Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 12:10

... sera une vieille photo....



.... ce sera tout pour aujourd'hui, et peut être pour la semaine si vous ne vous éveillez pas de votre torpeur, de cette liquide senescence dont parlait le grand poète....

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 11:21

.... gavé de venin testostéronique, il cherche à se glisser sous mes jupes....



.... il faut l'écraser sous mon pied....



.... le problème avec ce reptile, plus je l'écrase, plus il prend de la vigueur....



.... c'est sans doute un serpent maso....



.... écrasons-lui les glandes à venin....



.... rien n'y fait! Il redresse toujours la tête!



.... je suis certaine que vous aimeriez être à la place du serpent!!!



.... alors, manifestez-le un peu plus, je m'ennuie, depuis dix jours, c'est le niveau zéro de l'interactivité, et si je m'ennuie, je perds le goût de publier, vous connaissez....



Aimez-vous ce nouveau vernis?

Par MAEVA - Publié dans : Objet sexuel
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Mardi 24 novembre 2 24 /11 /Nov 06:06
.... une petite photo de mon quotidien...

Par MAEVA - Publié dans : Esclavage - Communauté : Soumis & Soumises
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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 10:27

.... à souhait.... cela inaugure mes congés, je vous souhaite un bon week end, à lundi prochain, et pas avant, le blog est de nouveau très "mou" et je m'ennuie, alors,  je vais de ce pas contrôler les tâches ménagères accomplies par le chien ce matin..... je me saisis de Mon fouet, au cas où...


..... difficile d'échapper à la brûlure de la mèche du blackmamba. Nu et agenouillé au milieu du salon, il supplie, il se tortille comme un ver: il aura sa raclée jusqu'au bout, vingt cinq coups!



..... fouet et bottes, archétypes ancestraux de la Domination Féminine.....



..... des escarpins qui auraient bien besoin d'un bon coup de langue! Il est regrettable de devoir sans cesse lui rappeler ses prérogatives d'esclave, cela me donne des envies de punition....



.... mes semelles ne sont pas nettes....il y a du laxisme dans le service.... et dire que certains payeraient cher pour le privilège de les lécher.....il mérite plus qu'une punition, c'est un crime de lèse- Majesté, passible de mort...


..... oui, cela mérite une punition capitale! Un esclave, ça se remplace: J'en possède une centaine, qui travaillent pour MOI, où qui croupissent dans des cachots. Je n'ai que l'embarras du choix... je sors Mon katana de chez Ishiro Enzo.... l'esclave blémit de peur... c'est un peu tard pour regretter, il fallait réagir avant...



.... il se jette à Mes Pieds, implorant Ma clémence...



..... bien avant l' ère Meiji, la fille du shogun, une jolie Princesse du nom d' Husaka avait fait de même: l'esclave avait oublié de se prosterner à son passage, il eut la tête tranchée....



 Elle ne plaisantait pas, Moi non plus!



Je n'accepte plus le manque de respect! Qu'on se le dise! Alors, réagissez un peu plus si vous ne voulez pas subir le même sort! Qui postule pour le remplacer, malgré les risques?

Par MAEVA - Publié dans : Fétichisme - Communauté : BDSM
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Vendredi 20 novembre 5 20 /11 /Nov 09:05

La jeune Princesse augmente d'un cran Sa domination, elle le fait avec talent, c'est une humiliatrice née.... bonne lecture de ce très bon texte!



F
ÉTICHISME ET SOUMISSION, XII

 

J’ai passé une très mauvaise nuit, je n’arrêtais pas de revivre cette scène où j’avais éjaculé aux Pieds de ma Princesse. Je n’arrivais pas à comprendre comment j’avais pu en arriver là !

Le dimanche matin, je fus réveillé par un « sms » de ma Domina sur mon portable. C’était ma Princesse qui me demandait si mes parents étaient chez moi. Or, je savais qu'ils avaient prévu de sortir. J’ai donc immédiatement répondu que j’avais la maison pour moi tout seul. Elle m’envoya alors un deuxième « sms » pour me donner rendez-vous à 14 heures.

Je me suis rendu chez Elle pile à l’heure. J’ai sonné, Elle m’a dit que la porte était ouverte et que je n'avais qu'à entrer. J’ai donc rejoint ma Maîtresse qui était assise dans Son fauteuil. Elle était en jean, en débardeur, Pieds nus dans Ses mules d’intérieur. Je me suis immédiatement mis à genoux devant Elle et je Lui ai dit : « Je Te remercie une nouvelle fois de m’avoir donné le privilège d’être Ton serviteur. Je suis tellement heureux d'être à Tes Pieds ! »

Ma Princesse m’a alors coupé en me disant : « Oui, j’ai remarqué que tu étais plus qu’heureux à Mes sublimes Pieds. » Je Lui ai alors répondu : « Oui justement, j’ai réfléchi toute la nuit à ce qui s’est passé hier. Je Te demande une nouvelle fois pardon, si Tu savais comme j’ai honte !... »

Ma Domina m’a rétorqué : « Oui, tu as raison d’avoir honte. Moi aussi, j’ai beaucoup réfléchi à ta jouissance d’hier. On en parlera tout à l’heure, chez toi. »

 J’ai demandé à ma Princesse pourquoi nous ne resterions pas chez Elle puisqu'il n'y avait personne d'autre. Elle m’a lancé :  « Tu comprendras rapidement… » J’avoue que la peur commença à m’envahir, il y avait tellement de mystère dans la phrase de ma Domina. Puis Elle me dit : « Avant d’aller chez toi, tu vas Me faire un bon massage de Pieds ». J’ai retiré Ses chaussons, j’ai saisi le tube de crème et j’ai commencé à prendre les divins Pieds de ma Maîtresse dans mes mains.



 Je les lui massais avec dévouement et amour, comme toujours. À ce moment-là, je ne pensais plus à rien, je n’étais plus hanté par la scène de la veille. Je n’ai jamais été plus heureux qu’aux Pieds de ma Domina. Lorsque je suis ainsi devant Elle, je me sens enfin libre et heureux, je ne vis plus que pour le bien-être de Ses sublimes Pieds, tout le reste ne compte plus. J’aurais tant aimé que cet état de grâce dure en permanence. Le massage prit environ 45 minutes, le temps d’une série que ma Domina regarda à la télévision. Puis Elle me dit : « C’est bon, tu peux arrêter, tu M’as bien détendue. Va Me chercher des chaussettes et Mes bottines, nous allons chez toi. Tu vas bientôt savoir ce que J’ai décidé cette nuit… »

Nous sommes arrivés chez moi. Comme d’habitude, je me suis mis à genoux devant ma Princesse pour lui retirer Ses chaussures. Nous sommes montés dans ma chambre. Elle S’est installée tranquillement sur mon lit, je me suis placé naturellement à Ses divins Pieds. Une nouvelle fois, je lui ai présenté mes plus sincères excuses. Ma Domina m’a dit : « Depuis hier soir, tu n’arrêtes pas de Me demander pardon, tu commence à Me saouler ! Mais Je t'accorde Mon pardon, car j’ai bien vu que tu ne pouvais pas contenir ton désir face à Moi, face à Mes Pieds. »

