...la suite des aventures de "paillasson ch'ti"....
.... vous comprenez pourquoi je ne renouvelle pas mon abonnement Premium à Overblog? Voir la piètre qualité d'image!!!
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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXIV
Un jour d’hiver, il faisait vraiment très froid. Nous n’avions qu’une envie, nous blottir devant un bon feu de cheminée. Avec ce temps glacial, les magnifiques pieds de ma Princesse devaient être gelés et je rêvais de pouvoir les lui réchauffer. Malheureusement ce jour-là, nous n’avons pas eu l’occasion de connaître ce bonheur absolu. C’est en effet en ce triste jour hivernal que la vie de ma Princesse et la mienne basculèrent du paradis à l’enfer.
Il est terrifiant de se rendre compte que la frontière entre le bonheur et le malheur est si mince !
En ce jour, j’ai tout perdu, ma vie, ma Princesse, mon bonheur, mon avenir… J’étais si bien aux pieds de ma Domina chérie depuis tant d’années ! Je me voyais passer toute ma vie à la servir et à honorer ses magnifiques pieds !
Pourquoi la vie est-elle venue nous séparer ? Pourquoi a-t- elle décidé de briser notre bonheur et de nous infliger une telle épreuve ?
Je ne vais pas philosopher sur les raisons de ce malheur. Je me torture souvent avec cela mais je dois vivre avec ce poids chaque jour, je n’ai pas le choix. Je vais vous raconter comment j’ai essayé de gérer au mieux cette épreuve. Paradoxalement, après le drame, j’en ai encore appris sur ma nature profonde d’esclave…
*
Après le drame, le chagrin me rongeait totalement. Je ne me rendais d’ailleurs pas vraiment compte de la réalité du malheur qui avait frappé ma Princesse.
Je pense que le fait de me retrouver soudainement séparé d’elle a décuplé ma passion pour les pieds des Femmes. Je n’arrêtais pas de penser à mon fétichisme, je passais des heures sur le Net sur des sites qui sont consacrés à cette passion. J’éprouvais un tel manque que j’essayais de compenser en admirant des photos de jolis pieds de Femmes. J’étais comme un drogué en plein sevrage…
Mais il faut vraiment que vous sachiez que ma relation avec ma Princesse ne se résumait pas à une relation Maîtresse-esclave. Ce n’était pas uniquement une relation fondée sur mon adoration pour ses jolis pieds. Nous étions devenus un vrai couple, heureux, et nous envisagions même d’avoir des enfants !!! Tout cela pour vous dire le niveau de bonheur que nous avions atteint, ce qui rendit la chute d’autant plus dure !!!
Parfois, je ne suis pas sûr d’avoir vraiment atterri. Il m’arrive d’avoir l’impression de planer, de survoler tout cela. Je me dis que je vais me réveiller, que tout n’est qu’un mauvais cauchemar. Malheureusement, le matin je reviens toujours à cette si dure réalité.
Après trois mois d’errance sur le Net pour essayer de combler le manque et le vide immenses laissés par ma Princesse, j’ai découvert un site qui fut un des premiers tournants de ma vie après le drame. Il m’a mis sur les rails de cette voie où j’avance depuis toujours, celle d’une soumission absolue !!!
Ce fameux site, c’est celui de Madame Elise Sutton, la Suprématie Féminine !!! (http://suprematiefeminine.over-blog.com)
Voici son texte de présentation :
« Ce site est dédié aux Femmes afin qu'elles sachent qu'elles peuvent vivre autrement. Leurs compagnons ont bien souvent un secret au fond d'eux-mêmes, ou tant de maladresse pour l'avouer... mais ce secret bien compris et intelligemment utilisé pourrait changer votre vie de couple.
Aussi, Mesdames, prenez le temps de lire. De découvrir ce monde qui pourrait être le vôtre si vous ne vous sentez pas totalement épanouie en votre relation.
Et vous messieurs, apprenez à penser à Elles, à les respecter. découvrez que vous pouvez changer votre vie, faire le bonheur de votre couple.
Découvrez ce nouvel art de vivre que nous allons décrire via des questions/réponses ».
Ce site s’appuie sur les théories de Madame Elise Sutton. En France, il est géré par Maîtresse Dana. Lorsque je l’ai découvert et que j’ai lu sa page d’accueil contenant ce préambule, ce fut pour moi une véritable révélation. J’ai compris que ce pourrait être pour moi une incroyable source d’informations et d’inspiration…
Lorsque j’ai commencé à fréquenter ce site, je n’ai plus pu m’arrêter. Il contenait tant d’articles intéressants et d’expériences passionnantes !!! J’apprenais tellement de choses ! Je ne pouvais plus m’empêcher de lire encore et encore tous ces textes grâce auxquels je noyais mon chagrin.
En même temps, j’avais pris l’habitude de discuter sur des tchats. Je pense que pour gérer ce drame, j’avais besoin de parler. Donc je passais des heures tard le soir ou tôt le matin, à m’entretenir avec des Femmes. Je leur disais ma passion pour leurs pieds. La plupart, je dois l’avouer, ne comprenaient pas et trouvaient cela trop bizarre.
Après avoir passé des heures à tchater, j’ai pu garder le contact avec quelques Femmes qui m’avaient donné leur adresse e-mail. C’étaient les rares personnes qui n’avaient pas été choquées lorsque je leur avais évoqué ma passion pour les pieds féminins. Nos contacts se sont limités à quelques échanges… Le manque de ma Princesse me rongeait encore et encore !!! [Maximum trois « ! » et c’est déjà beaucoup.]
Sur le forum de la Suprématie Féminine , j’ai découvert un sujet qui me correspondait parfaitement : « Les pieds, objets de fantasme et de vénération ». Pendant sept mois, je n’ai pas cessé de lire tous les articles. Les plus anciens, comme les nouveaux qui paraissaient régulièrement. Je tenais vraiment à tout lire, je ne voulais pas en perdre une miette.
Après notre drame, je me suis retrouvé bien seul. Depuis plusieurs années, je vivais si heureux aux pieds de ma Princesse ! Nous étions dans notre bulle. Pour diverses raisons que vous avez découvertes [découvert pour découvertes : faute détectée à la relecture !!!] au fur et à mesure de ma monographie, je m’étais éloigné de tous mes amis avec lesquels nous formions une bande si proche depuis mon adolescence.
Il n’y a qu’avec François, mon meilleur ami, que j’ai vraiment gardé un contact régulier. Malheureusement, la vie nous a éloignés géographiquement et j’étais donc bien seul. Je n’avais plus de relation avec Clément. Celle qu’il avait entretenue avec ma Princesse avait complètement fait exploser notre amitié.
J’avais complètement perdu Nicolas de vue et c’est moi qui en étais responsable. Ma Princesse m’avait ordonné de lui tourner le dos et je lui avais bien entendu obéi… Je ne voyais plus Fabrice qui, lui aussi, était parti au loin et avec qui je n’avais plus que quelques rares conversations téléphoniques. Enfin, Michaël faisait sa vie de son côté, et je n’avais plus de nouvelles de lui.
Tout cela, pour vous expliquer qu’il y a quelques années, nous étions vraiment une bande de copains très proches. Puis, il y eut la rencontre avec ma Princesse et ce fut le plus beau jour de ma vie. Bien entendu, cette rencontre a perturbé l’équilibre dans la bande. J’ai commencé à m’éloigner peu à peu de mes amis. Pendant que je passais ma vie aux pieds de ma Princesse, mes copains ont continué à vivre sans moi. Ils ont tous rencontré « l’âme sœur » et trouvé un boulot et un équilibre. Lorsque après plusieurs années, ce terrible drame est survenu, je me suis vraiment retrouvé complètement seul. Je n’avais plus ma Princesse et je me suis rendu compte que j’avais également perdu tous mes amis…
Lorsque j’ai perdu ma Princesse, j’ai tout perdu, mon monde s’est littéralement écroulé. Je ne pouvais plus compter que sur ma famille très proche. C’est cette solitude soudaine qui m’a poussé à passer tant de temps sur les tchats.
Huit mois après le drame, je me suis inscrit pour la première fois sur un site de rencontres. J’avoue qu’à l’époque je ne sais pas vraiment ce que je recherchais. Je pense que c’est ma très grande solitude qui m’avait poussé à m’inscrire.
Le mois d’après, je naviguais toujours sur le Net, m’attardant sur les sites traitant du fétichisme des pieds et de l’asservissement des mâles. Mon besoin de soumission devenait de plus en plus obsédant. J’ai alors découvert le site Sensation SM sur lequel je me suis inscrit, mais cela ne m’a donné l’occasion d’aucune rencontre, peut être tout simplement parce que je n’ai jamais osé franchir le pas…
Toujours en surfant sur le Net, j’ai découvert un site génial que je connaissais très peu. Il s’agit de YouTube. Un jour, j’ai eu l’idée de taper comme recherche « pieds de Femmes » et je n’ai pas été déçu. Il y a un nombre incalculable de vidéos qui montrent tellement bien le fétichisme des pieds, la soumission, le plaisir de lécher les bottes, etc. Un véritable fétichiste des pieds comme moi se régale ‑ encore aujourd’hui d’ailleurs, et plus que jamais ! ‑ avec un tel site…
Il y a des vidéos traitant d’absolument de tous les sujets, et je me suis même inscrit pour avoir accès à certaines d’entre elles… Hum !… Ce fut une découverte très importante pour moi car j’ai pu constater que j’étais loin d’être le seul avoir de tels désirs, de tels besoins. C’était différent que de me contenter de lire des textes puisque là, avec les vidéos, je pouvais aisément m’imaginer à la place du soumis… Puis, toujours dirigé par mon très grand fétichisme des pieds, j’ai découvert le blog d’une Princesse qui mettait simplement en valeur ses jolis pieds, mais qui hélas, n’existe plus (jolis-petits-pieds.over-blog.com
Le 25 février 2009 fut le plus grand tournant de ma vie après le drame. Ce jour-là, en cliquant par hasard sur un lien, j’ai découvert le merveilleux site de Maîtresse MAEVA. J’ai été immédiatement ébloui par l’incroyable beauté des merveilleux pieds de cette Domina. À 11 h 16 exactement, je me suis inscrit à sa newsletter car j’avais immédiatement compris qu’après le site d’Elise Sutton, ce blog deviendrait pour moi une référence ! Je ne savais pas encore qu’il m’apporterait tellement plus…
Je reçois rapidement dans ma boîte mail, les premières newsletters m’informant des nouveaux articles parus sur le site de Maîtresse MAEVA. Ce jour-là, elle nous offrait de merveilleux cadeaux, de magnifiques photos de ses sublimes pieds, dont je suis tombé fou amoureux. Les newsletters se succédaient dans ma boîte. Comme je suis très réactif, je cliquais sur le lien pour admirer les nouvelles photos et les nouveaux articles que j’attendais toujours avec une certaine impatience. À partir de ce moment-là, j’ai délaissé le site de Madame Sutton qui jusque-là était mon préféré. Je l’avais parcouru en entier et j’y avais appris énormément de choses. Notamment, il m’avait permis de mieux comprendre l’utilité d’une frustration importante. Il m’avait même appris à prendre du plaisir à être frustré.
Cependant, les nouveaux articles publié sur ce site étaient de plus en plus rares. Je m’étais également inscrit sur le forum, en tant que soumis à la recherche d’une Maîtresse. Mon manque était tellement important que je recherchais une Femme qui pourrait de nouveau me dominer. J’avais besoin de retrouver ce que j’avais perdu, de me sentir de nouveau sous l’Autorité d’une Femme. Malheureusement, la plupart des Maîtresses qui se manifestaient étaient déjà toutes en possession d’un soumis. Et puis, les sujets abordés étaient tellement nombreux que je n’avais pas le temps de tout lire. Mais enfin, par l’intermédiaire du tchat de Suprématie Féminine, j’ai tout de même souvent eu l’occasion de discuter avec de nombreuses Maîtresses qui m’ont permis d’apprendre beaucoup de choses sur la relation D/s et sur la vraie soumission.
Ensuite, je me suis entièrement consacré au site de Madame MAEVA. Je n’en visitais plus aucun autre. Je ne pensais plus qu’à cette Domina. Elle représentait pour moi la Maîtresse sans toute sa Splendeur. Entre les différentes newsletters, je recevais des avis provenant du site de rencontres sur lequel je m’étais inscrit peu de temps auparavant, mais je ne m’y intéressais plus du tout. Madame MAEVA occupait toutes mes pensées. Je me rappelle qu’au départ, je m’étais baptisé « l’adorateur des pieds de Maîtresse MAEVA ». Je reconnais que ce nom n’était pas très original. Au départ, Elle m’a soupçonné de n’être qu’un soumis fantasmeur qui allait disparaître rapidement du site mais peu à peu, elle a changé d’avis sur moi.
Le 5 mars 2009, Maîtresse MAEVA m’a offert deux fabuleux cadeaux. J’ai eu l’incroyable chance d’être baptisé « paillasson mâle ». De plus, j’ai eu l’honneur de recevoir une merveilleuse vidéo de ses sublimes pieds. Qu’est-ce que j’ai pu me sentir heureux ce soir-là !!!
Depuis le drame (il y avait déjà plus d’un an à ce moment-là), je ne m’étais jamais senti aussi heureux. Pour la première fois depuis ce temps, j’avais enfin l’impression d’appartenir de nouveau à une Femme. Je sais que ce n’était qu’un nom donné afin de m’humilier mais pour moi, c’était très important, je n’étais plus seul. Cette immense vide laissé par ma Princesse était doucement comblé par Madame MAEVA qui prenait peu à peu possession de moi. De plus, ce soir-là, Elle m‘avait fait l’honneur de lire mon tout premier texte.
Le 7 mars 2009, Maîtresse MAEVA m’annonça qu’elle m’acceptait virtuellement à ses divins pieds. Ce jour-là, j’ai éprouvé un immense bonheur car je savais désormais que j’appartenais de nouveau à une Femme extraordinaire. J’en avais tant besoin que j’ai tout de suite adoré son site. En plus, j’aimais beaucoup l’idée de voir un jour mes textes publiés. Après avoir vécu ce terrible drame, j’avais vraiment besoin d’extérioriser tout ce que je ressentais. Je ne pouvais parler à quiconque de ce que je ressentais, les gens n’auraient pas compris mon fétichisme, mon besoin de soumission, pas plus que mon entourage. Personne ne comprenait qu’en perdant ma Princesse, j’avais tout perdu ! J’avais pourtant tellement besoin d’exprimer tout ce que je ressentais que le fait de pouvoir l’écrire a été pour moi une véritable thérapie. D’ailleurs, ce besoin d’écrire s’est fait ressentir très rapidement après le drame.
En effet, plusieurs mois après celui-ci, cette envie, je dirais même ce besoin, d’écrire est clairement apparu. Au départ, je notais en « vrac » toutes les idées qui me passaient par la tête. Puis j’ai commencé à les mettre en forme et finalement cela venait tout seul. Je sais que j’ai de grosses lacunes en orthographe, même si l’écriture de ma monographie m’a permis de progresser dans ce domaine, ce qui est amusant en l’occurrence… En revanche, j’ai toujours eu des facilités pour l’écriture, [« Sans technique un don n’est rien qu’une sale manie » a écrit Brassens. TRAVAILLE et TRAVAILLE ENCORE !] j’ai toujours aimé composer. Ainsi, le jour où je me suis installé devant mon ordinateur, j’ai écrit des pages et des pages à une vitesse assez hallucinante. Je voyais ces pages blanches s’emplir rapidement. C’était toute ma vie qui défilait sur cet écran. J’avais tellement de choses à dire, à raconter. Il y a tellement longtemps que je gardais tout cela en moi sans pouvoir l’exprimer. Ainsi, ce jour-là, j’ai ouvert mes pensées les plus profondes et j’ai écrit absolument toute ma vie !!!
J’avais appelé ce texte : « Comment un homme découvre sa vraie nature : la soumission », parce que j’avais compris beaucoup de choses sur moi-même grâce au site de Madame Elise Sutton. Ce texte était destiné au départ à Maîtresse Dana, car j’avais besoin de connaître l’avis d’une Domina expérimentée sur ma vie et sur mon avenir…
Ma contribution était articulée autour de trois grands axes :
‑ Ma découverte de la soumission et de l'adoration pour les pieds de Femmes.
‑ Mon histoire.
