça oui, alors ! – Allons, toi, tu as entendu ? Va te mettre en place dans la salle de bains et plus vite que ça ! Tu dois avoir soif depuis le temps que tu salives pour nous ! Toi, tu n’as rien bu, mais nous, oui. Alors, crois-moi, on va t’en donner de notre élixir doré !… »

(À suivre…)

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : BDSM
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Lundi 21 décembre 1 21 /12 /Déc 17:20




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Photo 1: Je viens de réussir à insérer une photo nouvelle dans les dimensions désirées.....ça re-fonctionnerait?

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Photo 2: Déconfiture (et pas au petit déjeuner! ) La photo est d'une dimension ridicule, ça fonctionne maintenant une fois sur deux? Over-bug ne m'a pourtant pas accordé 50% de réduction, lorsque j'ai renouvellé mon abonnement, il y a quelques jours....à leur décharge, il y a eu un net progrès en douze jours: les photos ne se placent plus n'importe comment, elles sont toujours minables mais policées! Il vaut mieux en rire, pas vrai? La vraie vie est ailleurs: Allez vous aérer, allez
marcher, courir, inventez des formules de nuit et de jour, des exorcismes pour vaincre la morosité de Noel et ses fastes indécents, dégoulinant de glucose et de sentiments bien-pensants.....

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Ultime essai: Comment overbug transforme une grande photo en haute résolution.....alchimie du numérique.... ils sont très forts!

Par MAEVA - Publié dans : BUGS
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Lundi 21 décembre 1 21 /12 /Déc 12:58

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.... n'est ce pas le voeu secret de tout soumis potentiel? Alors, comme cadeau de fin d'année, cette opportunité d'obéir à un de Mes désirs, Mon désir de ce jour: allez rendre visite à l'excellent site de la mystérieuse Titia (feet le chien accro depuis 24 heures, c'est lui qui me l'a chaudement recommandé), et ne jouez pas les goujats comme vous le faites si souvent: Remerciez en laissant un commentaire sympa et poli, ce serait le minimum! Voici le lien:
http:// titia-d-or.erog.fr
Comme ce lien ne fonctionnera sans doute pas comme "dans le temps", le bon vieux temps où je pouvais insérer 25 photos grand format dans un article, allez dans mes liens, et cliquez sur "Mon site préféré"....
Ce blog/site est érotisme, sensualité, mystère, insolite, et ...intelligence du coeur! Mon chien adore, et moi de même! J'attends vos réactions!
PS: Je n'ai pas résisté à l'envie d'insérer une photo quelque peu fétichiste, le résultat est consternant.... retournez dans le temps, avant le neuf décembre, et vous comprendrez ma colère au regard de la dégénerescence qualitative du blog.... et le pire, je paye pour ces résultats minables!

Encore un essai.....
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Par MAEVA - Publié dans : Information importante
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Vendredi 18 décembre 5 18 /12 /Déc 08:24

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Voici le résultat: une photo de dimension ridicule.... et ce bug dure depuis neuf jours, je commence à perdre espoir...
Par MAEVA - Publié dans : BUGS - Communauté : BDSM
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Jeudi 17 décembre 4 17 /12 /Déc 10:25
Copie-de-DSCF4557.JPGDSCF5863

..... une fausse joie: j'ai réussi une fois, mais pas deux.....somme-nous limités à une seule photo par article?



Par MAEVA - Publié dans : BUGS - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 22:24

Je ne peux pas attendre, même sans images (merci overbog...), je publie la suite de la monographie de "paillasson ch'ti", cela devient de plus en plus excitant, et j'espère que la source de cette inspiration, fondée sur des évènements réels, vécus, et assumés (et ce n'est pas rien!), j'espère qu'elle dure encore au moins une bonne vingtaine d'épisodes, un jour, il faudra bien écrire le mot "fin"à cette autobiographie D/s, souhaitons que cela l'aide dans son travail de deuil..... "paillasson ch'ti est une personne sincère et belle, il mérite un peu de bonheur dans sa vie, et il est tout jeune, à défaut d'être tout neuf..... il a déja beaucoup vécu.... je réalise que ces fragments autobiographiques pourraient faire l'objet d'un livre, d'un bon livre.... écrit avec le sang ("Ecris avec ton sang et tu sauras que le sang est esprit" F.N.)
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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVI

 

Je suis à genoux devant les pieds sublimes de ma Princesse et je les tiens dans mes mains. Je continue de les lui masser, encore et encore, avec dévotion et toujours autant de plaisir !!!