Je L’ai alors remerciée d’accepter de me pardonner. Puis ma Domina m’a demandé de Lui parler de mes masturbations habituelles.  Elle a exigé que je Lui explique tout, c’est-à-dire quand, comment, selon quelle fréquence. Je ne comprenais pas pourquoi ma Maîtresse me posait toutes ces questions. Elle m’a répliqué : « C’est toi qui M’as donné cette idée avec ta connerie d’hier. Alors, réponds à Ma question ! »

J’ai donc expliqué à ma Princesse qu’avant de La rencontrer, je me masturbais environ  tous les deux jours devant des revues coquines et toujours dans ma chambre. Bien entendu, je ne Lui ai pas avoué que je jouissais toujours devant des Pieds de Femmes grâce à ma petite collection privée dont je vous ai déjà parlé. Ma Princesse m’a alors demandé si j’avais changé mes habitudes de masturbation depuis que je l’avais rencontrée. Je Lui ai précisé que, depuis ma rencontre avec Elle, je le faisais au minimum deux fois par jour. Ma Princesse m’a demandé de tout Lui expliquer en détail. Je Lui ai alors tout révélé. Je lui ai décrit ma façon de faire : je me place à genoux devant mon lit sur lequel je pose une photo de ma Princesse (sur laquelle on aperçoit Ses Pieds nus). Aussitôt, Elle a voulu que je Lui montre cette photo. Je l’ai alors sortie de ma petite cachette pour la Lui montrer. Elle m’a répondu : « C’est vrai que Je suis sexy sur cette photo ! » Puis ma Princesse a conclu : « Donc, pour résumer, tu te masturbes à genoux devant cette photo de Moi plusieurs fois par jour... »

J’ai confirmé en souriant.

Ma Maîtresse m’a alors dit : « Que penserais-tu si Je te proposais de ne plus te masturber devant une photo de Moi mais devant Moi, en réalité ? »

Je suis resté complètement sans voix, et j’ai simplement murmuré : « Quoi ?… ». Ma Princesse m’a alors crié dessus : « Ne reste pas figé comme cela, t’as encore l’air plus con que d'habitude !! » Je Lui ai alors dit : « Tu Te rends compte de ce que Tu dis ? ». Et Elle : « Oui parfaitement, J’y ai réfléchi  toute la nuit. Hier soir, lorsque tu as joui devant Moi, J’ai vraiment halluciné. Je n’aurais jamais pensé qu’un garçon pourrait un jour jouir à Mes Pieds. Sur le coup, J’ai été dégoûtée de voir ton boxer trempé de ta semence. Pourtant, une fois cette première impression dépassée, J’ai commencé à apprécier cette idée, ce geste. J’ai aimé te voir jouir à Mes Pieds et Je n’ai plus qu’une envie, c’est que tu recommences encore et encore. Il y a une chose que Je ne t’ai jamais dite, un de mes « ex » avait des troubles de l’érection. Parfois, il n’arrivait jamais à bander face à Moi ni à Me faire l’amour correctement. Le pis, c’est que ce salaud M’a toujours fait croire que c’était de Ma faute, que Je n’étais pas assez sexy !!! Pendant des mois, Je me suis rongée en pensant que J’étais moche, cela n’a fait que renforcer Mes complexes. Et un jour par hasard, J’ai rencontré une de ses « ex » qui M’a raconté son problème. Il s’était confié à Elle. Depuis, J’ai toujours plus ou moins gardé cette impression de ne pas être assez sexy. Depuis plusieurs mois que Je te vois bander en Me massant les Pieds, cela Me fait un bien fou. Mais alors hier, lorsque tu as joui à Mes Pieds, J’ai adoré. Je viens de te parler d’un moment de Ma vie très intime, alors J’espère que tu comprends mieux maintenant. » J’ai tout de suite répondu à ma Domina : « Je suis vraiment attristé par ce que tu as vécu, mais je ne peux pas faire ce que Tu me demandes, c’est trop gênant !! » Ma Princesse s’est alors mise une nouvelle fois très fortement en colère. Elle m’a dit : « OK ! Je te parle d’une partie de Ma vie très intime, Je te fais confiance et toi tu réagis encore une fois comme une merde. Il y a à peine quelques jours que nous avons convenu d’un pacte dans lequel tu M’as juré une obéissance absolue. Je vois que tu t’es engagé à la légère, J’aurais dû M’en douter. Eh bien, puisque tu refuses de M’obéir, Je vais reprendre Mes affaires et nous allons mettre un point final à notre histoire. » J’ai commencé à supplier ma Princesse de ne pas faire cela. Elle m’a alors dit : « Arrête ! Soit tu M'obéis, soit c’est fini entre nous !!! »  Je Lui ai alors répondu : « Mais Tu te rends compte de ce que Tu me demandes ? » Ma Maîtresse ne comprenait pas mon attitude. Elle me demanda : « Qu’est-ce qu’il y a de si terrible à te masturber à Mes Pieds ? C’est tout de même beaucoup mieux que devant une simple photo, non ? » Je lui ai encore dit : « C’est gênant... » Ma Domina a réagi immédiatement en me disant : « Pour un puceau peut-être, mais comme tu M’as toujours affirmé ne plus être vierge, il ne devrait pas y avoir de problème. »  En effet, ma Princesse n’a jamais cru à  mon histoire. Je Lui avais raconté que j’étais sorti avec une Fille de mon quartier à l’âge de seize ans et que j’avais connu ma première fois avec cette Fille qui avait déménagé par la suite. Ma Maîtresse n’y avait jamais cru, et Elle avait raison : j’avais inventé cette histoire parce que j’étais trop gêné d’être puceau, ce que je n’avais jamais osé Lui avouer. Cette Fille de mon quartier avait bien existé mais nous n’étions jamais sortis ensemble. Comme à mon habitude, je n’avais fait que fantasmer sur Elle. Ma Princesse S’est levée, et Elle m’a dit sur un ton très sec et très autoritaire : « Tu Me rapporteras Mes affaires demain !! » J’ai compris que je n’avais plus le choix. J’ai alors supplié ma Princesse : « Attends, je vais T’obéir. » Ma Domina s’est retournée et m’a déclaré: « Eh bien, voilà, tu deviens raisonnable... » Elle S’est de nouveau assise sur le lit. Elle avait les Jambes croisées, j’admirais Son Pied droit qui se balançait.



Je me sentais follement excité. Elle m’a ordonné : « Maintenant déshabille toi !!! ».