‑ Mon désir profond : l’adoration des pieds des Femmes.
Lorsque Maîtresse MAEVA m’a permis de publier ma monographie, ce fut un soulagement, une thérapie… Je vous remercie, encore, Maîtresse MAEVA !
Lorsque je suis arrivé sur le site de Madame MAEVA, j’étais vraiment un débutant dans la soumission. Même si je venais de passer quatre années merveilleuses aux pieds de ma Princesse, je ne connaissais pas encore la vraie soumission, la soumission absolue. Je restais trop l’esclave de mes désirs. Au départ, j’ai fait la terrible erreur d’être très pressant avec Madame MAEVA. Elle m’a appris qu’un esclave ne doit jamais réclamer, il se doit d’attendre sagement que sa Maîtresse lui accorde ou non ce qu’il demande. Ce fut le premier enseignement que Maîtresse MAEVA m’inculqua. J’ai tellement appris et progressé grâce à Elle !
On peut dire que Maîtresse MAEVA a poursuivi l’éducation que ma Princesse avait commencée qui fut malheureusement si brutalement interrompue.
Le 9 mars 2009, j’ai reçu un nouveau mail de Madame MAEVA qui m’informait que mon texte lui plaisait, ce qui était un immense honneur pour moi. Elle me reprochait mes nombreuses fautes d’orthographe, mais j’étais follement heureux d’apprendre qu’Elle avait l’intention de publier mon texte illustré de ses merveilleuses photos. C’était un honneur absolu pour moi !!!
Le 18 mars 2009, mon premier texte apparut sur le site, illustré de magnifiques photos des divins pieds de Maîtresse MAEVA. Ce fut un immense honneur et un moment de bonheur intense, quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Et ce fut le début d’une longue monographie qui est en cours actuellement…
Mon premier texte rencontra un certain succès auprès des lecteurs qui, comme Maîtresse MAEVA elle-même, me réclamaient une suite. Cela me réchauffa le cœur et me donna encore plus ce plaisir d’écrire dont j’avais tellement besoin…
Madame MAEVA est la première personne à qui j’ai pu réellement me confier après le drame. Je lui avais dit mes désirs et besoins les plus profonds et c’était la seule Femme à me connaître totalement, la seule qui pouvait comprendre le manque terrible que je ressentais depuis le drame. Cette relation virtuelle qui débutait avec Elle m’apaisait totalement car elle était pour moi tout à fait réelle et me devenait, au fur et à mesure des jours, indispensable. Et puis, Madame MAEVA avait senti que j’avais besoin d’être de nouveau dominé, que c’était presque vital pour moi. Aussi, Elle me proposa – ou plutôt Elle m’ordonna de contacter Madame Saint-Ange [j’opte pour cette graphie qui, je pense, est la bonne] qui est une Dominatrice expérimentée de la région lyonnaise. J’ai obéi et j’ai donc contacté par mail cette Dame. Bien entendu, depuis plus d’un an, je n’aspirais qu’à une seule et unique chose : être de nouveau dominé par une Femme autoritaire. Malheureusement, je pouvais difficilement me déplacer jusque dans la région lyonnaise. De plus, comme je l’ai déjà expliqué, j’ai toujours eu une relation fusionnelle avec les membres de ma famille, bien que cette proximité et ce réconfort puissent parfois quelque peu me peser… Je ne savais donc pas comment me rendre à Lyon sans éveiller les soupçons de ma famille, surtout que je suis un très mauvais menteur !...
Pour Madame MAEVA, j’étais vraiment prêt à faire tomber tous mes tabous. J’ai même été jusqu’à prendre une photo de moi nu. J’avoue qu’elle était floue mais cette épreuve ne m’était pas facile car j’ai très peu confiance en moi et en mon physique. Mais comme Madame MAEVA avait envie de voir à quoi je ressemblais, elle m’avait demandé une photo. Cela me faisait peur car jusque là très peu de personnes étaient au courant de mon fétichisme et de mon besoin de soumission. Seule ma Princesse me connaissait vraiment. Je craignais que mon secret soit dévoilé, j’étais terrifié à l’idée que des gens, autour de moi, puissent découvrir mes secrets et me juger (certainement de manière négative !). Je me sentais tellement stressé que j’ai envoyé une photo un peu masquée. Je sais que c’était vraiment nul comme idée, mais j’avais horriblement peur de me montrer à visage découvert. Je peux vous dire que je me suis fait remettre à ma place par Maîtresse MAEVA et que je l’avais bien mérité ! Sa première réaction en voyant cette photo fut de me dire que je ressemblais à un gamin de 16 ans alors que j’en avais 24 à l’époque. Mais il est vrai que j’ai un visage qui fait très jeune…
Je continuais de lire les quelques nouveaux articles qui paraissaient sur Suprématie Féminine. J’admirais quelques nouvelles photos sur « jolis petits pieds », mais je passais presque tout mon temps auprès de Madame MAEVA. Elle m’avait même donné l’autorisation de communiquer mes textes au site Suprématie Féminine. Mais j’avoue avoir été déçu car ils n’ont pas rencontré l’intérêt que j’avais senti du côté de Maîtresse MAEVA. Ensuite, je me suis désabonné du site de rencontres auquel je m’étais inscrit. J’en avais marre de recevoir des mails auxquels je ne m’intéressais absolument plus. Je n’étais pas prêt à rencontrer quelqu’un. Je ne pensais qu’à Maîtresse MAEVA, je ne désirais que ses magnifiques pieds. Surtout, j’avais vraiment besoin d’écrire pour extérioriser tout ce que j’avais vécu depuis plusieurs années, pour exprimer cette souffrance si forte que je ressentais depuis le drame.
J’ai fini par suivre les conseils d’un ami qui essayait de me convaincre de rencontrer quelqu’un. Je me suis inscrit sur Meetic, le site de rencontres méga connu. Une première Femme a consulté mon profil et m’a envoyé un message. Étant vraiment en grand manque de tendresse, j’étais fou de joie que quelqu’un s’intéresse à moi. Je me suis rapidement imaginé plein de choses, je me voyais déjà à ses pieds… Malheureusement, elle a choisi quelqu’un d’autre !… J’étais décidément abonné aux déceptions amoureuses. Avant de rencontrer ma Princesse, c’est malheureusement ce que j’avais toujours vécu : déceptions et frustrations…
Il y a un peu plus d’un an, Maîtresse MAEVA a eu cette phrase très juste à laquelle je repense souvent : « Pense à ta vie qui s'écoule. Un jour , il sera trop tard, ta vie sera derrière toi ! ».
« ... pour la jeune recrue méritante et passionnée... j'ai nommé "paillasson mâle"... un soumis prometteur car sincère... »
À cette époque, je vivais des moments de bonheur quotidien. Cela ne m’était plus arrivé depuis les temps bénis passés avec ma Princesse. En effet, le lendemain, Maîtresse MAEVA me fit de nouveau un superbe cadeau. Le mercredi 1er avril 2009, Elle publia le deuxième texte de ma monographie. Ce fut pour moi, un plaisir grandiose.
Dans ses commentaires, Maîtresse MAEVA disait : : « paillasson mâle" ! Tu es autorisé à contacter Maîtresse Saint-Ange [ La Maîtresse l’écrit avec « Saint » et non « Sainte », qui est certainement faux, mais sans le trait d’union. Je crois qu’il le faut.] dans la perspective d'une entrevue (soft ou hard, à ton choix..) Il est nécessaire que tu sortes du virtuel ! ».
Malheureusement, comme je l’ai dit plus haut, Maîtresse Saint-Ange vivait trop loin et je ne pouvais pas me permettre de partir. Mais la principale raison est sans doute que je n’étais pas prêt…
Peu à peu, ma confiance et ma complicité avec Maîtresse MAEVA grandissaient. J’avais en Elle une telle confiance que je lui ai expliqué le drame qui avait frappé ma Princesse. Ma relation avec Elle n’est peut-être que virtuelle mais les bienfaits que j’en tire sont, eux, bel et bien réels.
Le 8 avril 2009, dans un commentaire, Maîtresse MAEVA m’écrivait : « Tu réclames sans cesse d'être rassuré, paillasson. Comme beaucoup de mecs, tu souffres du syndrome "abandonnique"... Je n'ai pas l'intention de te laisser tomber (tomber où?), mais je te rappelle que je t'ai donné trois ordres bien précis, à exécuter dans les trois semaines à venir, et puis, ne me refais pas le coup du "j'habite chez mes parents", ça fait un peu bébé et je ne suis pas ta nurse ... Bonne journée ! »
Maîtresse MAEVA m’avait parfaitement cerné, je me sentais seul. J’avais vraiment l’impression d’avoir été abandonné par ma Princesse. Pourtant, je savais bien que ce n’était pas de sa faute…
Après avoir lu l’intégralité du site Suprématie Féminine, j’avais pris conscience des bienfaits de la frustration pour un individu mâle. Je l’avais connue pendant des années avec ma Princesse, mais je n’avais pas compris que celle-ci pouvait être si agréable…
J’avais à ce moment-là vraiment envie de porter une cage de chasteté. Ma Princesse ne m’avait jamais emmené jusque-là. Ni elle ni moi ne connaissions d’ailleurs l’existence de ces cages. J’avais même eu envie d’en commander une sur Internet et de la porter, afin de pouvoir entrer dans le cheptel de Maîtresse Saint-Ange. Mais comme toujours, vivant chez mes parents, je n’ai jamais osé prendre ce risque. J’ai donc décidé de poursuivre la frustration que ma Princesse m’avait imposée. Je me forçais alors à des périodes de continence de plus en plus longues. Parfois, il y avait des accidents, je l’avoue, mais j’ai réussi à tenir 28 jours sans me donner de jouissance, [Je crois important de le préciser.] malgré l’absence d’une cage de chasteté. J’ai tenu grâce à ce que j’appelle « la cage de l’esprit ». À l’époque, j’aurais voulu que Maîtresse MAEVA prenne le contrôle de mes jouissances, mais Elle l’avait refusé et j’avais compris sa Décision. Bien entendu, puisque je ne portais pas de cage, Maîtresse Saint-Ange refusa de s’occuper de moi.
Maîtresse MAEVA continua de m’accorder l’incroyable honneur de publier mes textes. Semaine après semaine, c’est toute ma vie la plus intime qui défilait sur son magnifique blog. J’ai toujours eu l’impression que chaque texte publié me retirait un poids énorme.
Par ordre de Maîtresse MAEVA et de Maîtresse Saint-Ange, j’ai écrit un récit imaginaire de ma rencontre avec cette dernière. Il n’a jamais été publié, mais peut-être le sera-t-il un jour… En tout cas, une partie de moi a vraiment envie que cette rencontre devienne un jour réalité.
Fin août 2009, j’ai envoyé un mail à Maîtresse MAEVA car j’avais besoin d’exprimer la peine et la tristesse que je ressentais. Je me suis tourné naturellement vers Elle. C’est bien la preuve qu’Elle était devenue une personne très importante et très proche pour moi. Je lui ai donc dit tout ce que j’avais sur le cœur et la dureté du drame que je vis au quotidien.
Quand je relis ce message empli de peine et de tristesse, je me rends compte que plus d’un an après, je suis toujours dans la même tristesse, le même désespoir. Ma situation, ma vie ne se sont malheureusement pas améliorées.
Maîtresse MAEVA a eu la gentillesse de me répondre. Son message me toucha sincèrement et me fit énormément de bien. Elle me demandait de lui envoyer des photos de ma Princesse. Par respect pour mon ancienne Amie, c’est une chose que d’habitude je refuse, mais j’ai une telle confiance en Maîtresse MAEVA que je lui ai adressé plusieurs photos.
N’ayant pas beaucoup confiance en moi, dès qu’une Femme visitait mon profil sur Meetic, j’avais tendance à m’emballer rapidement… Cela me rassurait que l’on puisse s’intéresser à moi. Mon manque d’affection devenait de plus en plus difficile à supporter. Ainsi je me connectais de plus en plus souvent à ce site, et j’envoyais de plus en plus de messages dans l’espoir de rencontrer une Femme.
Le 12 octobre 2009 fut un nouveau tournant dans ma vie après le drame. En effet, ce jour-là, je découvre que Maîtresse MAEVA a publié un article dans lequel elle nous propose d’obtenir une de ses nombreuses et magnifiques paires de chaussures. Il s’agit de superbes bottines en cuir rouge. Je comprends immédiatement qu’il s’agit là d’une occasion unique. Je sais que je DOIS m’approprier ces bottines, tellement je suis fou amoureux des divins pieds de Maîtresse MAEVA ! Je savais que le fait d’acquérir ses superbes bottines serait pour moi un moyen de me rapprocher de mon Graal. Grâce au site de Maîtresse MAEVA, j’avais découvert le plaisir d’être un lèche-bottes. En effet, c’est une activité servile qui m’a toujours fait fantasmer et dont j’ai toujours rêvé, mais que j’ai malheureusement très peu pratiquée. J’avais vraiment envie de lécher ces belles bottines rouges. J’ai donc très rapidement lancé une enchère qui me garantissait quasiment de les obtenir. Même si je ne suis pas milliardaire, il est clair et net que j’aurais cassé ma tirelire pour en devenir l’heureux propriétaire. Je remercie une nouvelle fois Maîtresse MAEVA de m’avoir permis d’obtenir ce merveilleux cadeau.
J’étais fou d’impatience de les recevoir pour enfin avoir l’incroyable honneur de poser ma langue sur le cuir rouge ! Cependant, comme je vivais toujours dans cette peur que l’on découvre mon secret, je m’étais arrangé pour faire livrer le colis à une autre adresse. Je craignais que mes parents en découvrent le contenu car je ne sais vraiment pas comment j’aurais pu m’en justifier...
Je suis heureux et fier d’être un véritable fétichiste des pieds mais je ne sais pas si je serais capable de l’assumer devant les membres de ma famille… Cela constitue pour moi une grande angoisse qui m’empêche très certainement de réaliser mes fantasmes, du moins en partie.
Maîtresse MAEVA m’avait dit, en parlant de ces superbes bottines rouges : « Elles sont de pointure 38, et qui sait ? Peut-être joueras-tu à Cendrillon et trouveras-tu des Pieds à glisser à l'intérieur, ce qui sera plus attrayant, conviens-en ! »
Malheureusement, je n’ai pas réussi à trouver ma « Cendrillon », bien que je ne perde pas espoir et que je continue de croire qu’un jour je pourrai me mettre à genoux pour enfiler ces superbes bottines aux pieds d’une Femme.
Maîtresse MAEVA m’a même accordé l’immense honneur de m’offrir une de ses anciennes paires de bas utilisés et usagés. Je sais, je ne suis un petit veinard mais hélas je ne l’ai pas toujours été…
J’ai toujours eu la joie de voir que Maîtresse MAEVA s’intéressait sincèrement à ma monographie. Grâce à elle, j’ai même progressé en orthographe. J’avoue que mes premiers textes étaient bourrés de fautes d’orthographe. [Excuse-moi, mais les suivants aussi ET TOUS CONTIENNENT TOUJOURS LES MÊMES ERREURS. Et puis, ils sont farcis de répétitions et d’expressions inutiles comme j’avoue que, qu’on peut presque toutes supprimer. Tu es sincère, jusqu’ici tu étais intéressant, MAIS TU NE TRAVAILLES PAS ASSEZ, tu te laisses aller, tu ne relis pas, tu « n’écris » pas, au sens vrai du terme.] Au fur et à mesure des corrections, je me suis amélioré. Je suis extrêmement reconnaissant à Maîtresse MAEVA d’avoir publié mes nombreux textes. Je sais que mes corrections lui ont pris énormément de temps et je lui en suis sincèrement reconnaissant. Puis « slavio », un nouveau soumis fit une apparition momentanée sur le site et Maîtresse MAEVA lui confia la mission de corriger mes textes, ce qu’il fait toujours d’ailleurs, et je l’en remercie.
Puis le fameux colis est arrivé, soulevant en moi une folle excitation. Je me suis arrangé pour être seul chez moi, bien tranquille. J’ai ouvert le paquet, j’ai découvert la première bottine puis la deuxième. J’ai descendu doucement les fermetures Éclair, j’ai pris les bas dans mes mains. Je les portai à mon nez, je respirai à pleins poumons la merveilleuse odeur des divins pieds de Maîtresse MAEVA. Puis ‑ je n’ai pas pu m’en empêcher ‑, je me suis allongé par terre et je me suis mis à lécher les bottines, encore et encore. Cela dura des heures. Depuis plusieurs mois, j’étais tellement fou amoureux des divins pieds de Maîtresse MAEVA que j’avais vraiment l’impression d’être devant eux, en léchant le cuir rouge de ses bottines.