En même temps, je ne peux m’empêcher d’admirer les superbes bottes noires à haut talon de Lucie, la cousine de ma Domina. J’ai conscience que cela n’est peut-être pas correct mais je n’arrête pas d’imaginer les pieds de Lucie à l’intérieur. J’ai remarqué que ses bottes sont sales, et j’ai envie de les lui nettoyer, de les cirer, mieux : Je rêve de pouvoir les nettoyer de ma langue, j’ai envie de la sensation du cuir sous ma langue, mais cela demeure un fantasme, même avec ma Maîtresse, je n’ai pas encore réalisé ce rêve de soumission absolue.

 Il m’est impossible de ne pas rêver aux pieds de Lucie, tant je suis persuadé qu’ils sont très jolis. J'aspire à les tenir dans mes mains. Je suis pourtant comblé aux pieds de ma Maîtresse et j’ai conscience  que ce n’est pas bien de penser à ceux d’une autre femme. Mais depuis que Lucie a demandé à ma Princesse de me prêter à elle, je n’ai qu’un désir, c’est que ma Domina dise « Oui ».

Je ne vais pas tarder à avoir la réponse. Lucie continue d’insister auprès de ma Maîtresse. Elle lui dit : « Allez, s’il te plaît, j’ai trop envie qu’il me masse les pieds ! Juste une fois !... Cela a l’air tellement agréable !!! » Ma Princesse hésite, elle répond à sa cousine : « Tu sais que j’ai horreur de prêter mes affaires !!! Alors te confier mon esclave de pieds attitré… Franchement, je ne suis pas chaude. »

Lucie fait une drôle de tête, elle est stupéfaite par ce qu’elle vient d’entendre et s'exclame : « Tu l’as appelé ton esclave de pieds !? » Moi aussi, je suis très étonné, mais surtout très heureux, de la manière dont ma Princesse parle de moi. C’est la première qu’elle m’appelle ainsi, et j’adore, au point que mon petit zizi devient presque grand, il se dresse, tant cette appellation est excitante et convient parfaitement à mes ambitions : « esclave de pieds ! Non ! Esclave de Ses Pieds Divins ! »À l’époque, j’avais déjà lu cette expression sur internet. J’avais immédiatement su, au fond de moi, que ce terme me correspondait à merveille. D’ailleurs, rien que d’imaginer que l’on puisse m’appeler comme cela suffisait à me déclencher une érection. J’avoue que je n’aurais jamais imaginé qu’un jour ma Maîtresse m’appellerait de la sorte. C’était incroyable, car en ces temps-là, plus les jours passaient et plus tous mes rêves et mes fantasmes se réalisaient les uns après les autres. C’était comme si ma Princesse pouvait lire dans mes pensées, dans mes désirs. C’était vraiment inouï !!!

Devant ces deux jolies filles, je suis à la fois humilié et excité au plus haut point. Je me sens de plus en plus serré dans mon slip. Ma Princesse répond à sa cousine : « Pourquoi fais-tu cette tête ? Ce nom lui convient parfaitement. Comme tu as toujours été super- cool avec moi, comme tu as toujours été là lorsque j’avais des problèmes avec les mecs, et dieu sait que j’en ai eu, je vais te rendre la pareille. Juste pour une fois, je vais te prêter mon esclave de pieds. Mais avant, il va nettoyer tes bottes, car elles sont toutes sales. Moi, c’est quotidiennement qu’il nettoie les miennes !!! » Lorsque j’entends cela, je suis aux anges. Rappelez-vous qu’au départ, cette après-midi devait être terrible pour moi. Finalement, non seulement l’humiliation s’est plutôt bien passée mais j’apprécie même de plus en plus la présence de Lucie. J’avais le fantasme de lui nettoyer ses bottes et de lui masser doucement les pieds. Ma Princesse vient de dire « Oui » à sa cousine et mon fantasme va donc devenir réalité !!! La terrible après-midi se transforme en après-midi de rêve !!!

Ma Domina ouvre un tiroir de sa table de nuit, elle prend un chiffon et du cirage. Elle me jette le tout au visage et m’ordonne : « Maintenant, nettoie les bottes de ma cousine !!! » Mon rêve aurait été parfait si ma Princesse m’avait ordonné de nettoyer ces bottes de ma langue servile, mais il ne faut pas trop en demander, je suis déjà tellement heureux ainsi…

Je lâche donc les pieds de ma Domina et je me tourne légèrement vers Lucie. Je vais porter mes mains sur ses bottes quand ma Princesse m’inflige un violent coup de pied dans le nez. Elle me dit : « Avant de commencer, demande à ma cousine l’autorisation de nettoyer ses bottes ! » Lucie s'étonne : « Mais pourquoi es-tu aussi violente avec lui ? Tu lui as fait mal avec ton coup de pied ! » Ma Maîtresse la rassure : « Ne t’inquiète pas, ma chère cousine, il est habitué. Recevoir des coups de Pieds de moi est son bonheur. Regarde la belle marque qu’il a sur la joue. C’est un souvenir d’une après-midi où il m’a désobéi. »