J’ai immédiatement enlevé mon tee-shirt puis mon pantalon. J’étais de nouveau en boxer devant ma Princesse. Elle m’a alors dit : «  Je vois que tu bandes déjà bien !!!  Allez retire-Moi ce boxer. Dépêche-toi. » Je tremblais, tellement j’avais peur. Ma Princesse S’en est rendu compte et  Elle S'est moquée : «  Pourquoi trembles-tu comme une feuille ? Tu devrais être heureux !! Allez, vas-y maintenant. » Je n’avais pas le choix, j’ai abaissé complètement mon boxer. C’était la première fois de ma vie que j’étais complètement nu devant une Femme. À la seconde même où, pour la première fois, ma Princesse a aperçu mon sexe, Elle a attrapé un véritable fou rire. J’ai vécu un moment d’humiliation terrible. Je tremblais encore plus, j’étais atrocement gêné, j’avais l’impression d’être complètement ridicule. J’ai demandé à ma Princesse pourquoi Elle riait tant. Elle m’a rétorqué, toujours en riant : « Je n’ai jamais vu un sexe aussi petit. Je ne M’en étais pas rendu compte à travers ton boxer, mais ta queue est vraiment très petite. Je vais te faire une confidence de plus, lorsque J’étais encore Adolescente, j’ai vu des films X. J’avoue que J’avais peur en voyant la taille du sexe des acteurs. Puis j’ai eu ma première fois. Mon partenaire avait une queue aussi grosse que celle des hardeurs, J’avais très peur mais finalement J’ai appris à apprécier. Par la suite, Mes autres mecs ont toujours été très bien dotés de ce côté-là. Franchement, excuse Ma réaction mais ta queue paraît réellement ridicule par rapport à celles que j’ai vues jusqu'ici ! » J’étais tellement gêné, j’aurais aimé pouvoir me cacher sous le plancher. Le pis, c’est que je continuais de bander toujours plus fort. Plus j’étais humilié, plus j’étais excité. Ma Princesse l’a d’ailleurs vu, Elle a constaté : « Je vois en tout cas que l’humiliation t’excite !!! Maintenant qu’on a bien ri, on va passer aux choses sérieuses. Allez !  À genoux à Mes Pieds, il est temps que tu te masturbes vraiment!!! » Au point où j’en étais, je me suis exécuté immédiatement. J’ai fixé mes yeux sur les superbes Pieds de ma Princesse et j’ai commencé à me masturber, je n’osais pas La regarder dans les Yeux. Ma Domina me répétait : « Allez, plus vite, encore, plus vite !! » En 1 minute 30, j’ai joui. Ma semence s’est répandue sur la moquette. Je l'ai essuyée mais il restait toujours une tache. J’ai alors demandé : « Comment vais-je expliquer cette tache à ma mère ? ». Ma Princesse m’ a répondu en ricanant : « Tu n’as qu’à lui dire la vérité, et puis lorsque tu verras cette tache tous les jours, tu repenseras à ce moment où tu as joui à genoux devant Moi, à Mes Pieds. » Elle a poursuivi en affirmant de manière autoritaire : « Dorénavant, tu te masturberas uniquement à Mes Pieds. Nous allons commencer par un rythme de deux masturbations par semaine. Mais sache que si tu me déçois, tes masturbations seront de plus en plus espacées. Je Me doute bien que pour toi au départ ce rythme sera difficile à tenir. Tu vas devoir apprendre à contrôler tes désirs et tes envies. Je t’autorise à avoir des accidents, mais Je t’interdis de te masturber sans Mon accord. Tu n'ignores pas que tu ne sais pas mentir. Lorsque tu le fais, Je le vois tout de suite sur ton visage. Tu as compris ? » J’ai répondu :  « Oui, ma Princesse.  Tu sais que je suis le plus heureux des hommes lorsque je suis à Tes Pieds ». Elle m’a demandé : « Alors, ce n’est pas meilleur de te faire jouir devant Moi, en vrai, plutôt que devant une simple photo ? » J’ai confirmé à ma Maîtresse qu’Elle m’avait offert un superbe cadeau en me permettant de jouir, agenouillé à Ses magnifiques Pieds. Je dois bien avouer qu’en deux jours, ma vie a complètement basculé. En effet, depuis ma rencontre avec ma Domina, je n’étais plus ce gamin fantasmeur que j’avais été pendant de si longues années. Mes rêves, mes désirs devenaient réalité. En deux jours, comme je vous l’ai décrit, tout s’est accéléré. Ma Princesse m’a d’abord proposé ce pacte d’esclavage puis cette façon de jouir à genoux devant Elle. J’avoue que j’étais déjà extrêmement heureux de pouvoir masser Ses magnifiques Pieds chaque jour. Je n’avais jamais osé songer que ma relation avec ma Princesse puisse aller si loin. Ce jour-là, je dois reconnaître que la réalité a dépassé mes fantasmes. Ma Maîtresse m’a alors dit : « Tu comprends maintenant pourquoi je tenais absolument à ce que nous venions chez toi aujourd’hui ? Il était hors de question que cela se passez chez Moi et puis tu étais bien mieux en restant dans les petites habitudes de ta chambre... » À ce moment, Elle S’est mise à rire aux éclats. Durant le reste de l’après-midi, ma Domina S’est installée tranquillement sur le lit pour regarder la télévision. Bien entendu, pendant tout ce temps, ma Maîtresse m’a ordonné de rester à Ses Pieds et de les Lui masser encore et encore. Nous en avons profité pour discuter, et elle m’a demandé quelle était mon opinion par rapport à la taille de mon sexe. J’étais extrêmement gêné. Je ne savais pas quoi dire. Ma Princesse me posait des questions auxquelles j’étais incapable de répondre. Elle m’a aussi demandé : « Lors de ta première fois, quelle fut la réaction de ta Partenaire en voyant la taille de ton sexe ? » J’avais été suffisamment humilié pour la journée, je n’eus pas le courage de Lui avouer que j’étais encore puceau. Je restai donc extrêmement flou en affirmant que ma Partenaire imaginaire de l’époque avait elle aussi trouvé ma queue bien petite mais que, comme Elle manquait d’expérience, elle n’avait rien ajouté. Puis ma Princesse me demanda : « Et toi, qu’en penses- tu ? »

Là en revanche, j’ai été très honnête dans mes propos envers ma Princesse. À l’époque, je n’avais pas vraiment conscience de la petitesse de mon sexe. Lors de mon adolescence, j’ai fait ce que beaucoup de jeunes font. C’est-à-dire que j’ai mesuré avec une règle la taille de mon membre en érection. Question taille, je suis dans la moyenne inférieure ; en revanche, c'est pour la grosseur de ma queue que je suis ridicule. De plus, quand il n'est pas en érection, mon sexe est minuscule. J’ai expliqué à ma Princesse qu’avant je n’avais jamais eu vraiment de complexe. J’avais parfaitement conscience que par rapport aux acteurs de films X, ma verge était très petite, mais je m’étais dit que la plupart des hommes ne sont pas comme ces acteurs. En revanche, lorsque j’ai vu la réaction de ma Domina en la découvrant, j’ai compris qu’il y avait un vrai problème et que j’étais risible.

Je me rappellerai toujours la phrase de ma Princesse : « Même si ton sexe ne servira certainement jamais à rien pour réjouir une Femme, tu n’en as pas besoin pour Me masser correctement les Pieds ! »


Paillasson (mâle ?), petit gamin fantasmeur, timoré, impatient, illettré et soumis de Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 17 novembre 2 17 /11 /Nov 12:39

Chaque personne est apaisée par des images, des visions, ou des lieux et situations habituelles, rassurantes..... un poisson se sent mal hors de l'eau, l'esclave a droit aussi à son horizon rassurant, son paysage personnel, et illustré talentueusement par ces quelques photos ....