Quasiment deux ans après le drame, cette journée représente mon plus grand moment de bonheur…
Je ne remercierai jamais assez Maîtresse MAEVA pour cet extraordinaire cadeau. Comme je le lui avais promis, j’ai bien pris soin de ses bottines, jour après jour, avec toujours autant de bonheur et de plaisir !!! Il y aura déjà bientôt un an que je les vénère. Hum, quel délice !…
J’étais tellement accro au site de Maîtresse MAEVA que je suis triste de ne l’avoir découvert que plus d’un an après sa création. J’aurais tellement aimé être présent dès le premier jour. J’ai essayé de rattraper mon retard, j’ai pris des heures et des heures pour parcourir le site de long en large. J’ai conservé très précieusement toutes les merveilleuses photos que Maîtresse MAEVA m’avait donné l’honneur de recevoir et d’admirer… J’en ai enregistré d’autres à partir du site, mais malheureusement je n’ai pas eu l’occasion de le faire pour toutes, avant que le site ne se mette à buguer. Je m’en veux beaucoup de ne pas les avoir toutes enregistrées. Le blog était si riche en photos !...
Pourquoi ce maudit bug est il venu tout gâcher ?! À croire que le malheur me poursuit…
Le lundi 9 novembre 2009, Maîtresse MAEVA publia un article dans lequel elle m’accorda l’incroyable honneur d’expliquer qu’elle avait reçu une offrande de ma part. Depuis plus d’un an, Elle me rendait vraiment heureux, avec tout ce qu’Elle me donnait. J’avais vraiment eu envie de lui faire Plaisir.
Oui, j’ai toujours été comme cela, quand j’aime une personne, j’ai envie de la combler de cadeaux !!! Je me suis ruiné pour ma Princesse mais j’en suis heureux, je ne regrette absolument pas le moindre centime que je lui ai consacré.
Pour Maîtresse MAEVA, j’étais dans le même état d’esprit. En publiant cet article, Elle m’a accordé un immense honneur et j’en suis parfaitement conscient…
Comme illustration, il y avait une photo sur laquelle Maîtresse MAEVA caressait de l’un de ses magnifiques pieds la bouteille de champagne que je lui avais offerte. Cette photo symbole était très importante pour moi. Malheureusement, je n’ai pas pu l’enregistrer avant que le site ne bugue. C’est là un très grand regret. J’aimerais tellement revenir à l’époque où le site fonctionnait parfaitement et où toutes les photos de Maîtresse MAEVA étaient encore bien présentes. Mais on ne peut jamais revenir en arrière et je suis bien placé pour le savoir…
Dans un mail, Maîtresse MAEVA a eu cette phrase si juste : « La vie est souvent cruelle, un pseudo-équilibre qui ressemble au bonheur peut d'un coup basculer dans l'horreur et la peine. »
Fin novembre 2009, j’avais tellement envie de me trouver pour de vrai devant Maîtresse MAEVA que je me suis mis à écrire un récit imaginaire de notre future rencontre. Ce texte plaisait à Maîtresse MAEVA, pourtant il ne fut jamais publié et le rendez-vous n’eut jamais lieu…
À cette époque, Maîtresse MAEVA commençait à juste de titre de se lasser de la torpeur présente sur le blog. En effet, les participations étaient de moins en moins nombreuses, alors que Maîtresse MAEVA continuait toujours de fournir un travail important, afin de nous offrir toujours de beaux articles.
Le jeudi 26 novembre 2009, Maîtresse MAEVA décida de modifier mon nom d’esclave et de m’appeler « paillasson ch’ti ».
Début décembre 2009, pour remercier Maîtresse MAEVA pour tout le bonheur et le bien-être qu’elle m’apporte, j’ai décidé de lui envoyer une offrande.
À cette époque également, le blog commence à buguer. Il devenait impossible pour Maîtresse MAEVA d’y insérer des photos. J’ai alors eu peur qu’Elle ne décide de l’arrêter, comme elle l’avait déjà envisagé à plusieurs reprises. Pour remédier à ce problème, Elle décida alors de créer chez un autre hébergeur un autre blog. Mais il ne lui donna pas satisfaction et il n’y eut que quelques articles d’édités.
Puis nous voici en 2010. Maîtresse MAEVA continue de publier ma monographie, malgré les nombreux bugs du blog. Ma solitude me pousse encore à m’inscrire sur un autre site de rencontres. Malheureusement, il faudrait encore payer pour accéder aux services.
Or, je préfère garder mon argent pour faire Plaisir à ma Maîtresse !!!
Ma messagerie s’emplit de propositions de contacts provenant des différents sites de rencontres auxquels je suis inscrit, mais je ne m’y intéresse toujours pas. Les premiers jours de 2010 passent et l’activité sur le blog reste toujours au plus bas. Maîtresse MAEVA est découragée, ce qui est normal.
Quant à moi, un changement d’état d’esprit se fait peu à peu naturellement, je me détache un peu de ma Princesse et je recommence à vivre pour moi.
En effet, à cette époque, je retrouve une ancienne Amie. Nous passons beaucoup de temps ensemble. Notre relation est purement amicale, même si je ne peux m’empêcher de désirer ses jolis pieds. Nous partageons plein de choses, nous nous confions l’un à l’autre, j’ai un peu l’impression de revivre ce que j’avais vécu des années plus tôt avec ma Princesse. Maîtresse MAEVA ne m’en veut alors pas du tout d’être moins disponible pour le blog. Au contraire, Elle m’encourage à reprendre ma vie en main et à vivre de nouveau dans le réel. J’avoue que cela me fait beaucoup de bien. Imaginez après plus de deux ans d’errance, recommencer doucement à reprendre le cours d’une vie normale…
Pendant plusieurs mois, je reçois peu de nouvelles de Maîtresse MAEVA. Les articles se font rares sur le blog. Maîtresse MAEVA ne publie plus que mes textes, pour me faire plaisir.
Le mercredi 30 juin 2010 est de nouveau un grand tournant dans ma vie après le drame. En effet, ce jour-là, je découvre, encore par hasard, un blog dirigé par une superbe Domina. Il s’agit bien évidemment de celui de Maîtresse KA. Je tombe littéralement sous le charme de ses sublimes pieds. Je m’inscris évidemment à la newsletter et je deviens très vite accro aux superbes pieds de la Maîtresse.
Je continue d’écrire car j’en ai encore besoin et j’ai encore tellement de choses à raconter. Mon besoin de me soumettre en réel devient de plus en plus important. Je m’inscris alors sur un autre site spécialisé dans les rencontres BDSM, mais pour le moment sans résultat.
Puis, par hasard, encore, je découvre un simple site proposant des annonces de sexe. Il y en a de personnes vivant dans ma région et recherchant des moments coquins. Certaines Femmes recherchent même des soumis, mais elles sont rares.
Je me demande alors pourquoi je n’ai pas pensé plus tôt aux sites de petites annonces !
Cela pourrait me permettre de réaliser certains fantasmes… Je décide donc de passer une demande dans laquelle je dis rechercher des Femmes désirant que je vénère leurs jolis pieds. Je n’ai pas de chance : mon annonce est restée pour le moment sans réponse. Parallèlement à cela, je m’inscris également sur un autre site de rencontres, gratuit celui-ci. Je suis cette fois-ci plus sérieux dans ma recherche et je désire sincèrement rencontrer quelqu’un. Je fais connaissance avec une Femme à laquelle, comme d’habitude, je m’attache très vite. Je m’imagine déjà vivant en couple, mais une partie de moi n’est toujours pas prête à franchir ce cap et à rencontrer cette Femme qui me plaît. J’hésite, j’ai peur. Voilà bientôt trois ans que je suis « caché » derrière mon écran d’ordi, je tremble d’affronter la réalité. Finalement, cette personne préfère que nous restions seulement amis. Et voilà une nouvelle déception, comme d’habitude !!! [Hé, tu ne fais non plus rien pour que ça change ! « J’ai peur, j’ai peur », et « malheureusement », voilà ce que tu répètes à satiété ! Tu es vraiment « caché » !] Je me mets alors à utiliser ce même site pour essayer de parler de mon fétichisme à des Femmes. Je me dis que peut-être l’une d’elles ne sera pas effrayée et acceptera de partager cette passion avec moi. Pourquoi pas ? Mais pour le moment, la plupart ne comprennent pas…
Je continue néanmoins à chercher sérieusement. J’espère que je pourrai rapidement briser cette solitude et peut-être commencer une nouvelle vie…
Si seulement, je pouvais changer les choses d’un coup de baguette magique !... Je changerais le déroulement de ce jour d’hiver qui a transformé à tout jamais ma vie et celle de ma Princesse. Souvent, quand je constate la tristesse de mon existence actuelle, je me mets à rêver de ce qu’elle aurait pu être si seulement le malheur ne nous avait pas frappés. Comme je vous l’ai expliqué, ma Princesse et moi vivions ensemble, nous formions un couple. Même si nous avions parfois des disputes, un lien puissant nous unissait.
Comme vous le savez, ma Princesse avait un très fort caractère. Moi, lorsque nous avons emménagé ensemble, on peut dire que j’ai un peu « pété les plombs ». Je reviendrai plus largement sur cela dans un autre texte. Lorsque nous avons commencé à vivre ensemble, mes mauvais instincts de mâle sont réapparus. Ainsi, j’avais souvent tendance à me rebeller. Bien entendu, ma Princesse n’acceptait pas et ne comprenait pas cette attitude da ma part, moi qui lui avais toujours été si soumis… Aussi, cela donna-t-il lieu parfois à des disputes assez vives.
Je veux que vous sachiez que l’époque où ma Princesse et moi avons vécu ensemble ne se résume absolument pas à ces disputes, et heureusement ! Cette période nous réserva de fabuleux moments de bonheur et c’est l’une des plus belles de ma vie, mais ces disputes représentent pour moi des points noirs dans notre histoire. Je nourris énormément de regrets à leur sujet, car je sais bien que j’en étais responsable. Parfois, lorsque je n’ai pas le moral et que je m’imagine ce qu’aurait pu être notre avenir, je me dis que nous aurions peut-être fini par nous séparer. Mais au fond de moi, je sais que nous étions faits l’un pour l’autre. Je suis sûr que j’aurais fini par comprendre mes erreurs, que je serais devenu un bon esclave, bien soumis, bien obéissant. J’aurais alors supplié ma Princesse jusqu’à ce qu’elle me donne une seconde chance. Nous avions vécu tant de choses tous les deux ! Je suis sûr que ma Princesse ne m’aurait pas abandonné. En revanche, la connaissant, je peux vous dire que j’aurais pu ramper des heures à ses pieds avant qu’elle ne me reprenne. Je peux vous assurer qu’elle m’en aurait fait baver ! Je l’aurais alors demandée en mariage, et aujourd’hui nous aurions peut-être un enfant. Quand je pense au décalage qu’il y a entre ce qu’aurait pu être notre vie et ce qu’elle est aujourd’hui, j’en suis malade. J’ai mal, tellement mal ! Je ne peux absolument rien faire pour changer notre situation actuelle, et c’est tellement injuste.
Je rêve d’avoir une vie belle et équilibrée. Je rêve d’avoir une Femme qui me dominerait sévèrement. Je rêve de trouver un bon travail. Je rêve de vivre avec la Femme que j’aime. Je rêve que le soir en rentrant du travail, je puisse me mettre aux pieds de ma Femme, afin de les lui masser et de la détendre. Je rêve de construire une famille, nombreuse…
J’espère qu’un jour mon rêve (re)deviendra réalité.
Que puis-je faire aujourd’hui ?
Je me retrouve, avec une vingtaine d’années déjà bien dépassées, à être encore puceau !!!
J’avoue que j’en suis vraiment gêné. Par moment, je me demande comment j’ai pu en arriver là. Les années passent tellement vite…
Il y a eu les années qui ont précédé ma rencontre avec ma Princesse. Les années de mon adolescence où je sortais avec mes amis. Les années où nous étions tous célibataires… À ce moment-là, comme je vous l’ai déjà expliqué, j’avais déjà du mal à séduire… Je n’ai jamais été un beau gosse. J’ai toujours eu des difficultés pour attirer les Filles, ma timidité n’a bien entendu rien arrangé. Déjà à l’époque, j’étais un peu jaloux de mes amis qui découvraient tous les uns après les autres leurs « premières fois » et je me sentais frustré. Ces belles années de mon adolescence furent riches en amitiés et en sorties diverses, mais malheureusement elles restèrent toujours sans amour (ou presque).
Il y a eu ma rencontre avec ma Princesse. Comme vous le savez, je suis tombé littéralement fou amoureux de ma Domina. J’ai passé des années merveilleuses à ses pieds. Je ne regrette pas une seule seconde des moments que nous avons passés ensemble. Ces années ont passé tellement vite, trop vite... Lorsque j’ai rencontré ma Princesse, j’ai su immédiatement qu’elle était mon âme sœur. Je sais que cette expression peut paraître parfois bête ou insignifiante, mais lorsque je l’ai rencontrée, cette expression a pris tout son sens… J’ai su qu’elle était la Femme de ma vie, la Femme avec qui je voulais vivre au quotidien et tout partager… J’avais le projet de demander ma Princesse en mariage. Je m’étais imaginé à genoux devant elle pour lui faire une déclaration d’amour passionnée… J’avais imaginé des noces grandioses et très romantiques. Ma Domina aurait été si belle dans une robe de mariée ! Lorsque nous avions évoqué le sujet, ma Princesse n’avait pas semblé vraiment favorable à ce projet, par peur de s’engager, je suppose. Néanmoins, je suis quasiment sûr que j’aurais pu la faire changer d’avis…
J’ai toujours adoré les enfants. Même si j’ai mûri assez tard, l’idée de fonder une famille m’a toujours attiré. Je savais que ma Princesse serait la Mère de mes enfants, j’en avais l’intime conviction… Elle avait, elle aussi, et depuis longtemps, le désir d’être Maman. Ce désir était si présent dans notre couple que nous avions été jusqu’à choisir un prénom de fille et de garçon. J’ai caressé ce bonheur du bout des doigts pendant une année, avant que la vie ne vienne briser l’idéal que je m’étais forgé.
Ma Princesse m’a fait découvrir le fétichisme des pieds et la soumission. Elle m’a permis d’être un esclave épanoui mais pas un homme comblé… En effet, pendant toutes ces années, je suis toujours demeuré fidèle à ma Maîtresse... et je suis donc resté puceau ! Lorsque ma Domina m’a fait l’honneur de dire que nous formions enfin un vrai couple, je fus bien entendu fou de joie. Mais j’ai toujours éprouvé ce manque, cette absence de « sexe ». Même lorsque nous vivions ensemble, ma Princesse m’a toujours imposé une frustration totale. Je sais bien que mon bonheur et mon plaisir étaient de lui faire Plaisir à elle, mais ce manque était toujours présent. Je vous raconterai cela dans un prochain texte.
Puis, il y a eu les années après le drame. Ce terrible jour d’hiver où toute ma vie se brisa. Les jours, les semaines, les années passaient sans que ma vie n’évolue, hélas.
Au départ, l’espoir est très présent, on se dit que la vie va redevenir comme avant, que ce n’est pas possible autrement. Puis peu à peu, la situation devient plus lourde, plus difficile à gérer et à supporter. L’espoir diminue alors lentement. Au début, je ne pensais qu’à ma Princesse. Alors que l’on me conseillait de refaire ma vie, de rencontrer quelqu’un, je ne pouvais me résoudre à cette idée. Je restais fidèle à ma Domina. Je ne me serais plus senti capable de me regarder dans une glace si je l’avais trompée. Les semaines, les années ont continué de passer. C’est notre jeunesse, nos plus belles années qui s’écoulaient alors. Puis, après une si longue attente, cette idée de refaire sa vie, qui paraissait au départ si farfelue et malhonnête, devint plus logique, presque évidente…
Bien entendu, je suis toujours resté fidèle à ma Princesse. Voilà pourquoi, aujourd’hui, je me retrouve encore puceau. Je n’en suis pas fier, mais je n’en suis pas non plus complètement honteux. Je pense qu’une telle fidélité à une Femme est une magnifique preuve d’amour et de don de soi-même.