Je me tourne vers Lucie, je lève la tête vers son visage, je lui demande humblement l’autorisation de nettoyer ses bottes. Elle me regarde, les yeux grand ouverts, me sourit et me répond, d’une voix douce et ultra sensuelle : «Oui, je t’y autorise.» Maintenant, c’est sur les bottes de Lucie que je me concentre. Elles sont assez sales et je m’applique à les frotter doucement, pour en enlever toute la boue. Puis, quand j’ai retiré le plus gros de la saleté, je m’apprête à cirer ces superbes bottes. C’est alors que Lucie me donne un petit coup avec la pointe de sa botte sur le menton et me dit : "Cesse de nettoyer mes bottes. J’ai trop envie que tu me masses les pieds. » Ma Princesse lui fait observer : « Eh bien, ma chère cousine, je vois que tu apprends vite !!! » Je me mets tout de suite en devoir de retirer les superbes bottes de Lucie. J’ouvre d’abord doucement la fermeture à glissière de la botte droite que je retire ensuite d’un mouvement sec. Lucie porte de très jolis bas à motifs. Quand je lui ai retiré sa seconde botte, elle m’ordonne : « Retire-moi mes bas, maintenant ! » Je commence par dénuder la jambe droite, puis l'autre, et je découvre alors les merveilleux pieds de la cousine. Je ne me suis pas trompé, ils sont vraiment très beaux. Comme c’est une fille très mince, ses pieds eux aussi sont très fins, d’une très jolie forme. Sa peau est très blanche, très douce aussi. Elle a de magnifiques orteils, longs et fins, ses ongles sont superbes et pointus, vernis d’un joli bleu. Je suis extrêmement excité à la vue de ces pieds, aussi beaux que désirables. Je prends le tube de crème et je commence à les masser. Comme sa cousine, Lucie a les pieds très froids. Je m’applique à les lui pétrir avec dévotion, car je veux à tout prix montrer à Lucie à quel point je peux être doué. Je l’entends d’ailleurs dire à sa cousine : « C’est vraiment merveilleux ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour rester plus de vingt ans sans connaître cette magnifique sensation ! Ton esclave me réchauffe les pieds et me fait un bien fou ! » Je lève alors la tête vers elle, je la regarde, un très large sourire éclaire son visage. Je regarde aussi ma Domina qui me surveille d’un œil autoritaire et d’un air très strict !!! Lucie doit se sentir vraiment euphorique, car je me souviens d’avoir entendu ma Princesse lui dire : « Calme-toi Lucie, ou tu vas finir par jouir !… Et elles vont t’entendre à côté !!! »

Puis ma Princesse approche un pied nu de celui de sa cousine. J’adore cette merveilleuse vision : j’ai devant les yeux, les divins pieds nus de ma Princesse et ceux de sa superbe cousine Lucie ! J’adore cette vision fabuleuse !!! En fait, ma Princesse compare ses pieds à ceux de sa cousine. Je ne vous l’ai jamais dit, mais ma Maîtresse a toujours eu de très gros complexes quant à ses pieds. Au départ de notre relation, lors des premières fois où ma Princesse s’était plainte d’avoir froid aux pieds, je lui avais bien évidemment proposé de les lui réchauffer. À l’époque, ma Domina avait hésité, mais elle avait fini par accepter et elle m’avait avoué par la suite qu’elle avait toujours eu de gros complexes relativement à ses pieds. Elle ne les avait jamais trouvés « beaux ». Bien sûr, c’était complètement faux, car ils étaient magnifiques. Malheureusement, elle était hantée par de nombreux complexes, et le plus important concernait justement ses pieds. La première fois que j’avais eu l’immense honneur de pouvoir les admirer, je lui avais dit naturellement que je les trouvais splendides. C’est là qu’elle m’avait avoué son complexe. Je l’avais alors assurée qu’il n’y avait aucune raison qu’elle ait un tel complexe car ses pieds étaient vraiment merveilleux. Je lui ai dit que je les adorais, qu’ils n’étaient ni trop minces, ni trop gros et qu’ils avaient une forme parfaite. Je lui ai dit que ses orteils étaient très jolis et bien proportionnés, que sa peau était douce et lisse, que ses orteils étaient sublimes. Dès cette première fois, ma Princesse avait été très émue par ce que je disais de ses divins pieds. Elle m’avait dit : « C’est la première fois qu’un garçon me fait autant de compliments. En tout cas, aucun homme ne m’en a jamais fait le moindre sur mes pieds. D’ailleurs, pour être honnête, je ne suis pas habituée aux compliments en général. » Dès le départ, ma Princesse avait été très étonnée par l’amour et l’adoration sincère que je vouais à ses pieds sublimes. À chaque fois que je m’occupais d’eux, je lui répétais ces compliments sincères. Finalement, petit à petit, ma Princesse a réussi à prendre confiance en la beauté de ses pieds et au fil du temps, elle a compris le pouvoir qu’ils pouvaient avoir sur moi. Elle commençait à comparer ses pieds à ceux de ses amies et à ceux des filles, dans la rue. Elle se rendait compte que les siens étaient en effet très jolis. Ma Princesse a eu du mal à l’accepter mais j’étais sincèrement heureux d’avoir réussi à lui enlever ce complexe injustifié. Pour moi, c’était une petite victoire, un véritable bonheur. J’aurais aimé que ma Princesse puisse voir ses divins pieds avec mes yeux : elle aurait immédiatement perçu leur incroyable beauté. Un jour, ma Domina m’a même dit : « Depuis un moment, j’observe les pieds de ma mère. J’ai constaté qu’ils sont très jolis. Et j’ai remarqué aussi que les miens ressemblent beaucoup aux siens. Elle m’a transmis la beauté de ses pieds. » Lorsque ma Maîtresse m’a dit cela, j’ai vraiment eu envie d’admirer les pieds de sa maman…