..... un horizon rapproché, illustrant l'intime proximité du Pied convoité (et même si très sale...) avec le visage de l'esclave.....



..... j'allonge mes jambes, je claque des doigts ou j'agite ma clochette, il quitte tout ce qu'il fait, la vaisselle ou le ménage, par exemple, il fait diligence, il sait que je n'attends pas, et séance tenante, il s'agenouille, et déroule sa langue du talon aux orteils, des orteils au talon...... horizon....



.... je regarde un film, pas lui.....il a mieux à faire...



..... adoration et vénération....



....la position de Mon Pied est une invite..... non, plutôt un ordre qu'il s'empressera d'éxécuter....



..... j'aime le tenir ainsi en laisse, au plus près de Mes Pieds... il sait que c'est sa place...





.....des Pieds resplendissants après un léchage au long cours....



...... le regard qui rampe au Pied..... vision du sous espace....






..... ce qu'il a la chance de contempler, lorsqu'il se prosterne à plat ventre devant MOI  et qu'il  embrasse avec dévotion Mes escarpins au retour du travail...ensuite, il les nettoiera de sa langue....



...... la tentation est grande de se faire lécher les Pieds dans un jardin public..... à priori, il n'y a personne, mais quelqu'un peut surgir.....



...... semelle et talon, un autre aspect de son horizon.... j'exige des semelles impeccables....il sucera le talon avec amour...



....... une vision familière.....image-symbole de sa soumission....



...... il resta deux heures ainsi, allongé au pied du canapé, avec comme seul paysage, mes deux talons, son regard ne doit pas dépasser les chevilles...... à l'étage supérieur, nous buvions du champagne avec une amie....



Par MAEVA - Publié dans : Fétichisme
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Lundi 16 novembre 1 16 /11 /Nov 07:44

Voici la suite tant attendue du texte autobiographique de Mon chien slavio...quel talent!



Chapitre VII

« Je peux me servir de ton esclave ? »

 

Après avoir joui de son amante Élodie, tout en l’envoyant elle-même au paradis du Spasme Féminin, ma Belle-Sœur m’annonce que ma bouche d’esclave va devoir leur nettoyer à toutes les deux la chatte et le cul. Déjà, je m’apprête à leur rendre ce délicieux service (délicieux pour elles aussi, pour elles surtout, je l’espère !) qui, non seulement ne m’humilie pas, mais me semble un honneur (et une rare friandise) dont je ne me sens pas digne.

En fait, les choses ne se passent pas ainsi. Les deux Femmes viennent de vivre une extase d’une telle intensité qu’elles restent étendues côte à côte, les yeux mi-clos, haletantes, leurs poitrines encore toutes gonflées de plaisir, savourant le lent reflux de l’orgasme dans leur chair si précieuse, échangeant encore des caresses qui s’alanguissent, se penchant parfois l’une vers l’autre pour unir leurs lèvres en des baisers devenus plus gentils que lascifs, qui disent tout l’amour de la Femme pour la Femme, pour la Beauté, la Douceur, l’impériale Sensualité et l’incontestable Supériorité de la Femme.

Et moi, l’esclave momentanément oublié qui ai eu l’incroyable chance d’assister à cette merveilleuse scène d’érotisme saphique, devant un tel Bonheur Féminin je me sens envahi d’une exultation jamais vécue. Jamais je n’ai été content pour moi de quoi que ce soit, autant que je le suis pour elles de cet instant de pur bonheur qu’elles viennent de se donner.

Les mains des deux amoureuses, comme devenues autonomes, partent en exploration à l’aveugle, palpent un téton, frôlent le ventre, rebroussent et démêlent la toison, s’attardent à la fourche des cuisses ou titillent l’orée ruisselante du sexe. Les doigts se trouvent et s’entremêlent, les paumes de frôlent. Les Femmes se regardent avec une infinie tendresse, elles se sourient avec une infinie douceur, comme se remerciant mutuellement de la jouissance donnée en même temps que reçue.

Les deux Amantes, pour l’instant repues de sensualité satisfaite, sont sur le point de s’assoupir quand ma Belle-Sœur, sortant paresseusement ses jambes du lit, m’ordonne de venir lui faire sa toilette intime. Je vais à elle en me traînant sur mes genoux, sans songer à me relever, et blotti entre ses cuisses chaudes qu’elle ne pense pas à serrer sur mes joues et dont le haut est tout luisant de mouilles mélangées, je commence par lécher cette enivrante étendue de chair lisse et ô combien suave. Je me régale des liqueurs mêlées, à la saveur d’amande douce-amère, que je recueille à sa vulve assouvie puis, quand elle daigne se soulever langoureusement, à la naissance de ses fesses et jusque sur son anus et ses alentours tentateurs dont brille le duvet ténu.




Enfin, sitôt proféré son « Ça suffit maintenant, vire-toi de là ! », je contourne le lit des deux belles amoureuses et m’en vais rendre le même service à Élodie qui s’impatiente et dont je sens s’émouvoir le corps sous mes lapements pourtant bien sages, avant de préférer, elle aussi, un repos réparateur à une nouvelle volupté dont elle semblait déjà ressentir les premières vagues.

« Enlève ta chemise, me commande-t-elle d’une voix endormie. Ou comment appelles-tu ça, déjà ? – Une gandoura, Maîtresse. (Je me dépêche d’ôter mon seul vêtement et me retrouve nu.) – Gandoura, c’est bien ça. Et tu m’as appelée Maîtresse ! C’est formidable, ça. C’est la première fois qu’un mâle m’appelle de ce doux nom-là ! Je dois dire que, rien que ça, c’est bien agréable à entendre pour une Femme, tu ne crois pas, esclave ? – Si, Maîtresse ! – Oh, tiens, je passerais mes journées à me faire appeler comme ça, moi ! Allons, répète-le encore un coup, c’est trop bon ! – Comme vous voudrez, Maîtresse ! – Oh, que j’aime ça ! Tu m’appelleras toujours comme ça dorénavant… »

Mais déjà le sommeil l’envahit. Son amie est déjà profondément assoupie, les paumes refermées en conques sur ses seins. « Allonge-toi par terre sur le dos, prends mes chaussures sur ton ventre et ma petite culotte sur ta figure, mais je t’interdis de la sucer et de la mouiller. Laisse-nous dormir et attends notre réveil… »

*

Ma Belle-Sœur et son amante, épuisées de jouissance, dorment un bon moment. Immobile sous les souliers d’Élodie, respirant à travers sa petite culotte, mais sans oser la toucher de ma langue malgré mon envie, je songe au travail qui m’attend (un gros repassage entre autres) et que je devrais être en train de faire. Peut-être serai-je puni pour ce retard involontaire mais la volonté d’une Dominatrice prime sur tout, et le moment venu je n’aurai qu’à travailler plus vite ou plus longtemps.