Depuis le drame, je compare souvent ma vie à celle de mes amis. Ce constat m’attriste, ils sont tous heureux en ménage et moi je me retrouve encore comme une espèce d’adolescent puceau. J’ai l’impression de devoir tout recommencer à zéro. Je suis sûr que mes amis auront bientôt des enfants car nous avons tous l’âge d’en avoir. J’avoue que j’appréhende cette épreuve. Bien entendu, je me réjouirai pour eux mais le décalage entre eux et moi sera alors encore plus criant et cela me fera mal au cœur. Mes amis vont réaliser mon rêve, devenir père, un rêve auquel je vais devoir peut-être renoncer. Imaginez alors que mes amis deviennent pères de famille, tandis que moi j’attends encore ma « première fois » ! Quel décalage hallucinant ! Certains vont rire et se moquer de moi mais je ne leur souhaite jamais de vivre ce que je vis au quotidien depuis maintenant tant d’années…
Que vais-je faire aujourd’hui ?
J’ai besoin de pouvoir de nouveau vivre pleinement mon fétichisme des pieds. Je prends énormément de plaisir à admirer toutes les photos ou vidéos en rapport avec les pieds de Femme. Mais aujourd’hui, je ne veux plus me contenter de fantasmer devant des images. Je veux réellement vivre mon besoin en réel, comme je l’ai vécu pendant plusieurs années aux pieds de ma Princesse. Je veux mettre fin à ces longues années où j’ai dû m’abstenir de mon fétichisme des pieds. Aujourd’hui, je veux que cela change mais comment ?! Il faut que je rencontre une Femme qui accepte mon désir et le comprenne, et qui me permette d’être à ses pieds. Ce n’est malheureusement pas une chose aisée. J’ai déjà pu le constater souvent à mes dépens : les Femmes sont souvent effrayées lorsque je leur parle de mon besoin. Faut-il que je cherche une Femme uniquement pour assouvir ce désir ? Oui, bien entendu, cette idée me plaît mais ne me convainc pas complètement. J’ai sincèrement envie et besoin de retrouver une relation complice et harmonieuse aux pieds d’une Femme. Je ne cherche pas une relation qui se résumerait à quelques heures que je passerais ainsi. Bien entendu, dans un premier temps, c’est certainement, une relation de ce type qui me permettra de soulager mes désirs et besoins, mais ne sera qu’une solution provisoire. Soit, je prendrai contact avec une Dominatrice professionnelle, soit j’arriverai à trouver une Femme « vanille » que je pourrai initier au plaisir d’avoir un homme à ses pieds.
Au plus profond de moi, je souhaite vraiment retrouver une Femme que je pourrais de nouveau aimer et chérir toute ma vie. Bien entendu ma Princesse restera toujours ma Princesse, rien ne pourra briser ce lien qui nous unit. Simplement, notre relation est aujourd’hui bien différente…
J’ai besoin de retrouver une vraie vie de couple qui serait bien entendu fondée sur une relation D/s car ce besoin de soumission est ancré en moi. Mais je ne veux pas que ma vie se limite à cela. J’ai sincèrement envie de fonder une famille. Mais je ne suis pas bête, je sais bien qu’avant de penser à avoir des enfants, il faudrait que je découvre le plaisir de faire l’amour à une Femme !
Même si j’ai un grand complexe vis-à-vis de mon sexe, j’ai vraiment le désir de découvrir le plaisir de l’amour. Alors comment faire ? Mon idéal serait de vivre ma « première fois » avec une Femme que j’aimerais et avec qui je pourrais construire une relation sérieuse. Mais combien d’années encore, vais-je devoir attendre ? En effet, rencontrer la bonne personne, ce n’est pas facile, cela peut prendre du temps. J’avais rencontré la bonne personne mais la vie me l’a reprise. Alors, peut-être que, comme je l’avais envisagé avant de rencontrer ma Princesse, j’irai voir une « Professionnelle » pour qu’elle me fasse découvrir les plaisirs de l’amour.
Aujourd’hui, je me reprends en main. Je recommence peu à peu à avoir des contacts avec tous mes amis que j’avais perdus. Récemment, j’ai renoué avec Nicolas à qui pourtant j’avais tourné le dos. Je revois même Clément. Je ne vais pas dire que la bande s’est reconstituée comme avant, car nous avons tous nos vies aujourd’hui mais une page se tourne et je me dis que c’est peut-être le début, le commencement d’une nouvelle vie…
Aujourd’hui plus que jamais, j’ai conscience que notre existence ne tient qu’à un fil et qu’en une fraction de seconde, nous pouvons perdre tout ce que l’on met tant d’années à construire. Ainsi, sachant que le temps passe si vite et que le bonheur est éphémère, je tiens désormais à profiter au maximum de la vie et de tous ses plaisirs car je sais qu’un jour, il sera trop tard !!!
Alors oui, aujourd’hui, je tiens à avoir le droit à un nouveau départ, je le veux. Mon rêve serait de pouvoir fonder une famille avec une Femme que j’aimerais de tout mon cœur, une Femme qui me dominerait sévèrement. Je veux vivre de nouveau heureux et en harmonie aux pieds d’une Femme.
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXIII
Ma Princesse et moi avions vraiment renoué une relation très complice et harmonieuse. Malheureusement, une après-midi du mois de juin est venue tout gâcher. Je vais vous la raconter…
Toute la bande s’était réunie chez moi pour regarder un DVD. Nous étions dans ma chambre, tous assis sur mon lit. Ma Princesse s’était installée au fond, juste à côté de Clément. Moi, je me trouvais à l’opposé. Pendant que nous visionnions le DVD, je ne pouvais m’empêcher de regarder ma Domina et d’admirer ses merveilleux pieds gainés de superbes bas qui me permettaient d’entrevoir par transparence la superbe beauté de ses orteils. Ses pieds magnifiques se balançaient lentement, en un mouvement ultra sensuel. Je n’ai quasiment pas suivi le DVD, tellement j’étais complètement hypnotisé par les splendides pieds de ma Domina. Ses ongles étaient vernis d’un rouge foncé que j’adorais et que, la veille, je lui avais appliqué avec amour. Cette après-midi-là, mon pote et ma Princesse semblaient être seuls au monde. Clément n’arrêtait pas de la faire rire, tout en frôlant çà et là ma Domina. Cela me rendait dingue mais je me maîtrisais. Soudainement, j’ai constaté avec horreur qu’un rapprochement s’opérait entre Clément et ma Maîtresse. Ils se tenaient par la main ! Là, c’était trop, je n’ai pas pu contenir toute ma colère et ma jalousie. Je me sentais furieux. Je me suis brusquement levé, avec l’intention de mettre violemment Clément hors de chez moi. Je pense que ma Princesse a compris ce que j’avais en tête, elle a dû le voir sur mon visage. Elle s’est alors levée et m’a dit : « Viens avec moi, nous allons aller chercher à boire. » J’ai obéi et nous sommes donc sortis ensemble de la chambre.
Ma Princesse m’a emmené dans une autre pièce et a fermé la porte. Elle m’a ordonné de me mettre à genoux devant elle. Je me suis exécuté et je me suis trouvé agenouillé aux pieds de ma Domina, tout proche de ses superbes bas que j’admirais et désirais depuis plus d’une heure déjà. Alors, le désir fut trop fort : j’ai courbé le dos et j’ai commencé à baiser le pied droit de ma Princesse. Je ne pouvais m’empêcher d’honorer ses pieds superbes. Mais elle a vite retiré sa jambe et m’a ordonné de relever la tête. À cause de mes cheveux courts, ma Domina ne pouvait plus me tirer par mes mèches comme auparavant. J’ai levé mon visage vers elle, qui me regardait d’une manière terriblement autoritaire. Elle me dit : « Tu as vu à quoi je t’ai réduit ? Tu n’es même plus capable de résister à l’envie d’honorer mes jolis pieds !… »
J’ai baissé la tête sans rien lui répondre. Ma Princesse a repris : « Je sais ce que tu avais l’intention de faire lorsque tu t’es levé. Je te préviens, si tu fais quoi que ce soit contre Clément, tu ne goûteras plus jamais à mes pieds ! Tu sais que je ne plaisante pas. Tu as déjà passé un week-end totalement sevré de mes jolis pieds, et tu as vu dans quel état je t’ai récupéré ! Je t’ai déjà pardonné beaucoup trop de choses, mais là, si tu interviens dans ma relation avec Clément, je brise définitivement notre relation si particulière. Je ne reviendrai pas en arrière. Tu auras beau te prosterner, me supplier, m’implorer nuit et jour, pendant tout le reste de ta vie, je ne reviendrai pas sur ma décision. Je ferai en sorte que tu me voies en train de me faire honorer les pieds par d’autres hommes, mais je t’assure que toi, tu n’y toucheras plus jamais, que ce soit avec tes mains, avec tes lèvres ou avec ta langue. Sache que tu n’es pas unique. C’est vrai que par ta dévotion, ta soumission envers moi et surtout ton fétichisme de mes pieds, tu m’as fait découvrir un univers que je ne connaissais absolument pas et que j’adore. Mais aujourd’hui, je sais que si je vais sur le net, je n’ai qu’à claquer des doigts pour trouver des tas de gars qui seraient prêts à payer pour me lécher les pieds ! Alors, sache bien que tu es loin d’être unique, ne te crois surtout pas à l’abri. Il y a des tas de types qui se disent soumis mais beaucoup ne font que fantasmer. Si tu veux me prouver que tu es différent des autres et que tu es capable d’une soumission sincère, absolue, tu dois être capable de maîtriser ta colère, ta tristesse et ta jalousie, même si tu me vois dans les bras de Clément. Ton amour, ton désir pour mes jolis pieds doivent être pour toi la plus belle des récompenses. »
J’ai alors coupé ma Domina pour lui demander comment elle avait fait pour faire des recherches sur le net. Car je savais bien qu’elle n’avait pas Internet chez elle. De plus, chez moi nous n’avions pas fait de recherches sur le fétichisme. Elle m’a répondu, très en colère : « Ce n’est là qu’un détail mais pour ta gouverne sache que j’ai été sur Internet chez une copine et que nous avons halluciné quand nous avons découvert le nombre de types prêts à nous lécher les pieds ! » D’une toute petite voix, j’ai alors dit à ma Princesse : « Mais, tu lui as parlé de moi ? » Ma Maîtresse m’a répondu : « Ça te fait flipper que l’on découvre ta vraie nature !... Tu seras bien obligé un jour ou l’autre de la révéler au grand jour. Tu ne connais pas ma copine mais elle, elle connaît ta nature profonde… » J’ai pâli, mais ma Domina a continué : « Il y a quelques minutes, tu viens de baiser mes jolis pieds pendant quelques secondes. Maintenant, c’est à toi de décider si c’était la dernière fois où non. J’espère pour toi que tu prendras la bonne décision. Je veux que tu sois super gentil avec Clément. À la limite, je veux que tu te soumettes à lui ! Veille à ce que nous manquions de rien. Maintenant, je vais retourner dans la chambre. Toi, tu vas en cuisine et tu nous rapportes à boire. Tu me serviras en premier, puis Clément, et ensuite tu te comporteras comme un bon petit toutou et tout ira bien. Tu m’as bien comprise ? »
J’ai répondu : « Oui ma Princesse ! » J’ai alors baissé la tête pour baiser de nouveau les magnifiques pieds de ma Domina. Mais, une nouvelle fois, elle me les a retirés, en me disant : « On verra ça plus tard ! On verra si tu es un bon lèche-bottes, pour moi et Clément. Pour l’instant, va en cuisine, on a tous soif !»
Je suis remonté avec un plateau pour apporter les verres et le Coca à toute la bande. Lorsque je suis rentré dans ma chambre, j’avais vraiment l’impression d’être un domestique. J’en étais à la fois excité et perturbé. Ma Princesse était complètement renversée dans les bras de Clément. J’en étais malade mais je n’avais pas le choix. Nous avons continué notre après-midi DVD. Ma Princesse et Clément se tenaient de plus en plus proches. Lui n’arrêtait pas de la faire rire, et j’ai même cru qu’ils allaient s’embrasser. Intérieurement, je bouillais, et je devais faire preuve d’un grand self control. Je n’arrêtais pas d’admirer les sublimes pieds de ma Domina, et c’est cela qui me permettait de tenir. Je ne voulais pas perdre le droit et l’honneur d’honorer ses magnifiques pieds. Ce fut l’une des plus longues et des pires après-midi de ma vie. Malheureusement, ce n’était qu’un début.
Comme vous le savez, ma Princesse et moi aimions discuter de tout pendant de longues heures. Ma Domina a souvent évoqué les sentiments qu’elle éprouvait pour Clément. Je me rendais compte qu’elle devenait de plus en plus amoureuse, j’en étais malade mais je ne disais rien. Je l’écoutais, je la conseillais même. Vous imaginez mon état de soumission et de frustration ! Ma Maîtresse me demandait que je lui parle de Clément, elle voulait tout savoir sur lui afin de le séduire. J’avais vraiment beaucoup de mal à supporter cette situation. Le paradoxe est que, comme vous le savez, ma Princesse faisait preuve avec moi d’une sévérité exemplaire, alors que parallèlement ses forts sentiments pour Clément la poussaient à se soumettre, au moins à se rabaisser un peu devant lui. Cela m’était insupportable, j’avais l’impression que ma Princesse recommençait les erreurs du passé lorsqu’elle tombait amoureuse de certains garçons.
En effet, lorsqu’elle était vraiment amoureuse de l’un d’eux, elle perdait plus ou moins le contrôle au profit du garçon. Bien entendu avec moi, le problème ne se posait absolument pas puisque ma Princesse n’éprouvait aucun sentiment pour moi, à part de l’amitié.
Pour Clément, elle se doutait que, comme moi, il était encore puceau. Elle s’était mis en tête d’être la première fille qu’il « posséderait », afin de le rendre accro à elle-même. J’ai essayé plus d’une fois de lui faire comprendre que ce n’était pas du tout une bonne stratégie. Je lui ai assuré que se donner à un garçon était la plus belle chose qu’elle pouvait lui offrir. Ainsi, je lui ai dit qu’elle devait réfléchir, qu’elle devait être sûre de ses sentiments. Je lui ai dit qu’elle devait faire attendre le garçon et que, s’il était vraiment amoureux, il saurait patienter. Je lui ai dit que si elle s’offrait trop vite, cela aurait l’effet inverse. Ma Princesse avait du mal à me croire, elle était aveuglée par sa passion. De plus, elle pensait que je disais tout cela par jalousie. Et oui, c’est vrai, j’étais fou de jalousie mais mes propos étaient sincères : je pense qu’un garçon doit savoir attendre que la fille qu’il désire veuille réellement de lui, et en espérant ce moment faire preuve d’abstinence. Depuis que ma Princesse m’avait imposé une continence totale, en dehors de mes masturbations à ses pieds, jamais je ne m’étais senti aussi bien. En période de privation sexuelle, l’envie sexuelle augmente, les sensations sont décuplées, et c’est merveilleux. Au départ, c’est difficile, il faut apprendre à gérer le désir mais après cela devient délicieux. J’ai commencé à adorer les périodes de continence. Grâce à elles, le désir devient permanent et toujours plus intense, c’est un état d’euphorie quasi permanent, c’est extraordinaire à vivre.
J’essayais vraiment de raisonner ma Princesse sur cette question, mais ce fut difficile. Alors que je pensais lui avoir ouvert les yeux sur le fait de ne surtout pas se donner tout de suite à un garçon, je fus assommé lorsque ma Maîtresse m’informa de ses nouvelles intentions… En effet, ma Princesse me dit ceci : « OK ! Il ne faut pas qu’une fille se donne trop vite à un mec, mais je pense que si je fais une petite gâterie à Clément, il ne pourra plus me résister. » Vous imaginez mon horreur lorsque j’ai entendu ces propos. J’ai toujours trouvé cette pratique tellement dégradante pour la femme ! Cette idée m’était insupportable. J’essayais vraiment de raisonner ma Domina. Je ne comprenais pas comment elle pouvait avoir une telle idée, alors qu’elle était si dure au quotidien avec moi. Elle était complètement influencée et perturbée par ses sentiments. J’essayais vraiment de lui parler mais sans grand succès. Je savais qu’à un moment ou à un autre, ma Princesse commettrait ce que je jugeais irréparable. J’ai tenté d’expliquer à ma Domina que je trouvais vraiment cette pratique dégradante pour la femme. Elle m’a alors expliqué que si la femme est vraiment amoureuse, elle peut ressentir du plaisir, même dans cette pratique. Elle m’a alors reparlé de l’un de ses « ex » dont elle avait été follement amoureuse...