Mais revenons-en à cette merveilleuse après-midi. Ma Princesse, qui tient ses pieds à côté de ceux de Lucie, dit à sa cousine : « Tu as de très jolis pieds, ils sont plus minces que les miens. » Lucie lui répond : « Toi aussi, tu en as de très jolis. » Et ma Domina acquiesce : « Oui, je sais. J’ai longtemps eu un complexe là-dessus, mais c’est terminé. Lorsque j’ai vu l’amour et le désir que mon esclave éprouve pour mes pieds, j’ai compris qu’ils devaient être très jolis. »

Ma Princesse et Lucie continuent de se parler, elles caressent leurs pieds les uns contre les autres, tout doucement, dans un mouvement ultra sensuel. Je suis follement excité devant ce spectacle extraordinaire. Ma Princesse demande alors à Lucie : « Ces jolis ongles que tu as, tu te les vernis toi-même ? » Lucie lui répond : « Bien sûr !!! » Ma Princesse lui rétorque aussitôt : « Moi, je ne vais certainement plus me plier en quatre pour faire cela ! J’ai mon esclave de pieds à ma disposition !!! » J’adore entendre la voix autoritaire de ma Princesse prononcer cette expression « esclave de pieds ». Cela me rend dingue. Lucie fait observer : « Oui, tu as vraiment beaucoup de chance ! »

Je continue toujours de masser encore et encore les pieds de Lucie. Je masse ses talons, ses chevilles, ses plantes. Je suis aux anges. Mes mains glissent doucement sur cette peau si douce. En même temps, j’admire les pieds de ma Domina, Je passe vraiment un moment magique, je voudrais que ce moment dure pour l’éternité. Ma Princesse s’amuse à caresser de ses divins pieds ceux de sa cousine. Ce spectacle est magnifique, je suis excité au plus haut point. Ma Maîtresse caresse aussi mes mains de ses pieds tandis que je continue à masser ceux de sa cousine. Je relève souvent la tête pour regarder ma Princesse et Lucie.

La cousine semble toujours aux anges, elle a un large sourire. Ma Maîtresse paraît beaucoup moins gaie. Elle échange parfois des sourires avec Lucie, mais sans grande conviction. Je l’observe discrètement et m’aperçois qu’elle me fixe en permanence. Elle fait les yeux noirs, ce qui veut dire que la situation commence à l’agacer. Il y a un vrai fossé entre l’état euphorique de Lucie et l’air sérieux de ma Princesse. Le fait que celle-ci ait approché ses divins pieds de ceux de Lucie, le fait qu’elle me caresse les mains avec ses plantes sont une manière, je pense, de me rappeler que c’est à elle et à Ses merveilleux Pieds que j’appartiens.