C’est Élodie qui se réveille la première. Immédiatement, son réflexe de nouvelle Domina est de se pencher sur moi pour constater que je lui ai scrupuleusement obéi. À travers les mailles ténues de son slip diaphane, je vois son beau visage, ses lèvres qui dessinent un magnifique sourire de contentement. « Enlève-moi tout ça et à genoux, esclave ! Oh, tu bandes toujours, et pas mal du tout !… ‑ J’essaie, Maîtresse. – Tu essaies ? Ça m’a plutôt l’air réussi et je crois que je vais avoir besoin de tes services, mais comme tu n’es pas à moi, il faut que je demande… »



Pendant que je dépose soigneusement son affriolante petite culotte sur une chaise sous laquelle je range ses souliers, voici Élodie qui se penche sur ma Belle-Sœur et se tourne vers elle, me présentant la ligne pure de son dos et l’épanouissement attendrissant de sa croupe.

Et voici Élodie qui, tout en palpant les seins offerts et encore endormis de l’Aimée, cherche sa bouche de ses propres lèvres. Dans ce mouvement ondulant du corps, la vallée des fesses se découvre et, toujours ébloui, je vois son joli iris bien serré qui semble me regarder. Jamais je ne me lasserai de contempler la Beauté de la Femme dont le moindre millimètre carré de peau attire mon admiration et mérite ma dévotion. Oh, que j’aimerais être autorisé à lécher tout du long cette vallée et à en explorer le joli pertuis !…

Les deux jeunes et belles Femmes, c’est dans un doux baiser, où leurs langues s’unissent sans batailler, où leurs salives et leurs haleines se mêlent en une délicate harmonie parfumée, qu’elles reviennent lentement au monde en se caressant le dos, les hanches, en des gestes empreints d’une grande douceur, presque timides.

« Tu sais quoi ? demande Élodie à ma Belle-Sœur. J’ai envie de m’envoyer ton esclave ! Tu as vu comme il bande bien ? Je ne supporte pas l’idée de me priver de ça, alors que je le tiens à portée de ma main. Tu permets que je m’en serve ? – Mais bien sûr, ma chérie. D’ailleurs, on va s’en occuper à deux, parce que moi aussi, finalement, ça me tente bien de m’en servir sexuellement... »

Quelques secondes plus tard, je suis allongé à plat dos sur le lit, Élodie a enfourché mon bas-ventre et enserré en elle ma queue, modeste mais bien roide, tandis que ma Belle-Sœur s’est confortablement installée à califourchon sur ma figure puis a cherché ma bouche sous elle et, l’ayant trouvée, serrant mes joues dans l’étau puissant de ses cuisses, se laissant aller de tout son poids, n’écoutant que l’appel de son bien-être et de son plaisir, m’étouffe sans égards, tandis que ma langue s’agite en elle et que ses secrétions gluantes, chaudes et savoureuses lubrifient ma gorge.



Si ma Belle-Sœur, à part quelques lents mouvements giratoires de son bassin et quelques glissements de ses fesses sur ma face, ne bouge pratiquement pas et ne se soulève que de loin en loin, pendant une fraction de seconde, afin de me laisser inhaler une goulée d’air salvatrice, il n’en va pas de même d’Élodie qui s’agite furieusement sur mon ventre durci, coulissant tout du long sur ma verge brûlante dont le gland finit par devenir douloureux, m’écrasant impitoyablement les génitoires sous ses lourdes retombées qui m’enfouissent au plus profond d’elle. En même temps, je sens entre son corps et le mien une main qu’elle a glissée là et dont elle s’agace, tantôt avec langueur, tantôt avec vivacité, messire son divin clitoris.

Aussi étrange que cela paraisse au non-initié, à l’homme dit « normal », je ne ressens aucun plaisir physique réel. J’ai l’impression que mon sexe, mis à rude épreuve, devenu simple instrument, simple olisbos, s’est insensibilisé, comme anesthésié, et que chacune des Femmes pourrait l’utiliser aussi longtemps qu’elle le voudrait, jusqu’à sa pleine et entière satisfaction sexuelle, exactement comme elle le ferait d’un phallus artificiel, sans m’amener au bord de l’éjaculation.

En revanche, mentalement, je baigne dans une véritable extase. J’éprouve un indicible bonheur mêlé de fierté à être devenu l’objet de plaisir de ces deux splendides Femelles – et rien que cet objet – et à contribuer à leur incomparable volupté. Je me dis que je suis probablement entré dans ce que les Dominatrices expérimentées appellent le sous-espace, celui dans lequel une vraie soumission, voulue recherchée et entretenue par la Femme, plonge le mâle réduit à l’impuissance psychique, qui accepte alors totalement son asservissement, ses humiliations répétées, et ne vit plus que pour et par la ou les Dames ou Demoiselles qui l’utilise(nt) et en tire(nt) jouissances, agréments ou commodités de vie.

J’ai conscience et joie de n’être qu’un simple instrument de viande chaude au service de deux merveilleuses Luxures Féminines, un instrument que ces deux superbes Femmes exploitent sans aucun scrupule pour en tirer autant de plaisir que possible. Je m’en enorgueillis sottement.

Ainsi, je crois que ma Belle-Sœur pourrait me mener jusqu’à une dangereuse suffocation sous son corps qui se tasse sur moi, pourvu qu’elle soit assurée ou ait l’espoir d’en tirer un surcroît de volupté. Rien que pour voir « ce que ça donne », un mâle qui étouffe littéralement sous son cul pendant qu’elle-même se livre tout entière au plus extrême des stupres.



De même, si Élodie pouvait ressentir plus de plaisir encore en m’écorchant le sexe à vif, tout en « se cherchant » frénétiquement dessus, elle n’aurait pas une seconde d’hésitation. En ce moment même, les deux Femmes qui me possèdent et se jouent de moi à leur gré n’ont qu’une idée en tête : « Moi d’abord ! Moi seulement ! Tout pour moi ! ».

Alors, oui, pendant que je sens le Bonheur Féminin régner au-dessus de moi, et entends confusément les bruits émouvants et exaltants de ce bonheur, je ne peux m’empêcher, non seulement de le partager mais de le préférer mille fois au mien, de le préférer à tout ce qui pourrait m’arriver de meilleur. Et je ne peux pas non plus, bien que ce soit probablement présomptueux de la part d’un simple esclave, m’interdire d’éprouver de la fierté à en être, en cet instant précis, le principal, sinon le seul outil.

Aux mouvements qui se produisent sur mon corps passif, je sais ce que font mes deux Maîtresses. Lourdement et commodément assises sur moi et s’y démenant, l’une lentement, l’autre avec furie, elles se font face, les yeux dans les yeux, sourire contre sourire, beauté dénudée contre beauté dénudée, poitrine dardée contre poitrine dardée. Puis, se penchant l’une vers l’autre, chacune enlace d’une paume de velours le cou de l’Amante, et elles échangent baisers et caresses de tendresse et d’amour, sans cesser de danser sur moi à la recherche de leur plein contentement charnel.