Je me rendais bien compte que ma Princesse devenait de plus en plus amoureuse de Clément. Comme je vous l’ai dit, ce garçon était très comique. Il s’amusait toujours à nous faire rigoler en disant qu’il aimerait recevoir une petite gâterie. J’avais parfaitement conscience que ce qu’il disait sous forme d’humour révélait une véritable envie, un fantasme profond. Je suis certain que ma Princesse elle aussi l’avait parfaitement compris. Mais je la sentais prête à réaliser le fantasme de Clément afin de se le garder. J’avais peur pour elle, j’avais peur que par la suite, elle le regrette et soit de nouveau blessée. Ma Domina avait déjà souffert de tellement de blessures amoureuses qui n’étaient pas complètement cicatrisées. Elle n’avait absolument pas besoin d’une nouvelle déception !…
Cette fameuse après-midi DVD se poursuivit dans ma chambre. J’étais aux petits soins pour ma Princesse… et même pour Clément. Je leur servais à boire, je leur donnais des coussins pour qu’ils soient plus à leur aise. Ils ne se préoccupaient absolument pas de moi, ils étaient de plus en plus proches l’un de l’autre. Je croyais même m’apercevoir que les copains de la bande étaient gênés de l’attitude de Clément et de ma Princesse envers moi. Finalement, l’après-midi se termina. Nous avons tous décidé d’aller manger au restaurant et nous sommes descendus afin de nous rechausser pour partir. Ma Princesse se tenait debout sur l’avant-dernière marche. Devant tous mes amis, elle s’adressa à moi par ces mots : « Va vite me chercher mes bottines et viens me les mettre aux pieds !! » À ce moment-là, tout le monde s’arrêta de parler, l’ambiance joyeuse laissa place à un grand silence glacial. Tout le monde se regardait, nous étions tous comme figés après avoir entendu ces propos. Même Clément semblait avoir perdu son sens de l’humour. Voyant que je ne réagissais pas, ma Domina me dit : « Tu te dépêches ! Je commence a avoir froid aux pieds. » C’est alors seulement que j’ai réagi et que je suis parti chercher les bottines de ma Domina. Les autres sont sortis, me laissant seul aux pieds de ma Princesse. Je l’ai rechaussée. Une fois que je l’eus fait, elle descendit l’escalier et me dit à l’oreille : « Tu les désires ? Alors, tu as intérêt à te tenir à carreau ce soir !! » Puis nous sommes sortis. D’habitude, lorsque nous faisions une sortie, ma Princesse montait toujours dans ma voiture. Mais ce jour-là, elle décida de monter avec Clément. Je n’ai rien pu dire mais cela me fit beaucoup de mal. Pendant toute la route, alors que je suivais Clément et ma Maîtresse, j’étais malade à l’idée qu’ils ne soient que tous les deux dans cette voiture. Je me demandais ce qu’ils pouvaient se dire. J’en étais malade, j’avais les larmes aux yeux. Mes amis s’en étaient rendu compte, l’ambiance dans l’auto était morose. Finalement, nous sommes arrivés au restaurant. Bien entendu, ma Maîtresse s’est installée à côté de Clément. Moi, j’étais juste en face d’elle. Nous avons commandé. Puis par un violent coup de pied dans le tibia, elle m’a fait comprendre que je devais la suivre aux toilettes. Là, ma Domina m’a demandé de lui donner de l’argent. Je lui ai dit que, comme d’habitude, je paierais pour elle. Mais ma Princesse ne voulait surtout pas que Clément se rende compte que je payais à sa place. Je lui ai donc donné des billets puis je lui ai demandé si elle m’autorisait à lui baiser la main. Elle m’autorisa à le lui faire rapidement en disant : « Si ça peut te faire plaisir !… »
Le baise-main était un rituel, une habitude à laquelle j’avais initié ma Princesse afin de lui rendre hommage et afin de lui prouver ma soumission. Les jolies mains de ma Domina étaient à son image : magnifiques. Elle étaient fines, avec de longs doigts et des ongles superbes. Si vous saviez le nombre de fois où j’ai complimenté ma Maîtresse sur la beauté de ses mains ! C’était l’une des rares parties de son corps par rapport à laquelle ma Princesse n’avait aucun complexe. Elle avait conscience que ses mains étaient vraiment jolies, et moi, j’adorais les lui baiser quand je ne pouvais pas poser mes lèvres sur ses jolis pieds.
La soirée au restaurant se passa à l’image de l’après-midi. Clément et ma Princesse paraissaient toujours de plus en plus complices. Quand nous sommes repartis, ma Domina est bien évidemment montée dans la voiture de Clément. Il l’a raccompagnée chez elle, tandis que je les suivais. Quand ils se sont arrêtés devant la maison de ma Princesse, je me suis garé juste derrière eux. Au moment de sortir de la voiture, ma Princesse s’est penchée sur Clément et ils se sont embrassés. Devant ce spectacle, mes larmes se sont mises à couler, naturellement, sur mon visage. Mes amis essayaient de me réconforter. Je savais bien que cela finirait par arriver mais cette vision me faisait tellement mal… Ma Princesse nous adressa un signe puis elle rentra chez elle.
J’étais à peine rentré chez moi complètement démoralisé que je sentis mon portable vibrer. Ma Maîtresse me téléphonait pour me dire : « Mes parents ne sont pas là, ils vont rentrer tard dans la nuit. Ramène-toi chez moi tout de suite, j’ai envie de t’avoir à mes pieds !!! » J’adorais vraiment quand ma Domina me parlait comme cela. Ce genre de mots me rendaient dingue, ils ont toujours eu un impact incroyable sur moi, et ma Princesse le savait bien. J’ai sauté dans ma voiture et en cinq minutes, je suis arrivé chez ma Domina. Elle me fit entrer. Déjà en pyjama, elle s’était démaquillée. Même ainsi, en négligé, sans maquillage, ma Princesse était toujours magnifique. J’admirais sa grande beauté, je l’aimais tellement ! Dès que je fus entré, elle se rassit dans son canapé et me dit : « Va chercher l’huile de massage dans ma chambre !! » Je me suis exécuté. De son index autoritaire et impérieux, ma Princesse m’indiqua son pied droit et m’ordonna : « Masse-moi les pieds. Ils se sont échauffés à cause de mes bottines. Je te veux à mes pieds, mais je ne veux pas t’entendre. Je suis occupée. Et tu as intérêt à être doux et efficace !!!! »
Avant de m’agenouiller devant ma Princesse, j’ai vu qu’elle était occupée à écrire un SMS sur son portable, mais je n’en connaissais ni le destinataire ni le contenu. Immédiatement, je me suis jeté aux merveilleux pieds de ma Domina que j’avais tant désirés pendant toute l’après-midi DVD. J’ai retiré ses pantoufles puis ses superbes bas. Je pouvais enfin poser mes mains sur la peau si douce de ses splendides pieds. J’avais envie de les lui baiser mais je n’en avais pas reçu l’autorisation. Je commençai le massage avec beaucoup de plaisir et d’amour. Mes mains parcoururent les magnifiques pieds de ma Domina, je les lui massais avec une réelle dévotion. Nous respirions la merveilleuse odeur des huiles essentielles. Depuis plus de quarante-cinq minutes, à genoux devant ma Princesse, je lui massais ses splendides et si désirables pieds. Depuis mon arrivée, après m’avoir fait connaître sa volonté, ma Maîtresse ne m’avait plus un seul instant adressé la parole. J’entendais son portable qui bipait, elle n’arrêtait pas d’écrire et de recevoir des textos. Après tout ce temps, ma curiosité a pris le dessus, je n’ai pas pu m’empêcher de relever la tête pour regarder ce que ma Princesse était en train de faire. Osant faire cela, j’ai commis une grave erreur. J’avais à peine relevé la tête, j’avais juste eu le temps d’apercevoir ma Princesse avec son portable en main, lorsque je reçus un violent coup de pied dans le visage, en plein sur le nez. Cela me fit très mal, et j’ai même poussé un petit cri. J’ai vraiment cru que j’allais me mettre à saigner du nez. Puis avec ses deux pieds, ma Maîtresse appuya sur ma nuque afin de me forcer à me prosterner devant elle et à bloquer la tête par terre. J’avais une joue plaquée sur le carrelage froid. Ma Domina me dit : « Tu te permets une nouvelle fois de me désobéir ! Tu te prends pour qui ? Je t’avais dit que je ne voulais pas t’entendre. Je ne t’avais pas non plus autorisé à relever ta tête. Tu as de la chance que tu sois vraiment doué pour les massages de mes pieds et que tu apportes un réel bien-être à mes petits petons, sinon tu dégagerais vite fait chez toi !!! »
J’ai alors pris la parole pour présenter mes excuses à ma Domina qui me coupa immédiatement en me disant : « Tu as compris ? Je ne veux pas t’entendre ! T’es sourd ou t’es con ?? Mais je vais satisfaire ta curiosité. Depuis tout à l’heure, Clément et moi n’arrêtons pas de nous échanger des textos. D’ailleurs, demain à midi, nous allons manger ensemble et officialiser notre relation. Tu voulais savoir et bien maintenant tu sais !!! » Je suis resté sans réaction, complètement abattu à l’idée que ma Princesse et Clément allaient sortir ensemble sans que je puisse rien faire. Ma Domina me dit : « Remets-moi mes pantoufles, je vais aller au lit. » Bien sûr, je lui ai tout de suite obéi. Ma Princesse se leva alors du canapé et me siffla comme on fait pour un chien, afin de m’indiquer que je devais la suivre. Elle alla dans sa chambre et s’allongea dans son lit. Il n’y avait que ses magnifiques pieds qui dépassaient de la couette. Elle me dit : « Mets-toi à genoux à mes pieds, masse-les-moi jusqu’à ce que je m’endorme, puis va-t’en en claquant la porte. Demain matin, je t’attendrai à 9 heures pile, tu m’aideras à me faire la plus belle possible pour Clément. Réponds juste par oui si tu as compris ! » J’ai alors dit : « Oui, ma Princesse, je suis à toi et je ferai tout ce que tu voudras. » Puis j’ai repris le massage de ses beaux pieds. En moins de quinze minutes, ma Princesse s’était endormie. Je me suis alors relevé, j’ai tiré la couette sur ses jolis pieds pour qu’ils n’attrapent pas froid. Je suis rentré chez moi, complètement malade à l’idée de savoir que le lendemain Clément et ma Princesse allaient manger ensemble.
Depuis notre rencontre, depuis plusieurs mois maintenant, ma Domina et moi même étions constamment ensemble. Nous faisions tout à deux, nous mangions quasiment toujours ensemble. J’avais l’impression que j’allais perdre ma Domina et que Clément allait prendre ma place. Je ne supportais pas cette idée, j’en étais malade. D’ailleurs, je ne suis pas rentré chez moi tout de suite, je suis resté en voiture un moment afin de réfléchir. Je n’étais même pas sûr que Clément était réellement amoureux de ma Princesse. Je savais que je ne devais pas m’en mêler mais il fallait que j’aie une discussion avec Clément. Donc en pleine nuit, je lui ai envoyé un texto pour demander à le voir le lendemain matin. Bien entendu, je n’ai pas eu de réponse avant ce lendemain matin. D’ailleurs, il a dû me prendre pour un fou de lui envoyer un message si tard. Je pense qu’il devait être un peu inquiet à l’idée de me rencontrer. Mais il accepta quand même et promit de passer dans la matinée.
Finalement, je suis parti me coucher, mais j’ai très mal dormi. Je savais qu’une journée très pénible m’attendait…
Mais elle dépassa tout ce que j’avais pu imaginer…
paillasson ch'ti, esclave total, sincère et dévoué de Maîtresse MAEVA
... pour feet le chien, du vendredi 12 au dimanche 14 mars, cela se déroulera à Lyon, et pour une bonne partie, dans le huis clos d'une suite, dans un
palace lyonnais... au programme: Evaluation annuelle de la valeur d'usage et d'échange de l'esclave, il y aura un grand nombre de mises à l'épreuve sous formes de supplices, de sévices, et
d'humiliations ..... Maîtresse A interviendra le samedi soir, si j'avais eu le temps, j'aurais demandé la participation de Domina Croix Rousse et de Maîtresse Saint Ange, cela aurait, donné du
piment! Si j'en suis mécontente, je le jette à la fin du week end! Gageons qu'il va ramper, mais je veux qu'il rampe un peu plus que d'habitude, et s'il m'a souvent désiré plus hautaine et
impérieuse, il ne va pas être déçu, je suis tout à fait dans cet état d'esprit! Qu'il rampe à Ma botte, et en public!
Pour la qualité des images, vous vous plaindrez à Erog, de plus, il m'est impossible d'éditer de nouvelles photos, encore un bug.... alors, les photos que je publie sont d'anciennes photos déja
éditées, mais la qualité en est altérée, et ces problèmes se surajoutent à mon manque de motivation pour ce blog qui ne m'intéresse plus, et que je maintiens un minimum pour ne pas décevoir la
dizaine de vrais fidèles que je connais depuis le début pour certains. La nouvelle orientation de ce blog est la publication de textes que vous m'enverrez, à condition qu'ils me plaisent....
"fétichisme et soumission" est mon texte préféré, alors, bonne lecture!
FÉTICHISME ET SOUMISSION (XXI)
Après cette après-midi de mercredi que nous avions passée chez Madame Marie, ma Princesse et moi étions encore plus liés et complices qu’auparavant. La révélation de mon secret et de toute ma vie
d’adolescent nous avait encore rapprochés. Nous étions vraiment bien, nous avions repris notre petite vie habituelle. Je passais des heures à prendre soin des pieds de ma Domina. J’étais
heureux.
Le week-end suivant, une situation est venue compliquer cette belle harmonie. Le jeudi soir, j’avais été invité à manger chez les parents de ma Princesse qui recevaient des amis. Comme ma Domina et moi étions toujours ensemble, ils m’avaient très gentiment proposé de venir. La soirée se passa très bien. Vers minuit et demie ma Princesse qui commençait à être fatiguée me demanda de partir pour qu’elle puisse aller se coucher. Mais voilà que ses parents ainsi que leurs amis ont insisté pour que je reste. Ma première erreur fut de leur céder.
Ma Domina est finalement partie se coucher mais je voyais très bien qu’elle était furieuse que je ne lui aie pas obéie. Quand elle se fût absentée, tout le monde me dit que je ne devais surtout pas continuer à me laisser commander. Tous avaient parfaitement remarqué que j’étais fou amoureux de ma Domina et que je lui étais soumis. Ils ont affirmé que je devais réagir, arrêter de céder à tous ses caprices. Ils m’ont dit qu’ils étaient persuadés qu’elle m’aimait aussi. Ils avaient des mots très gentils à mon égard, ils me disaient que nous ferions un très joli couple et que, si je devenais distant, c’est elle qui viendrait vers moi. Pendant près de deux heures, ils n’ont fait que me parler de cela. J’écoutais attentivement, mais je me sentais un peu perdu. Finalement, la soirée se termina et je pus rentrer chez moi.
J’avoue que j’étais un peu inquiet car, sachant que j’avais désobéi à ma Domina, j’appréhendais sa réaction. De plus, ma deuxième erreur fut d’écouter et de croire ce que les gens m’avaient dit. En pensant qu’en agissant comme un mec macho, j’aurais une chance avec ma Princesse, je commettais une grave erreur. Mais je la connaissais encore mal à l’époque…
Le lendemain midi, elle devait venir manger chez moi. Cela arrivait régulièrement quand elle n’avait pas beaucoup de temps pour se restaurer entre les cours. Il s’agissait toujours d’une situation toujours plus ou moins stressante. En effet, la relation que j’entretenais avec ma Princesse était très mal vécue par ma famille. Ainsi, lorsque nous partagions un repas, les rapports étaient toujours plus ou moins tendus entre ma mère et ma Domina. Moi, j’étais au milieu et j’essayais de limiter les dégâts, ce qui n’était pas toujours simple. Ce jour-là, dès que je suis sortie de cours, j'ai couru au lycée chercher ma Maîtresse qui terminait un peu plus tard que moi.