À l’époque, c’est ainsi que j’ai interprété cette scène, et plus j’y réfléchis, plus je suis sûr que c’est le message que ma Princesse voulait me faire passer. Moi, j’étais dans un état second, à genoux devant deux filles sublimes aux pieds magnifiques. Le fait que ma Maîtresse m’avait prêté à sa cousine, devant elle-même, rendait l’atmosphère encore plus excitante. Je vivais vraiment un moment extraordinaire et j’aurais sincèrement aimé qu’il dure toujours. J’étais tellement bien que j’avais oublié qu’il y avait la mère de ma Maîtresse et sa tante juste à côté. Et malheureusement, ce fabuleux moment fut brusquement interrompu.

Soudainement, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir dans mon dos. Je n’ose pas me retourner mais je sais qu’il s’agit des deux dames. Je regarde alors ma Princesse et Lucie qui elles aussi fixent la porte, avec une certaine crainte dans leur regard. Puis j’entends la voix autoritaire de la mère de ma Domina qui s'étonne : « Mais, qu’est-ce qui se passe ici ? » Lucie n’ose pas répondre, elle est presque aussi gênée que moi. Néanmoins, je continue  toujours de lui masser les pieds. C’est ma Princesse qui répond à sa mère : « Lucie avait mal et froid aux pieds, notre copain les lui masse, tout simplement ! »

J’entends alors une autre voix. C’est celle de la tante. Je n’ose pas me retourner, je n’ose pas affronter leur regard à toutes les deux. La mère de Lucie s'écrie : « C’est n’importe quoi !!! Je veux que tu remettes tes bas et que tu viennes immédiatement dans le salon ! ». Puis sa sœur ajoute : « Venez tous les trois vous asseoir dans le salon. Il faut qu’on parle sérieusement !! ». Ma Princesse tente bien de discuter mais sa mère est une femme autoritaire et dure. Elle répond à sa fille sur un ton extrêmement sec : « Ne discute pas !!! » Puis les deux femmes repartent vers le salon. J’entends le bruit de leurs talons sur le carrelage. Je dois avouer que ce bruit strident a le don de m’exciter. Ma Princesse s’énerve alors. Elle m’ordonne de remettre les bas et les bottes de Lucie. Je m’exécute, j’enfile ses bas à la cousine puis je lui remets ses bottes. Je suis très stressé, je ne veux pas affronter le regard des deux femmes dans le salon. Malheureusement, je sais que je n’ai pas le choix.

Je suis sur le point de me relever quand Lucie passe ses mains dans mes cheveux et me remercie pour le bien fou que je lui ai procuré. Mais ma Domina l’interrompt et dit : « Tu dois apprendre une règle d’or. Tu n’as jamais à remercier ton esclave. Le bien-être qu’il te procure n’est qu’un devoir pour lui, c’est un service qu’il te doit. Tu ne dois jamais le remercier, au contraire, c’est lui qui doit te remercier de l’honneur que tu lui fais en le laissant te servir. » Puis ma Maîtresse se retourne vers moi et m’ordonne : « Allez, je veux t’entendre remercier ma cousine pour l’honneur qu’elle t’a offert en te permettant d'honorer ses divins pieds !!! » Je suis toujours à genoux devant ma Princesse et Lucie qui se sont mises debout. Je relève la tête. Lucie porte ses superbes bottes, ma Princesse est en pantoufles. Je parais tout petit et ridicule à genoux devant ces deux superbes Déesses. Je m’exécute donc. Je tourne mon visage vers Lucie et je lui dis : « Lucie, je te remercie de m’avoir donné l’immense honneur de pouvoir masser tes superbes pieds et d’en prendre soin. » Lucie sourit, elle est encore stupéfaite de mon comportement si soumis. Elle remercie sa cousine d’avoir bien voulu me prêter à elle. Elles continuent de parler tranquillement, quand soudain nous entendons la voix stricte de la mère de ma Domina : « Venez ici immédiatement ! Nous devons parler… »

Nous nous dirigeons donc tous les trois vers le salon. Je pense que nous avons tous le même sentiment. Nous nous demandons ce qui nous attend…

 

Paillasson ch’ti , esclave virtuel favori deMaîtresse MAEVA

 


Merci à overblog pour l'insertion d'une photo, même si elle est minuscule et placée à l'arrache! 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 07:18

.... et voila le résultat: Au départ, c'était une grande photo en haute résolution!!! Cette photo était déja enregistrée dans overblog, impossible par contre d'en insérer de nouvelles, et cela fait huit jours que cela dure... dialogue de sourds avec overbug! Si vous connaissez un hébergeur de blog de bonne qualité et fiable, n'hésitez pas à me le communiquer, je suis tant excédée que je suis prête à "déménager"! Quand c'est insupportable, on ne supporte plus!DSCF2048.JPG

Par MAEVA - Publié dans : BUGS - Communauté : Soumis & Soumises
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