Et puis, pendant que, profitant de ce que ma Belle-Sœur vient de se soulever de quelques centimètres, j’aspire une grande goulée d’air, j’entends Élodie demander : « On peut changer de place, maintenant, ma chérie ? » Et c’est rapidement chose faite. Élodie s’arrache prestement à ma queue qui fait une sorte de flop mouillé en sortant de sa gaine inondée qui se serrait sur elle. Ma Belle-Sœur, en un seul mouvement coulé dont la vitesse me surprend, se lève de ma face, se retourne, s’enfourne mon sexe au moment même où le cul somptueux de son Amie prend possession de mon visage, m’asphyxiant de nouveau mais me plongeant avec ravissement dans un nouvel univers de senteurs et de saveurs capiteuses.

Tout de suite, ma langue plonge en effet dans une soupe bouillante et épaisse dont la senteur et la saveur m’enchantent, et cela suffit à m’indiquer qu’Élodie vient de jouir, une première fois et intensément, de sa galopade effrénée sur moi. Tandis que je lèche et bois de grand appétit ses coulures et que la Belle crispe et décrispe ses chairs sur ma langue et mes lèvres, à la recherche de ses meilleures sensations, je me rends compte tout à coup que c’est la première fois que ma Belle-Sœur tient en elle mon sexe que jusqu’à présent elle dédaignait, le tenant pour insuffisant au regard de ses besoins et exigences. Je suis certain qu’elle aussi va en tirer sa jouissance et cette idée me plonge à nouveau dans le grand nirvana des esclaves heureux du Bonheur des Femmes auxquelles ils appartiennent.

C’est quand j’en suis à cette roborative réflexion qu’Élodie se soulève à peine, fait insensiblement glisser son cul en arrière et, ayant senti sous elle la pointe molle de mon nez et son arête osseuse, se laisse tomber sur lui, l’engloutissant et le comprimant, heureusement, je parviens à aspirer un minimum d’air par mes commissures…

Un peu plus tard, quand j’aurai senti au-dessus de moi la trépidation de sa jouissance, c’est de son anus entrebâillé par le plaisir que la belle Élodie fera cadeau à ma bouche en offrant à l’exploration de ma langue, tandis que je sentirai distinctement ma Belle-Sœur jouir sur mon pénis tout échauffé et endolori…

*

Un peu plus tard encore, après que les deux Femmes à l’insatiable et libre Libido ont de nouveau connu leur plaisir, après que ma bouche les a nettoyées dans les replis les plus secrets de leur chair secrète (cependant qu’elles dégustaient le thé que ma Belle-Sœur m’avait commandé de leur servir), après que ma langue a démêlé et désempoissé leurs poils, après que, tout en jouissant d’apaisante façon de cette « toilette-caresse », elles ont fini de s’entrecâliner en échangeant leurs impressions et en lâchant de petits rires satisfaits, je sers les deux Dominatrices dans leur bain qu’elles ont décidé de prendre ensemble, tête-bêche dans la grande baignoire blanche.

« Mon Élodie chérie, je dois dire que tu as raison : j’avais bien tort de me priver de posséder mon beau-frère. Il a beau être faiblement membré, sa petite queue est bien vaillante… ‑ Et plus endurante que certaines qui sont plus grosses et plus longues… ‑ Ah, ça oui ! Et je crois qu’on en a bien profité toutes les deux, non ? – Tout à fait, mais de sa bouche aussi car c’est un sacré suceur de chatte et lécheur de cul ! – Je te l’avais dit : ma Sœur s’en est bien occupée ! – Ouais, tout est bon, dans ton esclave : même avec son nez, je me suis fait du bien. – Oui, ça je sais, je m’en suis déjà servie comme godemiché et ça vaut n’importe quel vibromasseur… », tels sont les propos dont je suis le témoin muet, mais dois-je préciser que je m’en rengorge comme un paon ?

Réjoui de ce que j’entends, je les savonne, je leur frotte le dos, je leur lave les pieds, un orteil après l’autre, avec du savon que j’ai pris en bouche et sucé entre langue et palais pour le faire mousser, bien que son âcreté soit dure à supporter. Je les rince, je leur sèche le corps en les enrobant, chacune à son tour et ma Belle-Sœur d’abord, dans un vaste drap de bain que j’ai mis à tiédir sur le sèche-serviette.



Je m’agenouille progressivement le long d’elles, avec un vif sentiment de gratitude (pour me trouver si proche de tant de Beauté Féminine), et je descends le long de leurs longues jambes de reines, jusqu’à finir par leur assécher les pieds sur lesquels, bien entendu, je ne peux m’empêcher de déposer des baisers de tendre servilité qu’aucune des deux ne me reproche.

Puis j’aide les deux Dames à s’habiller et c’est moi qui, abaissé aux pieds de ma Belle-Sœur et tâtonnant sous sa longue robe, le long de ses cuisses que tout à l’heure j’ai gainées de très jolis bas lamés tendus de façon irréprochable, lui enfile, au dernier moment comme elle aime, sa petite culotte noire délicatement ourlée de fine dentelle rouge, dont les transparences audacieuses me troublent, comme si c’était la première fois que je faisais monter à ses hanches et à son ventre pareille petite merveille bien faite pour affoler les pauvres mâles vaincus d’avance…

Ensuite, c’est encore moi qui, alternativement agenouillé derrière chacune d’elles, ai l’honneur de leur brosser la chevelure pendant qu’elles se parfument et se fardent avec soin pour sortir en boîte.

Longue prosternation devant chaque paire de pieds. Lèvres écrasées sur les bottes de ma Belle-Sœur, sur les chaussures de sport d’Élodie. « Tu trouveras bien à t’occuper pendant mon absence mais tiens-toi prêt à me recevoir comme il faut dès mon retour. » Elles partent vers leurs amusements et leurs plaisirs, et déjà je n’existe plus pour elles…




Il est dix-huit heures. J’ai fini de préparer les ingrédients du dîner que ma Belle-Sœur cuisinera dans un moment. Étant rentrée fort tard (ou fort tôt), pendant que je l’aidais à se dévêtir, à quitter slip, bas et porte-jarretelles, à enfiler sa nuisette bleue toute diaphane et à se couler dans son lit que j’avais refait de frais, elle m’a dit qu’elle avait « fait de grandes folies de son corps » et qu’elle avait besoin de repos.

« Avant de quitter ma chambre, tu vas tout de même me délasser les pieds, car ils sont bien fatigués et ont besoin de douceur », a-t-elle bâillé en les faisant sortir de la literie. Je me suis agenouillé et je lui ai doucement pétri les petons, sans oublier leur plante ni leur talon, ni non plus les délicates chevilles, puis, comme je sais qu’elle adore cet hommage-caresse, j’ai dévotement sucé ses orteils et j’ai passé ma langue entre eux, les débarrassant d’un peu de moiteur salée et de quelques impuretés, prérogatives de l’esclave de Pieds.