Au matin, lorsque j'étais allé la chercher pour la conduire à son établissement, elle ne m’avait pas dit un mot. Ce midi-là, elle adopta la même attitude. Juste avant que nous rentrions chez moi pour déjeuner, elle me glissa à l’oreille une phrase qui me glaça le sang : « Hier soir avec mes parents, tu as fait ton malin, tu m’as désobéi, tu as refusé de partir. Tu pensais peut-être que je dormais mais j’ai tout écouté. J’ai été écœurée en entendant votre conservation. Si tu penses avoir une chance avec moi en agissant comme un vulgaire macho, tu es vraiment trop con. Tu as été trop loin, j’ai donc pris une décision. Ce soir, je viendrai récupérer toutes mes affaires chez toi et tout sera terminé. »
Je n’ai pas eu le temps de réagir car ma mère est venue nous ouvrir la porte. Pendant le repas, ma Princesse mangeait en me regardant d’un air ironique. J’étais complètement abattu par ce que je venais d’apprendre. Moi qui en temps normal ai un très gros appétit, je n’arrivais à rien avaler ; j’avais une boule dans le ventre, la gorge serrée. Ma mère s’en aperçut et me demanda ce qui se passait. Elle s’était rendu compte qu’il y avait un problème entre nous, que nos relations étaient beaucoup plus tendues que d’habitude. Ma Princesse lui répondit : « Vous n’avez qu’à demander à votre fils. Hier soir, il a fait quelque chose qui m’a déplu. » J’ai dit à ma mère que je n’avais pas envie d’en parler.
Quand il fut l’heure de ramener ma Princesse au lycée, je l’y ai raccompagnée. J’essayai de lui parler de la décision qu’elle venait de prendre. Elle me dit qu’elle n’avait pas le temps de discuter, qu’elle serait en retard en cours et que de toute manière sa décision était prise. Elle me dit : « Tu vas apprendre que tout tes actes ont des conséquences. Quand je pense que tu m'as fait tellement plaisir cette semaine et que tu as tout gâché en te comportant comme hier soir. Le problème avec toi, c’est que tu fais des choses bien, qui me plaisent beaucoup mais que tu finis toujours par tout gâcher d’une manière ou d’une autre. » Elle s'est alors penchée à mon oreille et m’a dit : « En plus d’être un fétichiste des pieds, je ne serais pas étonnée que tu sois maso car tu aimes souffrir. En tout cas, tu as un esprit destructeur. Tu as fait tant d’efforts pour obtenir le droit de t'occuper de mes jolis pieds, d’être mon serviteur et voilà que tu gâches tout ! C’est vraiment dommage, mais tant pis pour toi. Cette après-midi, comme tu n’as pas cours, je veux que tu regroupes l’ensemble de mes affaires. Je les reprendrai ce soir puis nous nous dirons adieu. »
J’en étais malade, j’étais complètement brisé. Je me refusais à perdre ma Domina, ce n’était pas possible. Je n’ai pas préparé ses affaires, je ne voulais pas la laisser me quitter, j’étais complètement dépendant d’elle. Ma mère cherchait à savoir ce qui se passait, elle recommençait à me faire la morale en me disant que cette fille était méchante, qu’elle me faisait souffrir. Elle a même dit : « Si votre relation continue comme cela, je refuserai de la laisser entrer chez nous ».
Tout était en train de se compliquer pour moi, je ne savais plus quoi faire, j’en avais marre. Il était 16 heures 30, il était l’heure d’aller au lycée chercher
ma Domina. Ses premières paroles furent pour me demander où étaient ses affaires. J'ai dû alors lui avouer que je ne les avais pas préparées, que je ne voulais pas la perdre. J’ai garé la
voiture sur un parking pour discuter. Ma Princesse m’a dit qu’elle avait vraiment souffert en entendant notre conservation de la veille au soir. Elle se plaignait :"Je pensais que tu étais
différent des autres garçons, que tu n’étais pas un gros macho qui me ferait souffrir comme tous les autres. Et pourtant, tu as accepté tout ce qu'on t'a dit hier. J’en ai pleuré car tu
m’as vraiment peinée et déçue ». Tandis que ma Princesse m’expliquait tout cela, je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jolis pieds, de les désirer, de vouloir leur rendre
humblement hommage.
Nous étions à la fin du mois de mai et à quelques jours des premières épreuves des examens. Il faisait beau, ma Domina avait donc mis des sandales « pieds nus » qui me permettaient
d’admirer ses jolis ongles vernis. Ma Princesse ne tarda à remarquer que je fixais le mouvement si sensuel de ses magnifiques pieds. Elle me dit : « C’est même pas la peine d’y
penser ! Tu m’as tellement déçue ! J’ai même pas envie que tu me touches les pieds !… J'ai alors éclaté une nouvelle fois en sanglots. Je lui ai dit que je regrettais
sincèrement mon attitude, que j’implorais son pardon. Bien entendu, j’étais sincère mais ma Domina resta néanmoins complètement inflexible. Elle me dit : « C’est beaucoup trop
facile ! À chaque fois, tu pleures, tu implores mon pardon. Moi, je suis toujours trop gentille, je te pardonne, je te laisse revenir à mes pieds. T’es un bon petit toutou et tu me
sers bien pendant quelques jours, puis tu recommences tes conneries. J’en ai marre. Tu as été trop loin hier soir car outre le fait que tu m'aies désobéi, ce qui n’est déjà pas très
glorieux pour quelqu’un qui m’a juré une obéissance absolue, tu m’as fait souffrir par ton comportement. Je ne peux pas passer là-dessus comme cela. Pourtant, je vais être encore trop
gentille avec toi. Je vais te laisser un sursis. Je ne vais pas reprendre mes affaires ce soir. Mais maintenant, tu vas me ramener chez moi. » J’osai lui demander : « Alors, on ne
passe pas la soirée ensemble ? » Elle me rétorqua : « J’ai vraiment pas envie de te voir plus longtemps… Mais je vais réfléchir. Je t’appellerai ce week-end. Peut-être
que ma colère et ma déception auront diminué. On verra bien. En revanche, si je te dis que je veux reprendre mes affaires, cette fois-ci tu me les rapporteras car ma décision sera
définitive. J’espère que tu ne m’obligeras pas à aller voir tes parents et à leur dire ton secret !… ».
Très surpris, j’ai demandé à ma Princesse : « Tu serais capable de faire cela ? » Ma Domina me répondit : « Non, je ne suis pas méchante… Mais si tu refuses de me rendre mes affaires, là je n’hésiterai pas une seule seconde. » Je lui ai alors redit que je ne pouvais pas vivre sans elle. Ma Maîtresse me glaça de nouveau le sang en me lançant « Il fallait y penser avant de faire le malin hier soir… Tu as voulu jouer au grand, au macho, à l’homme viril. J’espère que tu t'es fait plaisir… »
Elle s’est alors approchée de moi, pour me parler à l’oreille : « Au fond de toi, tu sais que tu vas toujours finir par revenir en rampant à mes
pieds, comme un chien qui revient toujours aux pieds de sa Maîtresse… »
Depuis notre rencontre, nous n'étions jamais restés séparés plus de vingt-quatre heures. Ma Domina a poursuivi : « Finalement, je t’appellerai dimanche soir pour te faire
connaître ma décision. Je vais profiter de ce week-end pour réviser. Tu verras, le manque va devenir insupportable pour toi. Tu vas être pendant quarante-huit heures sevré de mes jolis
pieds, tu ne pourras ni les admirer, ni les toucher, ni les baiser, tu ne pourras que fantasmer… En te rendant compte de ce que tu perds, tu changeras peut-être de comportement. C’est
vraiment dommage : tu es quelqu’un de bien, mais il faut toujours en arriver à des mesures radicales pour te faire comprendre les choses, pour te faire changer. »
Je continuai de supplier ma Princesse. Elle me dit : « Ce n’est pas la peine d’insister, cela ne marchera pas, cette fois-ci. Je t’appelle dimanche soir pour te dire ma décision. En attendant, réfléchis bien à ton comportement et essaie de te corriger. Maintenant, ramène-moi tout de suite chez moi. »
Je me suis donc exécuté et ma Princesse est rentrée chez elle. Elle ne s’est même pas retournée vers moi… Pour la première fois depuis notre rencontre, j’allais passer tout un week-end sans elle. J’étais brisé, complètement cassé. J’ai roulé jusqu’à un coin tranquille en campagne où je me suis arrêté pour pleurer, tout seul, comme un gamin. J’étais tellement malheureux, je ne supportais pas l’idée de la perdre. Dans ces moments de désespoir, j’avais des idées noires, alors que dans la vie de tous les jours, je suis quelqu’un qui respire la joie de vivre. J’étais démoralisé. L’idée de perdre ma Princesse m’était insoutenable.
Heureusement, je n’ai jamais laissé ces idées sombres prendre le dessus en commettant l’irréparable !!! Et même, je m'en veux rien que d'y avoir pensé. La vie est un cadeau, un trésor. Je n’avais pas le droit d’imaginer des choses pareilles. Dans ces moments de très grande détresse, je pensais à ma famille, à notre très profonde complicité. Je savais que s’il m’arrivait quelque chose, ils ne le supporteraient pas. C’est cette idée qui en partie m’a permis de ne pas basculer dans le côté sombre. Mais j’étais vraiment très mal à l’idée de perdre ma Princesse.
J’ai passé mon week-end à végéter chez moi, je regardais mon portable toutes les cinq minutes en attendant un coup de téléphone ou un sms de ma Domina.
J’essayais bien de me concentrer sur mes révisions mais je n’y arrivais pas. Depuis ma rencontre avec ma Princesse, tous les week-ends nous sortions, tous les samedis nous faisions les magasins
et le dimanche, nous allions nous promener. J’avais pris ce rythme, cette habitude. Alors, lorsque soudainement, ce week-end là tout s’est arrêté, j’ai eu beaucoup de mal à le supporter.
Avant de connaître ma Princesse, je sortais avec mes amis chaque fin de semaine mais chacun d’entre eux faisait désormais sa vie et je me retrouvais seul. En plus, je n’arrêtais pas de
penser à aux magnifiques pieds de ma Princesse, je ne pouvais pas les chasser de ma tête. J’avais besoin de les toucher, de pouvoir les contempler, je n’arrêtais pas de penser à eux. L’image des
sublimes pieds de ma Domina me hantait encore et encore.
Finalement, le dimanche soir, mon portable sonna. J’avais attendu ce coup de fil durant tout le week-end et pourtant je n’osais même pas répondre. J’avais peur de la décision qu’allait m’annoncer
ma Princesse. Je savais que je ne supporterais pas une séparation totale. Au bout de trois sonneries, j’ai finalement répondu. Ma Domina avait une voix très autoritaire. Elle commença par me dire
bonjour, et je fus un peu rassuré. Puis elle me demanda ce que j’avais fait durant le week-end. Je lui ai avoué que je n’avais fait que penser à elle. J’ai recommencé à lui demander pardon
et à la supplier. Elle m’écouta puis elle me coupa : « Ça suffit ! Tu auras l’occasion de me supplier plus tard… Moi, j’ai bien révisé pendant ces deux jours, mais je ne sais pas
si cela sera suffisant pour réussir les examens. Comme tu le sais, cette année, j’étais vraiment dans une classe de merde, je ne sais pas si je réussirai à rattraper le retard accumulé pendant
l’année. Et toi, as-tu révisé pour tes examens ? » J’ai répondu : « J’ai essayé mais je n’arrivais pas du tout à me concentrer… » Ma Princesse me dit alors :
« Je me suis bien calmée depuis vendredi. Je me sens mieux, ma colère est un peu tombée, mais ne crois surtout pas que j’ai tout oublié pour autant. Ce n’est absolument pas le
cas. »
Ma Princesse me demanda si le lundi après-midi il y aurait quelqu’un chez moi. Je lui dis que j'aurais la maison pour moi tout seul car mes parents travaillaient. Elle m’ordonna alors de venir la chercher ce jour-là à 14 heures. Je lui ai demandé ce que nous allions faire chez moi. Elle me répondit : « Tu verras ça demain. En attendant, je te conseille de réviser si tu veux réussir à ton examen. »
Elle me dit au revoir et raccrocha.
Premièrement, j’étais soulagé car ma Princesse n’avait pas mis un terme définitif à notre relation, et c’était un immense soulagement pour moi. D’un autre côté, je savais que ma Princesse allait me punir. Elle m’avait demandé si je serais seul chez moi, et cela signifiait qu’elle avait une idée derrière la tête. J’appréhendais le programme qu’elle me réservait, mais dans tous les cas cela ne pouvait pas être pire que la douleur que j’aurais ressentie si ma Domina m’avait définitivement quitté. Désormais, nous étions libres, les cours étaient terminés, nous étions dans la dernière ligne droite avant les examens.
Le lundi, à 14 heures, j’ai garé la voiture devant chez ma Domina. Elle est sortie, portant un petit sac. Je me demandais ce qu’il contenait. Ma Princesse est entrée dans la voiture, nous nous sommes souhaité le bonjour puis elle m’a ordonné : « Allez, vite, on va chez toi !!! » Une fois entrés, d’un geste de son index, elle m’ordonna de lui retirer ses superbes sandales. Dès que ma Domina était entrée dans la voiture, j'avais remarqué qu’elle portait de très jolies chaussures. J'avais admiré ses magnifiques ongles. Je me suis donc exécuté, je me suis agenouillé, j’ai retiré ses sandales, la droite puis la gauche. Ma Princesse est alors montée sur la première marche de l’escalier pour ne pas avoir froid aux pieds sur le carrelage glacial. J’ai profité de ce que j’étais à genoux aux pieds de ma Princesse pour lui demander une nouvelle fois pardon pour mon attitude du jeudi soir. Je l’ai remerciée de ne pas avoir mis fin à notre relation. Je lui ai dit que son absence du week-end avait été pour moi insupportable.
À ce moment-là, ma Princesse a approché son pied droit de mon visage. J’avais ses superbes orteils collés sur ma bouche. J’ai alors commencé à lui lécher les
pieds, avec en moi un désir incontrôlable.
Ma Maîtresse retira alors son pied et me dit : « J’imagine bien que mes jolis pieds ont dû te manquer atrocement. Depuis notre rencontre, tu n’as jamais passé plus de vingt-quatre
heures sans être à mes pieds. Comme tu le dis, j’ai décidé de ne pas mettre un terme à notre relation, mais pour autant tout n’est pas effacé. Allez, suis-moi, on monte ! »
Ma Princesse m’a alors ordonné de placer une chaise dans la salle de bains. Je me suis exécuté, tout en me demandant ce que ma Domina me réservait. Elle m’a demandé de me déshabiller complètement et je lui ai obéi. Puis elle m’ordonna de m’asseoir sur la chaise. Je me suis de nouveau exécuté, et je la vis sortir des vieilles cordes de son sac. Extrêmement surpris, je lui demandai ce qu’elle comptait faire. Elle m’ordonna d’une voix dure et autoritaire de joindre mes mains dans mon dos. J’avais peur mais j’ai encore obéi. Elle m’attacha les poignets dans le dos, de manière très ferme. Je lui demandai à nouveau ce qu’elle comptait faire de moi. J’avais toujours rêvé d’être attaché comme cela, c’est même l’un de mes plus grands fantasmes. Mais lorsque cela devient réalité, c’est très stressant. Je me suis rendu compte qu’à ce moment précis, j’appartenais complètement à ma Domina, j'étais son esclave, elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, j’étais totalement incapable de me défendre. Ma Domina m’a demandé si j’avais confiance en elle. Je lui ai répondu que je lui faisais totalement confiance, qu’elle était pour moi, une véritable âme sœur, que je savais que c’était elle et aucune autre… (C’est d’ailleurs cette certitude, cette conviction que j’ai toujours eue en moi qui rend vraiment insupportable le drame qui nous touche aujourd’hui.)