Pour finir, dilatant ma bouche à l’extrême de ses possibilités, j’y ai tendrement enfourné, tour à tour, toute la pointe de ses pieds en leur faisant sentir ma langue par en dessous. Mais ma Belle-Sœur était trop lasse pour apprécier mes attentions serviles. Elle m’a retiré ses jambes en grognant et s’est pelotonnée dans le drap, déjà endormie ou presque. Je me suis donc discrètement éclipsé après avoir tiré le voilage de sa fenêtre pour adoucir la lumière du dehors, et l’ai laissée dormir tout son soûl.

*

Il y a un instant, ma Belle-Sœur m’a sonné pour que lui serve un thé au citron puis elle m’a dit que pour l’instant elle n’avait plus besoin de moi, qu’elle voulait rester seule et que je pouvais disposer. Elle m’a fait lui apporter un livre de Marika Moreski dont elle ne se lasse pas – Maîtresses saphiques – et s’est mise à lire.

Je suis à genoux dans le débarras en train d’entretenir les souliers de ma Belle-Sœur quand j’entends le téléphone sonner dans le salon. Ainsi que l’exige ma Maîtresse, je m’empresse d’aller décrocher. Comme il est difficile que je m’annonce « Ici, l’esclave personnel de Madame X à votre service, j’écoute », je dois me présenter de façon plus neutre mais tout de même explicite pour des oreilles d’initiées : « Ici, secrétariat particulier de Madame X, j’écoute. »

C’est donc ce que je dis dès que je décroche et un grand rire que je reconnais aussitôt me vrille le tympan. C’est mon Épouse que j’ai au bout du fil ! Elle ne me laisse même pas le temps de la saluer comme je le voudrais. « Ah, je vois que ma frangine chérie t’éduque comme il faut. J’avais un peu peur qu’elle te pourrisse mais j’ai l’impression que je me faisais de la bile pour rien. Tu la sers bien au moins ? Tu fais comme il faut tout ce qu’elle t’ordonne ? – Oui, ma chérie. – Appelle-moi Maîtresse et vouvoie-moi, tu veux ! – Pardon, Maîtresse. Oui, je crois que je sers Madame votre Sœur à sa convenance et qu’elle est satisfaite de ma manière de lui obéir. – Bon, je verrai ça avec elle… Mais si tu dis vrai, c’est tant mieux pour elle… et ça vaut mieux pour toi aussi ! – Vous allez bien, Maîtresse ? Vous vous amusez bien au Québec ? – Ma Sœur te racontera ça si elle en a envie. Elle est là au moins ? –Oui, Maîtresse, en ce moment elle lit dans son lit. ‑ Et toi, qu’est-ce que tu faisais ? – Je nettoyais tous ses souliers, Maîtresse. ‑ Saine occupation pour un esclave attentionné qui tient à se rendre utile pendant que sa Propriétaire se repose ! Passe-la-moi vite ! – Ne coupez pas, Maîtresse, s’il vous plaît, j’y cours. »

Il y a un combiné dans la chambre de ma Belle-Sœur. Je me dépêche d’y aller. Ma jeune et belle Maîtresse, sans lâcher son livre, le pose sur la couverture et me regarde, l’air interrogateur. Je décroche et masque le micro de ma paume. « C’est votre Sœur qui vous appelle du Canada, Maîtresse. Puis-je vous la passer ? – Bien sûr, imbécile ! Qu’est-ce que tu attends ? ». Je porte de combiné à mon visage : « Maîtresse, je vous passe Maîtresse ! » Et, à cause de la cocasserie de cette réponse, j’entends un double éclat de rire cristallin se produire, l’un tout près de moi, dans la pièce, et l’autre tout là-bas, au fin fond du Canada.

Toujours secouée par le rire, ma Belle-Sœur, en m’imitant sur un ton comique et ridicule, « Maîtresse, je vous passe Maîtresse », s’empare du combiné et me fait signe de me mettre à genoux près du lit pour lui tenir l’appareil qui va reposer à plat sur la paume ouverte de ma main gauche. Elle me tend l’écouteur que je saisis de la main droite et porte à mon oreille. Je ne m’attendais pas à ce que ma Belle-Sœur veuille que j’entende sa conversation avec ma Femme, mais je me trompais. La chose doit l’amuser.

« Bonjour, ma chérie ! Je suis drôlement contente de t’entendre. Tout va bien pour toi là-bas ? ‑  Une vie de rêve, tu veux dire ! Palaces, casinos, auberges de luxe. La flemme, l’amour, les amusements, le plaisir, les beaux achats. On me regarde, on m’admire, on m’envie, on me jalouse, on me copie. Je me sens doucement effleurée par tous ces regards qui enveloppent mon corps. Rien qu’à entrer dans une pièce, au restaurant par exemple, j’ai tout de suite envie de faire rouler mes fesses sous ma robe moulante. Je sens mes cuisses se frotter l’une à l’autre. J’ai l’impression d’entendre crisser la couronne de mes bas, se tendre mes jarretelles... Je me délecte de cette agréable sensation du désir masculin et du dépit féminin qui m’entourent, me caressent et m’excitent. Je sens monter en moi mon propre désir. Le désir que j’éprouve pour moi-même ! Je me sens belle et forte, puissante même, irrésistible. Je me dis que si je le voulais vraiment, tous ces hommes, là, présents, bavant et bandant pour moi, pour ma beauté et mon sex appeal, pourraient tomber à genoux à mes pieds et devenir mes choses, mes esclaves et qu’en plus ils en seraient heureux et flattés.



 Mes seins se dressent, mon ventre durcit. Tu ne vas peut-être pas me croire, mais il m’arrive d’aller aux toilettes rien que pour me titiller et jouir un petit coup, tellement je n’en peux plus ! Des fois, mon amant me rejoint, on entre dans un cabinet, il me trousse et il me prend debout contre une cloison, en passant son engin sur le côté de ma petite culotte... si j’en ai encore une ! L’autre jour, c’est même un beau petit jeune homme qui se trouvait là et qui m’avait surprise en train de me machiner, qui m’a gentiment prise devant lui, avec sa permission… et la mienne. Ce type m’adore, il est fou de moi et j’en fais ce que je veux. C’est un homme bien car il adore ma jouissance, même si ce n’est pas lui qui me la donne. Tous les soirs, quand nous rentrons, après nous être bien caressés et échauffés à l’arrière de la Buick que conduit un larbin, j’ai l’entrejambe et le haut des cuisses mouillés, ma petite culotte est toute moite,  et quand il me l’enlève et la porte religieusement à son nez, à ses lèvres, et qu’il la hume et la baise devant moi avec un air de grand respect et d’amour fou, j’ai tout de suite envie de baiser avec lui et de jouir de sa belle queue… Ah, crois-moi, chérie, celle-là c’est autre chose que celle de mon pauvre mari !… Et puis, jamais je ne me suis sentie autant traitée comme une Reine ! Il fait tout pour moi. Il ne sait pas quoi inventer pour me plaire et me donner du bon temps. Sauf si je le lui demande, jamais il ne vient en moi sans de longs préliminaires qui me donnent déjà beaucoup de plaisir. Il me gâte de toutes les manières, il est aux petits soins pour moi, nuit et jour, et  c’est un vrai gentleman : il veille à ce qu’on ne me manque jamais de respect et qu’on me serve comme je le désire. Et, en plus, au lit, il est infatigable et inventif. Jamais connu un amant pareil ! Une vraie usine à hormones ! Mais je ne parle que de moi, alors que je venais aux nouvelles… Comment c’est avec mon mari, comment ça se passe avec mon… pardon, avec ton esclave ? ‑  Formidable ! C’est comme tu me l’avais dit, et même encore mieux. Et tu avais raison aussi : je ne pourrai jamais plus me passer d’un esclave mâle et dès que tu rentres et que je te rends le tien, je vais tout faire pour m’en trouver un bien à moi, et rien qu’à moi. – Tu as raison, ma petite Sœur chérie… Mais je ne sais pas si tu y as pensé… Ton Alain, le mec qui soupire pour toi depuis des années… qui te regarde timidement comme si tu étais sa Déesse… que tu t’envoies quand tu n’as rien de mieux à te mettre sous… la chatte, et avec qui, à ce que tu m’as dit, tu aimes baiser… Qui est le seul amant à qui tu permets de monter chez toi… ‑ Uniquement quand je le sonne ! – Justement ! Ce type veut tout faire pour toi et ne demande rien ou presque pour lui. Qu’est-ce qui lui reste à apprendre ? Les attitudes de respect extrême et d’adoration de la Femme, s’agenouiller à tes pieds, se prosterner devant toi, te baiser et te lécher les souliers, te servir encore mieux, réaliser tous tes caprices, se transformer en animal, en chose ou en meuble comme n’importe quel esclave si tu en as envie… Sans vouloir t’influencer, est-ce que tu ne crois pas qu’il pourrait faire ton affaire ? Il a toutes les qualités qu’il faut pour ça : c’est un faible, il bafouille dès que tu le regardes d’une certaine façon ou que tu lui parles. Il t’aime comme un dingue, il est toujours d’accord avec ce que tu dis. Il fait toujours ce que tu veux, même si tu changes d’idées toutes les cinq minutes. Il essaie de deviner ce dont tu as envie, ce qui te ferait plaisir. Pas une semaine ne passe sans qu’il te fasse un cadeau. Jamais il ne s’est plaint de tes rebuffades, jamais il ne t’a jamais reproché de coucher avec d’autres, plus jeunes et plus beaux que lui, et plus souvent qu’avec lui. Quand tu veux bien de lui dans ton lit, comme tu l’as dit, tu le siffles et non seulement il accourt et s’occupe bien de ton plaisir (à ce que tu m’as dit), mais en plus il prend ça comme un merveilleux cadeau que tu lui fais. Tu lui parles comme à un larbin, parfois comme à un chien, et tu l’utilises à ton idée. "Apporte-moi ceci… Sers-moi à boire… Vas m’acheter une paire de bas… ». N’oublie pas, Sœurette, que je t’ai vue et entendue faire avec lui ! Quand tu veux de lui chez toi, et que tu sors quand il t’a fait jouir plusieurs fois, il t’attend comme un bon toutou. Sinon il reste sagement chez lui à attendre en se morfondant d’amour que tu le rappelles, et quand tu te fâches contre lui, tout ce qu’il sait faire c’est courber l’échine et te demander pardon en attendant que tu te calmes. Pour te plaire et te servir, il s’est mis à la cuisine, il fait toutes tes courses, ton ménage, ta petite lessive, ton repassage. Et combien de fois ne l’ai-je pas vu assis près de ton fauteuil, presque agenouillé en fait, à te regarder avec des yeux morts d’amour ?… Ça, c’est un  mec en or, je te le garantis, et je sais de quoi je parle : il a de quoi te faire un excellent esclave ! ‑ C’est drôle, ce que tu me dis. En fait, en voyant le dévouement d’Alain, sa soumission, son amour pour moi (alors qu’il sait que moi, je ne l’aimerai jamais), sa fidélité, son absence totale de jalousie (ou en tout cas de reproches), j’ai pensé plus d’une fois à l’asservir, sans oser me l’avouer. Mais maintenant, grâce à toi, et grâce à l’expérience que je vis avec ton mari, je me dis que c’est ce qu’il faut que je fasse. Je suis même presque sûre que ça va réussir… et je pense que, sans m’en parler car il est très discret, Alain n’attend que ça : que je le réduise vraiment en esclavage, que je prenne le pouvoir et règne sur lui qui depuis si longtemps joue à l’esclave à mes pieds. En tout cas, ma chérie, je peux t’assurer que, Alain ou pas, j’aurai bientôt un esclave personnel ! »


(À suivre…)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Dimanche 15 novembre 7 15 /11 /Nov 22:13

.... bas et lourd pèse comme un couvercle, sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, et que de l'horizon embrassant tout le cercle, il nous verse un jour noir plus triste que les nuits"....
Quelle tristesse que cette période automnale, avec ses journées en noir et blanc, pluvieuses et courtes. Je vais égayer cette fin de soirée par quelques jolies photos, des couleurs chaudes, et tout cela en avant première..... elles reflètent la matinée d'hier, fort agréable, au demeurant.



..... communication non verbale: feet le chien comprend le langage de Mes Pieds, je l'ai inventé pour lui, il comprend Mes désidératas, il s'approche afin de lécher Mes Pieds pour la deuxième fois de la journée, et il n'est que neuf heures! C'est ainsi qu'il m'a éveillé à huit heures précises...




..... j'ai les Pieds gelés, heureusement, j'ai Mon pouf!



Appréciez la courbure des reins! Je lui ai appris dès le début à être bien cambré, j'aime ce qui est esthétique!









...... je possède le pouvoir de le maintenir sans cesse en érection...... et sans viagra!



...... des Pieds enveloppants.....accueillants.....



...... courbes épurées et érotiques..... il est "à point", prêt à être utilisé.....



..... lui écraser le nez est mon plaisir..... et le sien... convergence D/s...



..... gageons que ce mini reportage va bien vous exciter devant vos écrans! Vous n'êtes pas encore couchés!
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Vendredi 13 novembre 5 13 /11 /Nov 17:23

..... je retrouve l'esclave lequel devra être en forme....... comme sur cette photo, histoire d'agacer "le bouffon bien membré" qui ne cesse de faire des effets d'annonce, comme quoi il aurait la plus belle.....


...... mais avant d'en arriver là, il devra d'abord s'occuper de Mes Pieds.....



Je vous souhaite un bon week end, moi, je travaille samedi et dimanche! Je suis de garde!
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : BDSM
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Jeudi 12 novembre 4 12 /11 /Nov 22:54

...... juste pour vous faire plaisir......



..... Mes pauvres Pieds échauffés, à l'issue d'une longue journée de labeur.......



...... j'en devine parmi vous qui salivent, je suis certaine qu'ils seraient nombreux à proposer le service de leur langue......mais je n'accepte pas les langues novices, ni la langue de bois....


..... n'est ce pas beau, cette complémentarité?



..... prendre Mes Orteils en bouche.....ce rêve inaccessible.....à l'exception d'une personne....


...... la langue experte nettoie entre chaque orteil.....prérogative d'esclave....



..... c'était le dernier article de ce jour........ buona sera!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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