Ensuite, ma Princesse a remis sa main dans le sac. Elle en a ressorti une tondeuse à cheveux. Je ne vous explique pas ma stupéfaction en voyant cet appareil. J’ai immédiatement demandé à ma Maîtresse ce qu’elle pensait faire. Elle me répliqua de manière agressive : « T’es con ou tu le fais exprès ? C’est une tondeuse à cheveux, donc je vais te raser le crâne. Je vais te faire une belle boule à zéro… » J’ai toujours porté les cheveux assez longs. D’ailleurs, dans ma jeunesse, j’ai souvent été pris pour une fille à cause de ma chevelure et de mes traits de visage fins. Cela n’a pas toujours été facile à vivre pour moi. Il y a peut-être un lien avec l’homme que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours adoré avoir les cheveux longs mais cela ne plaisait absolument pas à ma Domina. Elle considérait que les hommes devaient avoir les cheveux courts. D’ailleurs, de nombreuses personnes de sa famille m’avaient au départ pris pour une de ses copines et cela l'avait agacée !
J’ai supplié ma Domina de ne pas me raser les cheveux. Elle s’est assise en face de moi, sur le bord de la baignoire, et elle m’a écouté pendant plus de quinze minutes. Je n’ai pas cessé de l’implorer encore et encore. Je lui ai dit que je ferais absolument tout ce qu’elle m’ordonnerait. Je lui ai redit à quel point j’aimais mes cheveux, je l’ai suppliée de ne pas me les raser. J’avais l’impression que ma Princesse finirait par e montrer clémente avec moi, mais soudainement elle se leva brutalement et me dit : « C’est tellement agréable pour moi d’entendre un garçon me supplier !… Dire qu’il y a quelques jours avec mes parents, tu faisais bien ton malin. Quand je te regarde aujourd’hui, tu me fais vraiment rire. Ah, il est beau, le macho !… Depuis des mois, je ne supporte plus tes cheveux. Je vais te les raser, car je pense que c’est une bonne punition que tu n’es pas près d’oublier. »
Je continuais de supplier ma Princesse, je me débattais sur ma chaise, mais mes mains étaient trop serrées, j’étais incapable de me dégager. Ma Maîtresse a pris la tondeuse en main et l'a approchée de ma tête. Je me suis alors calmé pour que tout se passe au mieux. Elle a commencé à me raser les cheveux, je voyais de longues mèches qui tombaient par terre. J’avais la glace en face de moi, je voyais d’un côté mon crâne rasé, de l’autre mes long cheveux auxquels ma Princesse s’attaqua bientôt. L’opération fut rapide. Ma Princesse ne m’a pas fait une coupe à la Barthez, elle m’a laissé quelques millimètres de cheveux. Bien entendu, je ne les avais jamais eus aussi courts. Ma Domina semblait satisfaite, elle me dit : « Tu seras tout de même beaucoup mieux ainsi. Maintenant, je vais te détacher, tu vas me remercier en te prosternant et en me baisant les pieds, puis tu nettoieras tout. Au fait, tes parents risquent de faire une drôle de tête, tu as intérêt à trouver une explication valable… ».
Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XX
Je suis toujours à genoux aux pieds de ma Princesse et de sa tante Marie. Elles continuent de parler entre elles sans se préoccuper de moi. Elles s’échangent leurs numéros de téléphone. Elles se disent toutes les deux ravies de s’être retrouvées. À l’avenir, elles ont bien l’intention de rester régulièrement en contact. Cette idée me plaît bien…
Ma Domina baisse enfin ses yeux sur moi et d’un geste de la main me fait signe que je peux me relever. Elle fait la bise à sa tante qui nous raccompagne à la porte. Je lui dis « Au revoir, Madame ». Nous retournons à la voiture. Je viens de passer un moment surréaliste et je suis vraiment submergé d’émotion. Je ne peux m’empêcher de repenser à tout ce qui vient de se passer : la révélation de mon secret, l’autorité de Marie face à son jeune domestique et l’adoration des pieds de ma Maîtresse…
Je me sens comme dans un état second. Dans la voiture, alors que je suis sur le point de démarrer, je demande à ma Domina si nous pouvons attendre un peu avant de nous mettre en route. Je lui explique que je ne me sens pas capable de conduire tout de suite, qu’il faut que je me remette un peu de mes émotions. Bien qu’elle ait l’âge de le passer, ma Princesse n’a pas le permis. Conduire lui fait toujours peur et elle ne s’est jamais vraiment investie dans l’obtention de ce papier.
J’ai vraiment eu peur de me faire réprimander par ma Princesse, à cause de ma trop grande émotivité, mais non, au contraire ! Elle me prend dans ses bras, me laisse poser ma tête sur sa poitrine, passe ses mains dans mes cheveux. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Devant ma tante, tu as merveilleusement fait l’amour à mes pieds. C’était génial, j’ai adoré. Je comprends que la découverte de ton secret ne soit pas facile à vivre. Prends le temps de te remettre, je ne suis pas pressée. Je ne veux surtout pas que nous ayons un accident parce que tu ne peux chasser de ta tête l’image de mes jolis pieds. »
À ce moment-là, je me mets à pleurer à chaude larmes dans les bras de ma Princesse, et je lui dis : « Si tu savais comme je t’aime !… » Elle me répond : « Je le sais bien, mais il ne faut pas te mettre dans un état pareil ! » Je lui dis alors : « L’émotion a été trop forte, j’ai besoin de me relâcher un peu. Tu n’imagines pas à quel point je suis soulagé d’être enfin libéré de ce secret qui me pèse depuis mon adolescence... » Elle murmure, tout en caressant lentement mes cheveux : « Je comprends ! »
Dans les bras de ma Princesse, je suis en train de vivre un moment de tendresse merveilleux. J’ai toujours été quelqu’un d’ultrasensible et là, blotti contre elle, je sanglote vraiment. Même ma Domina, qui en règle générale est toujours très sévère, semble émue de me voir dans un tel état. Elle essaie me consoler. Je ne l’ai jamais vue aussi sensible. Cela m’encourage à lui demander pourquoi elle se montre si dure d’habitude. Elle me répond, comme à chaque fois : « Toi et moi, nous n’avons pas du tout reçu la même éducation. Mes parents ont toujours été très stricts avec moi. De plus, avec toutes les mauvaises expériences que j’ai vécues avec les garçons, je me suis constitué une carapace. J’ai toujours eu un très fort caractère, comme ma mère et comme ma tante Marie que tu connais désormais… Avec le temps, ce caractère n’a fait que se renforcer. Mais tu ne vas t’en plaindre, car tu m’as souvent dit que tu étais attiré par les femmes volontaires, n’est-ce pas mon fétichiste des pieds ?… »
Je décèle dans le ton de voix de ma Princesse une certaine ironie. Après tout, elle a bien le droit de me taquiner, maintenant qu’elle connaît mon secret. Elle poursuit : « Toi, tu as toujours été dorloté par tes parents, tu as toujours vécu dans une véritable bulle. Tu as une relation fusionnelle avec ta mère… même un peu trop à mon goût. » J’écoute attentivement ma Domina car je sais qu’elle a parfaitement raison. D’ailleurs, ma famille a beaucoup de mal à accepter cette relation si spéciale que j’entretiens avec ma Princesse. Notre histoire a déjà été à l’origine de pas mal de conflits et encore ce n’est sûrement qu’un début… Je commence à bien connaître ma Maîtresse, ainsi que sa Maman. C’est vrai qu’elles ont toutes les deux un caractère extrêmement fort, et c’est pourquoi elles ne peuvent éviter d’entrer régulièrement en conflit. Néanmoins, une véritable complicité les lie. Je sais que ma Princesse se confie volontiers à sa Maman. Ainsi, malgré ce qu’elle m’a dit, je m’attends à ce qu’elle avoue à sa mère notre visite chez Marie, car elle a beaucoup de mal à lui cacher des choses.
Ma Domina se demande vraiment pourquoi je pleure ainsi dans ses bras. Je lui dis que ce sont des larmes de joie, que je suis le plus heureux des hommes, prosterné devant ses jolis pieds. Je lui explique qu’il y a des années que je porte ce secret en moi et que la révélation faite par Marie a été une véritable délivrance. À ce moment-là, ma Domina me dit : « J’aimerais que tu me racontes en détail ta vie sexuelle, tes amours depuis que tu es adolescent. Je pense que nous sommes assez proches maintenant. Tu peux me faire confiance, tu peux tout me dire. J’aimerais que tu aies enfin le courage de m’avouer que tu es toujours puceau. Même si j’en ai déjà la certitude, j’aimerais l’entendre de ta bouche. Je t’ai raconté des choses très intimes sur moi, sur ma vie, et j’aimerais que tu fasses la même chose. J’ai tout mon temps. »
Ma Princesse me tient toujours dans ses bras. Je commence alors à lui détailler ma vie depuis le tout début de mon adolescence. Ce jour-là, pour la toute première fois, j’ouvre totalement mon cœur à ma Princesse. Je lui explique absolument tout sur ma vie. Je commence par évoquer les premières attirances que j’ai ressenties pour les pieds de mes enseignantes et dont j’ai parlé au tout début de ma monographie. Maintenant, je peux librement exprimer mon fétichisme des pieds à ma Domina, puisqu’elle connaît mon secret. J’ai vraiment envie de lui expliquer comment ce désir particulier est né en moi. J’insiste sur un moment qui a marqué ma vie : adolescent, j’avais l’habitude de m’allonger sur mon lit pour feuilleter des revues. Un jour, alors que j’en lisais une, en tournant une page je suis tombé nez à nez avec une photo de Lara Fabian où elle avait les pieds nus. Je me souviendrai toujours de ce moment, à l'époque, je ne connaissais même pas encore la masturbation. C’est ce jour-là que j’ai senti le désir monter dans mon bas-ventre. J’étais tout excité, j’ai ressenti des sensations inédites simplement à la vue des jolis pieds de cette star. Et c’est ce jour-là aussi que j’ai joui de ma première éjaculation. Il m’a fallu être très discret car mes parents étaient dans la pièce juste à côté. C’est un jour qui fut déterminant dans ma vie et dans ma vie sexuelle. Voilà pourquoi je vous parle si souvent de Lara Fabian qui occupe une place si importante dans ma vie. Bien entendu, à partir de là, dès que j’en avais l’occasion, je prenais cette revue et je m’allongeais sur mon lit. En admirant ces beaux pieds nus, je baissais mon pantalon et mon slip pour que ma queue soit en contact direct avec ma couette. Je me frottais ainsi en fantasmant sur ces jolis pieds. Mon désir pour eux était tellement intense qu’il m’arrivait parfois de baiser, de lécher les pages ! Par la suite, je me suis constitué ma petite collection privée dont je vous ai déjà parlé. À chaque fois que je découvrais dans une revue une photo d’une star aux pied nus, je la découpais et la conservais. Ainsi, au fil des mois, je me suis retrouvé avec une bonne dizaine de photos devant lesquelles je fantasmais tous les jours et toujours de la même manière, sur mon lit. Ma petite collection est constituée des pieds de : Angélina Jolie, Michelle Pfeiffer, Liz Hurley, Alyssa Milano (actrice de la série « Charmed »), Flavie Flament, Hélène Ségara, Mélanie Griffith, Jennie Garth (Kelly dans la série « Beverly Hills »), Fran Drescher (série « Une nounou d’enfer »), Jessica Alba, Vanessa Demouy et enfin Tonya Kinzinger (Jessica dans la série « Sous le soleil »).
Il y a une autre photo devant laquelle j’ai souvent fantasmé, c’est celle d’Ophélie Winter. On y voit la star, non pas pieds nus mais chaussée de bottes
cuissardes rouges et brillantes. Cela pour vous dire que, très tôt, j’ai eu le désir et le fantasme de devenir un vrai lèche-bottes pour dames. Quand je baisais et léchais cette revue,
je rêvais en réalité de baiser et lécher les bottes de cette magnifique jeune femme !
Bien entendu, je n’ai pas parlé de cela à ma Princesse. Elle venait d’apprendre que j’étais un véritable fétichiste des pieds. J’avais peur que si je lui parlais aussi de mon goût pour les
bottes, elle finirait par me prendre pour un fou...
Je n’ai découvert la vraie masturbation que plus tard, en regardant un film… Après la découverte de mon fétichisme des pieds, mon désir de soumission se faisait de plus en plus intense. Une autre fois, toujours par l’intermédiaire d’un film, j’ai découvert le bondage. J’ai immédiatement ressenti le besoin de me sentir attaché, entravé. En l’absence de mes parents, je ne me contentais plus de fantasmer devant les photos de stars aux pieds nus, je prenais des cordes, je m’attachais seul, je m’imaginais des scénarios, je rampais par terre. Bien entendu, en ce temps-là, je n’ai pas non plus parlé de cela à ma Princesse, car je crois que je lui aurais fait peur.
***
Je reviens donc à ce moment de tendresse avec ma Domina… Je continue de lui parler : « Je sais bien que mon fétichisme des pieds peut paraître
bizarre. Je sais bien que la plupart des adolescents fantasment devant des revues coquines dans lesquelles on peut voir de superbes femmes nues ou très peu habillées. Je m’en suis acheté
quelques-unes de ce genre, surtout pour faire comme mes copains. Je ne dis pas que je n’aime pas admirer une belle femme nue. Au contraire, je suis bien évidemment excité devant une telle vision.
Mais irrémédiablement, mes yeux sont attirés par les pieds de ces femmes. Les quelques revues coquines que j’ai achetées, je les ai choisies en fonction des jolis pieds des dames qu’il y
avait en couverture. »
Je vais vous raconter une anecdote dont je n’ai pas parlé à ma Princesse : Un jour, en sortant du lycée, j’ai été en proie à un désir incontrôlable. Je suis allé dans un tabac-presse, car
j’avais envie de m’acheter une nouvelle revue coquine. J’étais toujours très gêné d’acheter ce genre de magazine. Cette fois, j’en ai pris un au hasard dans le rayon classé X, sans même regarder
la couverture. Je l’ai payé, je l’ai caché sous ma veste et je suis rentré chez moi. Une fois dans ma chambre, j’ai enfin pu découvrir la revue que je venais d’acheter. Et là, j’ai découvert
qu’elle ne traitait que d’un seul thème : le fétichisme des pieds. J’étais fou d’excitation ! Il y avait des photos en gros plan de pieds de jolies femmes. J’avais pris cette revue
complètement au hasard, au milieu de toutes les autres, et j’étais peut-être tombé sur la seule revue fétichiste ! J’ai toujours vu là un véritable signe du destin…
***
Mais revenons encore à ce moment de tendresse avec Ma Princesse. Elle m’écoute toujours attentivement, j’ai toujours ma tête appuyée à sa poitrine, elle continue de me caresser les cheveux. Je suis bien, en confiance, prêt à tout lui avouer. Je me mets à lui raconter mes amours. Je reconnais qu’avant de la rencontrer, j’ai été à plusieurs reprises attiré par des filles mais qu’elles n’ont jamais voulu de moi. Je rappelle à ma Princesse : « Comme tu le sais, je suis en deuxième année. Il y a quelques mois, lorsque nous nous sommes rencontrés, je n’étais pas particulièrement attiré par une fille de ma classe. En revanche, un ami et moi, nous étions liés d’amitié avec deux filles qui étaient dans une classe inférieure et qui étaient plus jeunes de quelques années. Elles et nous étions vraiment devenus de bons amis, on se voyait entre les cours et en dehors de l’établissement. Nous faisions beaucoup de sorties ensemble, au ciné, au bowling, à la piscine. Mon ami a fini par sortir avec l’une des filles, et moi je dois avouer que j’en pinçais pour l’autre. En fait, j’étais tombé amoureux d’elle dans la cour. Mon ami avait exprès de devenir leur ami à toutes deux afin de me donner une chance. Avant de te connaître, ma Princesse, il y a très peu de filles qui ont vraiment compté pour moi mais celle ci en fait vraiment partie. Plus on se voyait, plus je devenais amoureux. Bien évidemment, je ne suis jamais sorti avec elle. Au final, mon ami a continué de sortir avec sa copine et moi je suis resté sur le carreau, comme j’en avais l’habitude. Pourtant, lorsqu’on était ensemble, je m’arrangeais toujours pour m’approcher d’elle. Même si je n’avais jamais osé le lui dire clairement, je lui avais fait comprendre qu’elle me plaisait. Elle l’avait forcément compris et il était donc clair que je ne l’intéressais pas. Je le comprenais : cette superbe fille qui s’appelait Élise était très très mince, et je n’étais absolument pas son type de garçon. J’ai même dû supporter de la voir sortir avec un gars que je connaissais. Lorsque toi et moi nous sommes rencontrés, ma Princesse, j’étais encore amoureux d’elle. Au début, je la voyais encore de temps en temps, mais peu à peu je l’ai complètement oubliée, et il y a longtemps que je n’ai même plus aucune nouvelle ».
***
Il y a un détail dont je n’ai pas parlé à ma Domina : lorsque j’allais avec cette fille à la piscine, je fantasmais comme un dingue sur ses pieds qui étaient très très jolis. Je les désirais vraiment, je m’imaginais souvent à genoux à ses pieds, en train de la supplier. J’avais envie de me soumettre à elle, je ne savais pas encore que j’étais sur le point de rencontrer la femme de ma vie, celle qui me prendrait en main et qui me réduirait enfin à l’état d’esclave total…
***
Je continue donc de me raconter à ma Domina : « Dans mes études, je me suis toujours retrouvé dans des classes où les filles étaient largement
majoritaires. Je pense que cela a un lien avec l’homme… où plutôt l’esclave que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours été entouré par des filles, et au fur et à mesure cela n’a fait que
renforcer ma soumission aux femmes. Lorsque je t’ai rencontée, j’étais encore une fois dans une classe où les filles étaient plus nombreuses. Forcément, il y en avait que je désirais, mais je
savais qu’elles resteraient toujours pour moi de purs fantasmes. Elles étaient beaucoup trop bien pour moi, elles m’étaient inaccessibles. »
Il y a un autre détail dont je n’ai pas parlé à ma Maîtresse. Je me souviens surtout de deux filles. Pourquoi elles en particulier ? Outre le fait qu’elles faisaient partie des plus jolies
de ma classe, il s’agissait de deux très bonnes copines qui étaient toujours ensemble. Et surtout je sentais en elles de véritables dominatrices. Elles avaient toutes les deux un très fort
caractère et je suis sûr qu’elles aimaient conduire les mecs à la baguette. Je sentais qu’elles auraient aimé voir un homme se prosterner devant elles, se soumettre à leurs volontés. Elles m’ont
souvent fait rêver, je fantasmais sur leurs pieds. Bien entendu, il ne s'est jamais rien passé, je n’ai pas osé franchir le pas. Et durant les deux années où ces deux filles ont été en
classe avec moi, je n’ai jamais rien osé tenter…
***
Je continue de parler à ma Domina : « Ce n’était pas facile pour moi d’être toujours dans des classes majoritairement féminines. Il y avait beaucoup de filles que je trouvais jolies mais malheureusement je restais toujours sans copine, j’étais trop timide, je n’étais pas assez bien… J’ai vécu constamment dans la frustration. »
Il y avait les filles avec qui j’aurais vraiment aimé sortir, il y avait celles que j’admirais mais que je savais beaucoup trop belles pour moi, et enfin il y
avait celles chez qui je pressentais ce besoin de domination. Il faut bien avouer que ces filles au caractère bien trempé étaient minoritaires, mais il y en avait toujours au moins une dans
chacune de mes classes. Ce côté dominatrice m’a toujours attiré comme un aimant.
Je raconte encore à ma Domina : « Alors que j’étais encore au lycée, je ne connaissais pas encore Élise, c’est une autre fille qui faisait battre mon cœur. Il s’agissait d’Ophélie. Nous
étions dans la même classe et je suis vraiment tombé fou amoureux de cette fille. Je tenais vraiment à elle, j’avais vraiment envie de sortir avec elle. Tous mes amis le savaient. J’essayais de
passer le plus de temps possible avec elle mais j’étais très timide, ce n’était jamais facile pour moi. En plus, elle était toujours très entourée, elle avait beaucoup d’amis. C’était une
fille très très jolie et ses prétendants étaient donc nombreux ! Je l’ai aimée pendant des années en silence, comme toujours au cours de mon adolescence. À l’époque, comme je sortais en
boîte avec la bande, j’ai souvent rencontré par hasard Ophélie qui venait dans la même discothèque avec ses amis. Elle me saluait à chaque fois, elle me parlait, elle me souriait, elle m’aimait
bien, elle me considérait comme un bon copain. Et il est là, le problème : j’ai toujours été le bon copain, l’ami sympa, mais j’avais des sentiments pour Ophélie qui dépassaient le stade de
l’amitié. Alors en bôîte, je passais le plus de temps possible près d’elle , je dansais à côté d’elle, bref j’ai tout fait pour lui faire comprendre que je l’aimais sans jamais oser le lui dire
ouvertement. Je pense qu’elle le savait mais malheureusement je ne l’intéressais pas comme petit ami. Et moi, je souffrais en la voyant danser avec d’autres garçons, ce n’était pas facile à
vivre. Un ami me poussait même à aller chez elle pour lui déclarer ma flamme, tellement il me voyait amoureux. Malheureusement, il ne s’est jamais rien passé avec Ophélie. Nous avons tous les
deux obtenu notre baccalauréat, nous sommes partis pour les études supérieures dans des établissements différents et éloignés l’un de l’autre. Nous nous sommes perdus de vue, puis comme je te
l’ai dit, j’ai ensuite rencontré Élise qui a complètement chassé Ophélie de ma tête.
Comme tu sais, ma Princesse, dans toutes mes classes j’étais entouré majoritairement de filles, et bien évidemment, je n’arrêtais pas de fantasmer sur leurs
pieds.
Lorsque j’étais encore assez jeune, autour de 14 ans, j’ai connu des filles qui m’ont plus ou moins maltraité… Certaines se moquaient de moi, de mon physique, de ma manière de parler (ma voix a
mué très tard). Je me souviens de l’une d’elles qui s’amusait à me couper les cheveux et il y en avait qui se montraient vraiment très méchantes avec moi. J’étais très timide, effacé, et
lorsqu’on m’embêtait, je subissais sans réagir. »
Le pire, c’est que ces filles qui s’acharnaient sur moi, je les désirais, j’aimais leur caractère dominant, la manière dont elles me traitaient, j’aurais aimé leur lécher les pieds… Mais cela, je ne l’ai pas avoué à ma Princesse qui aurait pu s'en offusquer.
***
Je continue de lui raconter : « Oh oui, pendant au moins deux années, plusieurs filles se sont acharnées sur moi. Il y en a une que je n’oublierai jamais. Je pense que c’est sincèrement la première véritable dominatrice que j’ai rencontrée. Comme je l’ai dit, j’avais 14 ans. Cette fille était magnifique, elle était brune, elle avait les cheveux très noirs, et son regard aussi était très noir. Elle faisait déjà beaucoup plus âgée que 14 ans, alors que moi j’ai longtemps gardé un visage de gamin. Je n’avais jamais rencontré une jolie fille ayant un caractère aussi fort. Elle m’avait pris en grippe, elle était tous les jours sur mon dos. Elle se moquait de mon physique, elle m’attaquait verbalement. Elle allait même jusqu’à me cracher dessus ! Elle s’est acharnée sur moi pendant un an, avant que d’autres prennent la relève mais jamais aussi durement qu’elle. Moi bien entendu, je ne réagissais pas, je subissais. Au contraire, je me soumettais à elle. Je me rappelle que je ramassais ses affaires par terre, que je lui apportais son sac. Ça ne l’empêchait pas de me rigoler au visage, ni de se moquer ouvertement de moi. »
Bien entendu, cette fille me fascinait. Je la considérais comme une vraie Déesse. Je me souviens : pendant les cours, je l’imaginais en train de trôner
dans un immense fauteuil, et moi je me voyais en train de ramper devant elle et de déposer des offrandes à ses pieds. Cette image m’a hanté pendant des mois. Je n’avais que 14 ans et pourtant
j’aspirais déjà à une soumission absolue…
J’ai plusieurs anecdotes à vous raconter pour vous montrer que la soumission aux femmes et la vénération des pieds féminims ont toujours été présentes en moi. Dans la même classe que cette
fille qui me martyrisait, il y en avait une autre qui avait aussi un très fort caractère mais qui n’avait rien de particulier contre moi. Je me souviens d’un jour où, en classe, j’étais assis
juste derrière elle. Sans le faire exprès, j’ai fait tomber mon stylo qui a roulé par terre et a terminé sa course contre ses pieds. Je l’ai alors interpellée discrètement et je lui ai demandé si
elle pouvait me rendre mon stylo. Elle m’a alors regardé droit dans les yeux et tout naturellement elle m’a dit : « Tu n’as qu’à venir à mes pieds pour le récupérer ! » Je me
rappelle ce moment comme si c’était hier, alors que cela remonte à plus de dix ans. Pour la plupart des gens, cela aurait été un détail anodin dans une journée classique, mais cela est resté
gravé en moi car déjà à l’époque j’étais un véritable fétichiste des pieds. Cela correspond à la période où je fantasmais sur les pieds de Lara Fabian. Quand j’ai entendu cette fille me dire
cela, j’ai été comme paralysé. Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire. Le prof l’a alors interpellée et lui a demandé de se retourner. Elle n’a jamais ramassé mon stylo et le cours s’est
terminé. À la fin, alors que tout le monde ramassait ses affaires, je me suis levé, je me mis à genoux sous la table et j’ai attrapé mon stylo qui était là, sous sa table, juste à côté de ses
pieds. Elle m’a regardé faire puis elle est partie rejoindre son petit ami en souriant. Ce jour-là, à 14 ans, j’ai connu ma première expérience de fétichiste des pieds. J’y repense souvent, je
revois cette fille. Son visage, ses pieds sont gravés à jamais dans ma tête. À l’époque, j’ai beaucoup fantasmé sur cet incident. Je n’arrêtais pas de m’imaginer aux pieds de cette jolie fille.
J’avais envie de les lui baiser, de les lui lécher. Elle avait déjà un petit ami, et je m’imaginais en train de lui lécher les pieds pendant qu’elle l’embrassait ! C’est en ce temps-là que
je me suis aussi retrouvé en classe avec une fille que j’avais connue en primaire. Déjà très jeunes, nous avions des conversations qui pouvaient laisser prévoir mon avenir d’homme soumis. En
effet, alors que nous n'étions que des enfants, je me rappelle que cette fille s’imaginait avec autour d’elle plein de garçons lui obéissant. J’avais supplié cette fille de m’accepter dans ce
cercle de garçons imaginaires. Je la suivais partout comme un petit toutou et je faisais ce qu’elle m’ordonnait. Je n’étais qu’un gamin et pourtant, j’avais déjà certains désirs. Lorsque
j’ai retrouvé cette fille au collège, cela m’a rappelé les bons souvenirs de l’école primaire…
Je continue de parler à ma Princesse : « Au moment où je me faisais martyriser par certaines filles, je ne connaissais pas encore Ophélie, mais j’avais en tête deux autres filles avec qui je m’étais trouvé en classe l’année précédente. C’est au cours de mes études que j’ai rencontré beaucoup de mes amis.Une année, l’un d’eux était tombé sous le charme de la même fille que moi. Elle était vraiment très belle, elle avait un visage qui pétillait. Elle s’appelait Sabrina. Mon ami et moi étions donc en concurrence pour la séduire, nous n’arrêtions pas d’en parler, c’était à celui qui allait lui offrir le plus beau cadeau. Au final, bien évidemment, aucun de nous deux n’est sorti avec elle, Sabrina était beaucoup trop belle pour nous. Dans la classe, il y avait une Ludivine pour qui j’ai eu aussi un coup de cœur, malheureusement toujours sans succès. Enfin, la toute première fille pour qui j’ai éprouvé des sentiments sincères, c’est Perrine. J’étais encore plus jeune puisque c’était pendant ma première année de collège. Cette fille qui me plaisait énormément m’a suivi au cours de mes études. Au fil du temps, je l’ai vue devenir une adolescente dont j’étais follement amoureux. ».
Lorsque nous allions à la piscine avec l’école, j’admirais ses pieds qui étaient très mignons, avec déjà de très jolis ongles longs. Elle
s'asseyait parfois sur le bord du bassin, et pendant que je nageais, elle laissait pendre ses pieds. J’avais une envie folle de les lui baiser. À 13 ans ! Au-delà de cela,
c’est la première fille avec qui je me suis imaginé vraiment en couple car je l’aimais beaucoup. Malheureusement, elle est toujours demeurée pour moi un fantasme. Il y a une autre fille qui est
restée dans la même classe que moi durant de nombreuses années. Elle n’était pas particulièrement belle mais avait beaucoup de charme. Au long des années, je fantasmais sur ses pieds. Je me
souviens d’un scénario que je m’étais imaginé... Elle était dans la cour avec toutes ses copines, et moi j’étais allongé à ses pieds pour les lui embrasser et les lui lécher encore et
encore. Et alors, la fille disait à ses amies : « Il vit à mes pieds ! » Ce scénario m’a beaucoup marqué. J’y repense souvent, et aussi à cette fille…
Enfin, déjà enfant, certaines filles m’ont marqué car elles avaient un tempérament très fort qui m’attirait. Par la suite, j’ai revu certaines d’entre elles au cours de mes études et leur
caractère n’avait absolument pas changé. »
***
« Voilà, ma Princesse ! Je t’ai fait un résumé complet de ma vie. Il n’y a que quelques filles que j’ai vraiment aimées de loin et en secret, avant de te connaître : Perrine, Sabrina, Ophélie et Élise. Je ne suis sorti qu’avec une seule fille que j’avais rencontrée en boîte mais cela n’a duré que le temps d’un week-end. C’est tout. »
Ma Princesse me dit alors : « Tu n’aurais pas oublié de me parler de cette fille avec qui tu as connu ta première fois ? » Je lui réponds : « Cette fille a vraiment existé. J’ai été durant de nombreuses années dans sa classe, je l’aimais bien mais il ne s'est absolument rien passé entre nous. J’ai inventé cela car j’étais gêné d’être encore puceau. Aujourd’hui, j’ai décidé de tout te dire. Je te demande pardon de t’avoir menti. Ma Princesse, il n'y a pas qu'à toi que j'ai menti à propos de cette fille, j'ai menti aussi à certains membres de ma famille, j'étais tellement gêné de n'avoir jamais de copine. Maintenant que j’ai 19 ans, je sais que tu es la femme de ma vie. Sincèrement, mon amour, je t'ai parlé de ces quelques filles qui ont compté pour moi. Mais je n'ai jamais été aussi amoureux qu'aujourd'hui. Comme tu le sais, je suis tombé raide dingue de toi dès notre première rencontre. Mes sentiments pour toi sont cent fois plus fort que tout ce que j'ai connu avant et tous les moments que nous partageons ne font que renforcer mes sentiments. Je t'aime ma Princesse, je t'aime de tout mon coeur. Je rêve d’une vie de couple où je pourrais vivre à tes pieds. Je rêve d’avoir des enfants… »
Ma Princesse me remercie d’avoir été aussi honnête avec elle, puis elle me dit : « Maintenant, il est temps que nous rentrions… »
Voilà, je vous ai raconté toute mon adolescence.
Aujourd’hui, j’avoue que j’aimerais avoir des nouvelles de toutes ces filles que j’ai connues, que j’ai aimées au cours de mon adolescence. Je vais peut-être m’inscrire sur un site qui permet de retrouver ses anciennes amies de classe. On ne sait jamais, il se pourrait que l’une d’elles soit devenue aujourd’hui, une vraie femme dominatrice qui rêverait de me voir enfin ramper à ses pieds…
Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. J’avais trouvé la femme de ma vie, et la vie me l’a reprise. Parfois, je me dis que je vais me réveiller, que tout cela n’est qu’un cauchemar, que je vais retrouver ma Princesse mais la réalité finit toujours par me rattraper. Aujourd’hui, encore plus qu’à l’époque j’aspire à une vraie vie de couple. Je rêve d’avoir des enfants. Je ne veux plus vivre dans le fantasme ou dans la frustration. Je sais que ma vie ne sera jamais simple. Je garde la foi, j’espère qu’un jour je ferai une nouvelle rencontre qui fera peut-être prendre un nouveau tournant à ma vie. En attendant, j’ai encore beaucoup de choses à vous raconter…
Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA
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... et oui, il y a souvent des récompenses.... j'espère que cette galerie vous comblera pour un moment. Ces photos ne sont que le pâle reflet de notre
quotidien, Mon chien et MOI.... imaginez un peu le pouvoir que possèdent Mes Pieds sur le mâle inférieur.....
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